Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Un film comme une perle venue du pays andin.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Culturopoing.com
par Noëlle Gires
Le spectateur se sent vaguement coincé dans une splendeur formelle qui tend à asphyxier le récit et à éloigner de destins dont on aurait aimé mieux appréhender la profondeur. Il n’en reste pas moins que la beauté de la photographie [...] et le magnifique mutisme buté de Gisela Yupa [...] saisissent.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
"Diógenes" exprime, presque sans un mot, la richesse de la culture andine. Par l’intermédiaire d’une myriade d’indices et de petites touches disséminées dans le plan, Leonardo Barbuy réalise une œuvre aussi sensible que fragile, qui ne ressemble à aucune autre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
Drapé d’un élégant noir et blanc, Diógenes questionne notre rapport à la mort dans la douceur, tout en valorisant une culture rare dans l’histoire du septième art.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Positif
par Nicolas Geneix
Difficile de ne pas penser à Bela Tarr ou Lav Diaz devant le noir et blanc naturaliste-onirique qui grave les êtres humains et les chiens dans des paysages résonnant des histoires que l'on se transmet.
Télérama
par Nicolas Didier
La mise en scène austère (solennité du noir et blanc, lenteur des plans-séquences) finit par créer trop de distance avec les personnages.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Un film comme une perle venue du pays andin.
Culturopoing.com
Le spectateur se sent vaguement coincé dans une splendeur formelle qui tend à asphyxier le récit et à éloigner de destins dont on aurait aimé mieux appréhender la profondeur. Il n’en reste pas moins que la beauté de la photographie [...] et le magnifique mutisme buté de Gisela Yupa [...] saisissent.
Les Fiches du Cinéma
"Diógenes" exprime, presque sans un mot, la richesse de la culture andine. Par l’intermédiaire d’une myriade d’indices et de petites touches disséminées dans le plan, Leonardo Barbuy réalise une œuvre aussi sensible que fragile, qui ne ressemble à aucune autre.
aVoir-aLire.com
Drapé d’un élégant noir et blanc, Diógenes questionne notre rapport à la mort dans la douceur, tout en valorisant une culture rare dans l’histoire du septième art.
Positif
Difficile de ne pas penser à Bela Tarr ou Lav Diaz devant le noir et blanc naturaliste-onirique qui grave les êtres humains et les chiens dans des paysages résonnant des histoires que l'on se transmet.
Télérama
La mise en scène austère (solennité du noir et blanc, lenteur des plans-séquences) finit par créer trop de distance avec les personnages.