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Juste un film à couper le souffle. Un personnage principal brut, incisif, volcanique interprété par Malou Khebizi une actrice de talent qui ba faire parler d'elle. Un esthétisme evmblouissant qui met en lumière les réalités de notre société sans être dans le voyeurisme ou le cliché. Bravo à Agathe riedinger et aux acteurs pour ce beau moment de cinéma!!!!
Un premier film magnifique.
Malou Khebizi signe une performance magnifiquement. Juste pour un premier rôle.
La photographie est splendide.
Allez y les yeux fermés, c’est une réussite !
Malou Khebizi signe une performance magnifiquement. Juste pour un premier rôle.
La photographie est splendide.
Allez y les yeux fermés, c’est une réussite !
Un premier film sympathique avec une actrice touchante et énergique. Les sujets abordés sont très intéressants mais il manque de la matière
J’ai adoré, diamant brut, car le scénario est efficace et imprévisible. J’ai adoré aussi les plans et les beaux jeux de lumière que cache ce joli film qui montre la vérité sur notre société complètement superficiel, tout en montrant les vraies facettes des gens qui essayent de réussir
Dans une poursuite effrénée d'un rêve, le film dévoile l'absence de conscientisation de ses actes. Pourtant, Liane, bluffante d’intensité, n’est jamais jugée ni dénigrée, et ce portrait sincère ne tombe jamais dans une morale facile. Ici, l’apparence règne en maître, capturée dans un format 4:3 aux grains rugueux, comme pour souligner la réalité brute de son existence.
Agathe Riedinger filme son actrice à fleur de peau, révélant une guerrière "moderne", dont sa passion n'est ni vaine, ni futile. Ce rêve, dans ce monde vidé de sens, devient une croyance noble, une quête essentielle. Le film renverse nos préjugés, confrontant notre élitisme face à ceux qui cherchent une échappatoire à leur misère sociale.
Agathe Riedinger filme son actrice à fleur de peau, révélant une guerrière "moderne", dont sa passion n'est ni vaine, ni futile. Ce rêve, dans ce monde vidé de sens, devient une croyance noble, une quête essentielle. Le film renverse nos préjugés, confrontant notre élitisme face à ceux qui cherchent une échappatoire à leur misère sociale.
Vu au Festival International du Film Francophone de Namur, ce film décrit une réalité dont je pense beaucoup ignore l'existence, celle des stars de télé-réalité. Ici, les curseurs sont mis au plus haut, décriant une réalité peut-être trop romancée mais c'est un film, c'est normal. Le rêve de célébrité est ici confronté à une envie plus profonde de vouloir s'affirmer en tant que jeune femme, de vouloir montrer autre chose que ce que montre les émissions de télé-réalité. Parce que même si Liane représente physiquement le stéréotype de la candidate de ce genre d'émission, elle pense différemment et surtout elle veut prouver au monde - y compris à sa mère qu'elle considère littéralement comme une bonne à rien qui se tape des mecs - qu'elle est capable elle aussi de réussir sa vie. Elle est évidemment confronté aux mépris des gens qui pense qu'influenceuse n'est pas un métier mais au fond d'elle, au delà de la popularité, elle cherche une raison d'exister, un but à sa vie et pour elle, faire rêver les gens comme elle, issus d'un milieu défavorisé, à travers l'image qu'elle renvoie c'est son but dans la vie. Alors influenceuse, un vrai métier ou non ? Tout dépend du fond
Dans ce film, la réalisatrice a choisi de suivre le parcours chaotique de cette jeune fille sur la Côte d”Azur. Elle dépeint dans ce film un peu crépusculaire une certain jeunesse avide de plaire à tout prix et cherchant les followers sur les réseaux sociaux et les castings pour les émissions de téléréalité. Le constat est amer et désespérant. Pour ce premier long métrage, c’est bien réalisé mais un peu longuet et difficile à supporter.
Bernard CORIC
(film visionné en projection de presse le 24/09/2024 au Club Marbeuf à PARIS)
Bernard CORIC
(film visionné en projection de presse le 24/09/2024 au Club Marbeuf à PARIS)
Je n’ai pas du tout aimé. Le film est fait de clichés, ce n’est pas intéressant, les scènes sont longues et prévisibles. C’est l’histoire d’une cagole vue par des bobos parisiens. L’actrice en revanche est formidable. Tout est gras tout est attendu. Dommage que les commentaires des réseaux sociaux que l’on voit à l’écran quelques fois n’ont pas été rédigés avec les fautes d’orthographe. Le point de vue est touristique. Rien n’est subtil ou touchant. Un film qui se veut pourtant féministe et moderne. Agathe Riedinger n’a pas réussi à montrer ce qu’elle voulait. Filmer une jeune fille sans père et avec une mère absence en quête d’amour et de changement, en crop top et sourcils trop épais ne veux rien dire! Je suis sortie du film énervée. La scène avec les 3 hommes à la fin est ridicule! Dommage.
J'ai trouvé le film très beau, le jeu avec les paillettes, le brillant est magnifique. L'histoire est touchante, on s'attache au personnage central. Je recommande vivement !
Découvert en avant-première à Biarritz au Festival Nouvelles Vagues. Magnifique film, réalisation et interprétation au top.
Je l’ai vu au Festival de Cannes! Pour un premier film c’est un très bon début. Agathe Riedinger propose une réflexion sur télé-réalité, lés réseaux sociaux et comment ça peut influencer les jeunes filles. Très intéressant !
Woaw ! Un scénario solide, tout s'imbrique comme il faut. On ressent extrêmement bien la solitude du personnage principal ce que je trouve est rarement réussi dans les films (hors le mythique Taxi Driver évidemment !). Bravo à la réalisation, aux comédiens. Et l'histoire est une belle réflexion des complexes que les femmes et surtout jeunes peuvent rencontrer. À travers un personnage bouffé par des traumatismes d'enfance qui dure jusqu'à l'âge adulte. Et quelque chose de plus universel qui est la recherche d'être aimé et approuvé de l'autre au point de laisser l'autre dépasser largement nos limites.
Le film Diamant brut est très bien réalisé : les images, la bande son, les détails ont été travaillés à la perfection. En revanche pas vraiment de fond au scénario, dommage !
Cinéphiles 44
"Diamant brut" est le seul premier long-métrage en compétition officielle du Festival de Cannes 2024. Le film suit une jeune fille de 19 ans qui rêve de participer à une télé-réalité. Très attentive à son image sur les réseaux sociaux, elle a déjà refait ses seins et sa bouche et pense à se refaire les fesses. Agathe Riedinger dresse le portrait pathétique d'une influenceuse marseillaise, en échec professionnel et issue d'une famille défavorisée. Filmé en format 4/3, le spectateur prend corps avec Liane et n'empêche jamais la comparaison ; ouf, jamais nous n'aurons cette vie déplorable ! Cependant, la réalisatrice a manqué de développement dans la dimension psychologique du personnage, préférant se concentrer sur un drame exclusivement démonstratif en prenant de nombreux raccourcis.
traversay1
A quoi rêvent certaines jeunes femmes d'aujourd'hui ? Pas au Prince charmant, c'est sûr, mais à une réalité augmentée de leur existence, avec un corps modifié, des nuées de followers, l'espoir de devenir influenceuse et, avant cela, le piédestal de la télé-réalité, cet étonnant miroir aux alouettes moderne. Il y a une forme d’ambiguïté dans Diamant brut, qui en fait d'ailleurs l'intérêt : la réalisatrice, Agathe Riedinger, nous rend son apprentie à la notoriété des réseaux autant attachante, de par sa vitalité et son énergie, que pathétique, avec son obsession de standards plastiques qui paraissent bien grotesques et vulgaires. La balance penche plutôt du second côté, en définitive, mais le film nous laisse libre de forger notre propre jugement. Le milieu social dans lequel vit la jeune héroïne (Malou Khebizi est très convaincante) est sans doute assez convenu, avec une mère démissionnaire, à mille lieux des aspirations de sa fille, mais le film conserve dans la continuité toute son âpreté et ne fait aucune concession à une quelconque joliesse. En ce sens, il est presque plus britannique que français, quoique certains cinéastes d'ici, à commencer par Maurice Pialat, ont démontré dans le passé qu'empoigner la réalité, sans prendre de gants, ne leur était pas étranger.
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