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    Tiger Stripes
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    D.Morgan
    D.Morgan

    7 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 décembre 2024
    Lent ,long ,d’un ennui abyssal .Mais vues les critiques pro,on aurait dû s’en douter .Au bout de 40 mn ,soit la moitié ,il ne s’est toujours rien passé .Difficile de ne pas lâcher l’affaire.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    108 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juillet 2024
    Premier long-métrage de la cinéaste malaisienne Amanda Nell Eu, Tiger stripes raconte l’histoire de Zaffan, une écolière de 12 ans qui entre dans la puberté. Évoquant le Junior de Julia Ducournau, le Teddy des frères Boukherma ou encore Le règne animal de Thomas Cailley, le film dresse des parallèles entre le passage à l’âge adulte et la monstruosité de corps qui évoluent, dans une période de troubles identitaires. Dans Tiger stripes, le discours est empli d’un sous-texte puissant sur le statut des femmes dans certaines sociétés, et de la pression sociale qu’elles subissent. S’il est loin d’être parfait, ce long-métrage qui assume des effets spéciaux à l’ancienne n’est pas dénué d’humour et s’inscrit dans une réflexion bienvenue sur la place des filles et des femmes.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 386 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 mai 2024
    Grand Prix de la Semaine de la Critique, "Tiger Stripes" est un film malaisien qui traite du passage de l'enfance à l'adolescence avec les changements que cela implique (puberté, règles, pousse des poils, émancipation face aux adultes...). Si la première partie intrigue malgré une thématique déjà maintes fois abordée, la seconde partie se trouve malheureusement alourdie par des développements narratifs peu crédibles et quelque peu déconcertants.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    232 abonnés 1 008 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 avril 2024
    Zaffan est une jeune fille de 12 ans, qui voit son corps se transformer. Alors que ses amies se détournent d’elle, elle va révéler une nouvelle facette de sa personnalité au grand jour. C’est beau, original, et esthétique.
    Marc L.
    Marc L.

    46 abonnés 1 604 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 avril 2024
    J’ai rarement vu autant de pays différents pour financer et produire un film. On pourrait penser que c’est parce que ‘Tiger stripes’ est d’une facture exceptionnelle…mais en réalité, c’est parce qu’il correspond à une telle “norme” visuelle, thématique, stylistique, de film de genre auteurisant qu’il peut convaincre tout autant des investisseurs français que taiwanais ou qataris. D’ailleurs, on y repère sans peine tous les marqueurs du “Coming-of-age supernatural drama” avec une gamine au caractère trop libre coincée dans un établissement corseté de jeunes filles voilées, la puberté qui arrive, le harcèlement, un climat familial pas brillant, les réseaux sociaux et une entité du folklore local qui va se charger de donner forme allégorique à ce “corps qui change”. Les effets spéciaux de facture minable ne sont pas le problème: ce qui m’étonne, c’est que le cinéma malais m’est parfaitement inconnu et que selon toute logique, j’aurais du être stimulé par ses particularités, ses parti-pris, un style et une manière d’envisager l’image et le récit différents de ce que je connais. Or, j’ai instantanément éprouvé une sensation de familiarité, de neutralité familière même, comme si ‘Tiger stripes’ avait été attentivement formaté pour mener une carrière internationale. C’est au point où, décors tropicaux mis à part, il ressemble à un mauvais film américain présenté à Sundance (mais pas primé, faut pas déconner non plus). Reste l’aspect fantastique, très très léger, et pourtant déjà au-delà du seuil de tolérance malais en la matière (il a été lourdement censuré avant sa sortie sur place). A vouloir gommer ses particularités pour jouer dans la cour des grands, Tiger stripes’, en tant que production locale dont j’aurais volontiers pardonné l’amateurisme technique, et dans toutes ses dimensions, est à la fois insuffisant et insatisfaisant.
    Christoblog
    Christoblog

    834 abonnés 1 683 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 mars 2024
    Ce petit film a tout pour susciter le coup de coeur : une réalisatrice malaisienne (c'est rare), un propos gentiment insolent vis à vis des autorités (religion, pouvoir) et un aspect bricolé sympathique, à la limite du do it yourself.

    Son problème, c'est d'arriver après beaucoup de films récents qui ont largement exploré la question de la transformation du corps adolescent : on pense à Grave, au formidable Teddy et au consensuel Le règne animal. Les tentatives maladroites de la réalisatrice Amanda Nell Eu apparaissent du coup un peu vaines : on a l'impression d'avoir déjà vu les mêmes effets cent fois, en beaucoup plus convaincants (les poils et les griffes qui poussent, etc).

    Tiger stripes recycle aussi d'autres influences asiatiques sans trouver sa voie propre. On croise ainsi les yeux rouges façon Weerasethakul et d'inquiétants phénomènes de possession qui rappelle le cinéma d'horreur japonais tendance Ring.

    Le (petit) intérêt de ce film bric-à-brac réside à mon sens dans sa première partie. Il n'est pas si courant de s'immerger dans la jeunesse d'une société asiatique musulmane au cinéma.

    La fin de Tiger stripes est un fourre-tout peu maîtrisé qui tente de mélanger burlesque, critique sociale et effroi. La tentative est ratée, le propos peu subtil et l'impression générale que m'a laissé ce final est celui d'un travail à la fois peu original et bâclé.
    beida
    beida

    5 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 mars 2024
    Une tartouillerie, visible pour ceux qui veulent un documentaire sociologique sur la Malaisie. Dans ce déjantage, seul l'exorciste-charlatan mérite d'être cité.
    Orno13
    Orno13

    14 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 mars 2024
    Le début de l adolescence est une période que nous avons tous connu avec plus ou moins de douleur ou de réussite, mais quand on est jeune fille dans un pays où le patriarcat est omniprésent, et la religion est prégnante et régit les lois du pays, c est très difficile.
    Amandine nell eu, pour illustrer cela se sert du fantastique pour appréhender les problèmes de ces filles, surtout de zafreen qui va avoir ses premières règles, ce qui va occasionner l exclusion de sa bande d amies qui la trouve impur, mais aussi des répercussions physiques et notamment une transformation en une bête et plus précisément comme le titre l indique un tigre.
    C est un bon film, malgré quelques maladresses dans l l'écriture et quelques longueurs mais on se prend malgré tout d affect5pour cette zafreen.
    On voit très vite que la realisatrice tend vers cronenberg, la transformation des corps, ce qui rend très intéressant la suite que va donner sa carrière.
    Emy8282
    Emy8282

    2 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2024
    Un film libre, dans la forme et libérateur sur le fond! Ne ratez pas ce petit bijoux ( un premier film).
    On traverse beaucoup de choses dans ce film qui est riche et porté par trois jeunes brillantes actrices.
    Un de mes premiers coup de cœur de 2024!
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 329 abonnés 7 541 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mars 2024
    Zaffan, 12 ans, vit dans une petite communauté rurale en Malaisie. En pleine puberté, elle se retrouve confrontée du jour au lendemain à diverses transformations physiques. Ses amies se détournent d’elle alors même qu’elle est en train de devenir une femme…

    Lauréat du Grand Prix de la Semaine de la Critique au Festival de Cannes (en 2023), le premier long-métrage de la réalisatrice malaisienne Amanda Nell Eu évoque les changements liés à la puberté sous l’angle de l’horreur et du fantastique. L’idée en soit n’a rien de très original (impossible de ne pas repenser à des films tels que Carrie au bal du diable (1976) ou plus récemment, à deux films de Julia Ducournau : Junior - 2011 & Grave - 2017), mais son traitement à le mérite de sortir des sentiers battus. En effet, pour évoquer ces changements, la réalisatrice ne lésine pas sur les métaphores. Ainsi, la jeune adolescente se retrouve couverte de plaques de boutons, perd ses cheveux, dégage une forte odeur corporelle et va jusqu’à se transformer physiquement en une sorte de tigre-garou (qui n'est pas sans rappeler le "Harimau jadian" issu du folklore local).

    Si le film traite du passage à l’âge adulte via la puberté, il est aussi question d’émancipation féminine dans une région où la majorité de la population est musulmane et où les femmes sont tenues de rester à leur place (pas un mot de travers) et voilées. Raison pour laquelle Zaffan va vouloir à tout prix s’affirmer malgré les diktats, une mère envahissante, la pression sociale et le regard des autres (notamment ses copines de classe).

    Tiger Stripes (2024) fait son petit effet mais s’avère trop souvent plombé par un problème de rythme et des scènes à répétition.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    Jmartine
    Jmartine

    169 abonnés 677 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 mars 2024
    On peut remercier les distributeurs audacieux qui, semaine après semaine, permettent aux spectateurs français de découvrir des œuvres surprenantes concoctées dans des pays qui ont rarement droit de cité sur la carte internationale du cinéma. « Tiger Stripes » de la réalisatrice malaisienne Amanda Nell Eu est de celles-ci…Elle nous offre un objet filmé difficilement identifiable…Dans un collège de Malaisie, où la plupart des élèves sont voilées, l’insolente Zaffan, qui souvent jette son voile aux orties est ostracisée du jour où le collège apprend qu’elle a ses règles…Comment l’apprend-on, comme en France il y a des dispenses de gymnastique, là c’est dispense de salle de prières…Elle est impure !!! Mais l’héroïne de douze ans sort de sa chrysalide et réclame sa liberté d’expression. Faisant fi des injonctions à l’obéissance et au silence des filles, la donzelle revendique sa féminité mutante. Le malaise et l’avancée vers l’inconnu qu’elle éprouve ne doivent pas rester sous cloche. Alors elle parle, elle bouge, elle grogne, elle griffe., Zaffan devient, au sens propre, un monstre effrayant, ostracisé et incompris, qui se réfugie dans la jungle environnante… Rien ne l’arrête, pas même ses copines qui la lâchent, ses parents qui la briment, ou le système sociétal qui veut la ramener dans le droit chemin... Et cette hystérie devient contagieuse, et d’autres filles sont touchées par cette danse de Saint Guy…et l’appel au docteur au Docteur Rahim, mi-imam, mi-charlatan, possesseur d’un compte Facebook, Instagram et Tiktok …qui veut pratiquer un exorcisme n’y ferra rien…Amanda Nell Eu a la bonne idée de transcender son ressenti de son adolescence passée, en le passant au crible du cinéma d’horreur et de la pensée magique. Deux univers qui ont marqué son parcours et ont constitué la cinéaste qu’elle est devenue. Mais ici ce n’est plus une bête qui se transmute en humain pour intégrer la société, mais une humaine qui mue, en quête de son animalité et d’une symbiose avec la beauté de la nature…Est-ce que Amanda Nell Eu a vu « Le règne animal » ? certaines séquences y font penser…encore que plus « grand guignolesques » que le film de Thomas Cailley…. Si Amanda Nell Eu trébuche sur certains des faux pas traditionnels des premiers films (quelques scènes apparaissent redondantes ou étirées inutilement et le montage n’est pas parfait), et laisser ses actrices en herbe filmer elles-mêmes les vidéos captées par smartphone, pour mieux saisir la vérité de ces personnages juvéniles, pour l’intégrer au film n’est pas du plus heureux… Il faut savoir aussi, qu’Amanda Nell Eu s’est vue censurée pour la sortie du film en Malaisie, et qu’elle a réfuté la version tronquée sur son propre territoire. Du cinéma comme geste politique…. Ce premier long-métrage d’une réalisatrice malaisienne, mélange de genres, entre chronique sociale et fable politique, a été primé à la Semaine de la Critique du Festival de Cannes l’an dernier.
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    348 abonnés 661 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 mars 2024
    Sorte d'OVNI venu de Malaisie, "Tiger Stripes" s'inscrit dans la tendance d'un nouveau cinéma du monde indépendant et fantastique et surtout il transforme l'apparition des règles chez des adolescentes en film d'horreur aux entournures un peu bricolées.

    Le film est loin d'être parfait mais la réalisatrice très militante ( une présentation du film de 3 à 4 minutes par la réalisatrice ouvre la projection) et l'énergie semble t il consacrée à défendre son sujet suffit à le rendre intéressant et finalement recommandable.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    178 abonnés 1 161 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 mars 2024
    Zaffan est une jeune malaisienne dont le corps change, elle est la première de sa classe à avoir ses règles. Ce qui va entraîner son ostracisation et provoquer la peur et l’hystérie de ses amies, de sa famille et des hommes. La réalisatrice, qui a la bonne idée de se présenter et d’expliquer son propos au début du film, mélange les genres, teen movie et épouvante (dans lequel la Malaisie excelle), à la contemporanéité de vidéos Tik-Tok. Le résultat vaut plus par son exotisme que par son originalité.
    cédric l.
    cédric l.

    10 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mars 2024
    Ce film est un véritable petit bijou "d'Insolence"... A travers la vie d'une jeune malaisienne (Zaffan), en pleine puberté. C'est toute l'interrogation, que le Monde Occidental se pose, sur la sexualité ou la sexualisation des femmes musulmanes... Comment les femmes Occidentales arrivent à vivre leur intimité sans aucun remords ?!... parce que l'époque le permet, et Pourquoi de l'autre coté du Monde, les femmes sont contraintes, de rester "Pure" et d'obéir, aux "caprices des Hommes ou de leur Religion ?!... Amanda Nell Eu, nous dévoile son "toupet", avec ce film, très peu commun, qui devrait faire réfléchir sur l'Image de la Femme Islamisée.
    FaRem
    FaRem

    8 770 abonnés 9 626 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mars 2024
    Dans une petite communauté malaisienne aux valeurs religieuses et conservatrices fortes, Zaffran, une jeune fille rebelle, ne se soucie pas du regard des autres. Toujours là à se faire remarquer, elle en a une fois de plus l'occasion en étant la première de ses copines à avoir ses règles. Ce qu'elle considère d'abord comme une sorte de privilège se transforme progressivement en cauchemar avec des changements incontrôlables et un rejet de ses petites camarades. Comme beaucoup de cinéastes avant elle, Amanda Nell Eu utilise le body horror, ce sous-genre de l'épouvante, pour évoquer quelque chose de plus concret. Il est ici question de la puberté dans un cadre conservateur, de la culture malaisienne, de la pression sociale envers les femmes et des superstitions avec certaines croyances qui perdurent chez les principales concernées en raison d'un manque de communication. Zaffan est seule pour affronter ces changements, ce qui accentue cette descente aux enfers de tous les dangers. "Tiger Stripes" est très métaphorique et aurait gagné à être plus subtil par moment. Les effets horrifiques sont peu réussis et l'on ne ressent jamais vraiment de danger pour Zaffan ou les autres personnages. Un film inégal et répétitif, mais qui est pas mal et surtout intéressant pour son cadre et son message tandis que la petite Zafreen Zairizal est très convaincante.
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