Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
Le Parisien
par Catherine Balle
Sans jamais regarder son héroïne avec mépris, le film nous fait vibrer avec cette battante écorchée vive, en quête d’ascension sociale et d’amour. Il critique un système, mais jamais ceux qui tentent de l’utiliser et en sont parfois victimes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Bande à part
par Olivier Pélisson
Agathe Riedinger signe l’un des premiers longs-métrages phares de l’année, mais aussi un portrait juvénile troublant et vivifiant, reflet du monde moderne. "Diamant brut" s’avère un écrin rare, révélant progressivement de multiples facettes, de la puissance à la fragilité, de l’éclat au silence.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
Le regard et la mise en scène d'Agathe Riedinger la dépouillent de ces apparats et la jeune femme retrouve là sous nos yeux, dénudée de ces mirages : elle devient un diamant brut par un corps dont la palpitation, la puissance d'être dépasse l'enveloppe de la représentation. Car le désir de Liane avant tout, c'est d'être aimée. Et celui de la cinéaste, nous la faire aimer.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Françoise Delbecq
Mieux qu'un diamant brut, Malou Khebizi brille déjà de mille feux.
Femme Actuelle
par Chloé Thibaud
Ce film est captivant, infiniment juste.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Diamant brut" est un bijou de perspicacité à propos du vedettariat obsédant qu'éprouve une certaine jeunesse contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Konbini
par Arthur Cios
Un premier long impressionnant, notamment dans sa réflexion sur l’iconisation ou non de la féminité, avec des personnages et un univers traité sans l’ombre d’une moquerie, jamais.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Avec cet anticonte de fées où la violence sexiste et de classe percute les rêves d’absolu, la cinéaste offre un rôle magnifique à la débutante Malou Khebizi, sélectionnée aux Césars dans la catégorie Révélations.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Jardin intime et secret pour une jeune fille qui, paradoxalement, ambitionne de tout montrer à la télé. Superbe coup d’essai.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
La grande qualité d’Agathe Riedinger, c’est bien sûr d’enlacer son personnage, avec amour. Pas une once de mépris de classe. Juste le portrait d’une fille sacrificielle qui n’a jamais autant espéré un miracle.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Le premier film d’Agathe Riedinger impressionne par sa maîtrise. Il révèle aussi la jeune actrice Malou Khebizi en adolescente qui rêve d’intégrer une émission de téléréalité à tout prix.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par M. Dl.
Cela faisait bien longtemps qu’une œuvre dont la rigueur s’inspire du documentaire, où tout doit être authentique (les personnages, les attitudes, le vocabulaire…), n’avait si bien soigné sa forme. Superficielle, car tout en surface, la véritable beauté de Liane est aussi ce qui se révèle à qui sait la regarder. Diamant brut en est une preuve émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Christophe Ono-dit-Biot
Diamant brut, qui porte bien son nom, est intense, pas manichéen pour un sou, ne juge jamais et se contente de filmer au plus près ses acteurs, leurs rêves, leur rage, signant l'éclosion de deux talents, une réalisatrice et une comédienne dont on n'a pas fini d'entendre parler.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Theo Ribeton
Agathe Riedinger déploie un film radical et suit son héroïne à l’assaut de la téléréalité dans un quotidien où rien ne scintille.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Thierry Chèze
La cinéaste raconte notre époque en évitant toute charge moralisatrice facile.
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Malou Khebizi est le diamant brut du film.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Dans ce film ultra-contemporain, Agathe Riedinger porte un regard subtil, sans surplomb ni complaisance, sur la téléréalité. On sent dans l’écriture, la réalisation une tendresse de grande sœur pour son héroïne, touchante Marylin des années 2020.
Télérama
par Louis Guichard
Un premier long métrage aussi nuancé que percutant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
La mise en scène transcende le propos social : la pose de fond de teint est filmée comme l’application d’une peinture de guerre.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Malou Khebizi paraît donner tout, son corps et son âme, à ce personnage mû par la volonté farouche de transcender sa condition.
La Croix
par Céline Rouden
Un premier film puissant et jamais surplombant sur l’envers misérable des réseaux sociaux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Comme une Loana moderne, qui ne veut plus seulement survivre, mais vivre sous les feux de la gloire, quitte à se cramer.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un coup d'essai percutant et… frustrant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Unique premier film de la dernière Compétition officielle cannoise, et l’un des rares signés par une réalisatrice, "Diamant brut" brosse le portrait à la fois touchant et imparfait d’une jeune femme obsédée par le désir d’être vue et aimée à tout prix.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Nice-Matin
par Alexandre Carini
La caméra immerge littéralement le spectateur dans la métamorphose physique de Liane, qui a transformé sa petite chambre HLM en studio Instagram. Faux cils, faux ongles, faux cheveux (par extension capillaire), faux seins (boostés pour effet boobs), la jeune femme se vautre dans un paradis superficiel pour s’extraire d’une trop morne réalité.
La critique complète est disponible sur le site Nice-Matin
Première
par Léon Cattan
Consciente de l’objectification de ces jeunes filles ultra-féminines des classes populaires, et de leur dévalorisation, la réalisatrice avance à tâtons, avec une prudence confinant parfois à l’hésitation. Soulève des questions, qui n’auront jamais de réponses.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par Daniel Bois
Dommage, alors, que le récit tombe parfois dans des passages obligés attendus et la mise en scène dans une sur-stylisation. Mais ce Diamant Brut emballe grâce à la prestation désarmante de naturel de Malou Khebizi, une actrice définitivement à suivre.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un premier long métrage attachant, qui distille une atmosphère prenante, et révèle de jeunes acteurs inspirés.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un portrait au départ juste et précis, qui perd progressivement de sa force.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si elle filme au plus près les espoirs et la détermination d’une jeune fille qui se bat avec ce qui fait sa force (étonnante Malou Khebizi), la réalisatrice ne réussit pas à éviter, faute d’enjeux narratifs, les longueurs et les errements d’une attente douloureuse et interminable.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Clément Colliaux
Si "Diamant brut" consacre à Liane quasiment tous ses plans et rend justice au travail minutieux qui se cache derrière sa beauté ouvragée (maquillage, lentilles colorées), il regarde toujours son activité, son goût du paraître, avec une certaine distance.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
La radiographie d’une certaine jeunesse biberonnée au consumérisme et aux réseaux sociaux est (parfois) convaincante, mais Diamant brut, à mi-parcours, s’enlise dans les répétitions et se condamne au surplace.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Abus de Ciné
par Christophe Brangé
Diamant brut se veut un conte contemporain qui questionne la représentation du féminin. Mais [...] la réalisatrice se contente ici de capturer des images, recherchant l’esthétisme à tout prix pour combler un scénario caricatural au possible.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Critikat.com
par Josué Morel
Le film n’envisage l’imaginaire de la bimbo que pour opérer une transmutation vers une matière bien plus noble. Autrement dit, le carbone, c’est le personnage, et le diamant qui en émerge, grâce à l’action de la cinéaste, c’est le film. Comment dès lors s’étonner que ce dernier soit en toc ?
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Guillaume Loison
Le vernis culturel apposé ici et là par la cinéaste sur le petit monde virtuel du personnage ne trompe personne – mention spéciale à l’envahissante musique lyrique qui accompagne les posts Instagram de la bimbo, affichés en grosses lettres sur l’écran. Il ne fait que souligner la part de grotesque et d’obscénité qui leste ce « Diamant brut » par le fond.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
Sans jamais regarder son héroïne avec mépris, le film nous fait vibrer avec cette battante écorchée vive, en quête d’ascension sociale et d’amour. Il critique un système, mais jamais ceux qui tentent de l’utiliser et en sont parfois victimes.
Bande à part
Agathe Riedinger signe l’un des premiers longs-métrages phares de l’année, mais aussi un portrait juvénile troublant et vivifiant, reflet du monde moderne. "Diamant brut" s’avère un écrin rare, révélant progressivement de multiples facettes, de la puissance à la fragilité, de l’éclat au silence.
Culturopoing.com
Le regard et la mise en scène d'Agathe Riedinger la dépouillent de ces apparats et la jeune femme retrouve là sous nos yeux, dénudée de ces mirages : elle devient un diamant brut par un corps dont la palpitation, la puissance d'être dépasse l'enveloppe de la représentation. Car le désir de Liane avant tout, c'est d'être aimée. Et celui de la cinéaste, nous la faire aimer.
Elle
Mieux qu'un diamant brut, Malou Khebizi brille déjà de mille feux.
Femme Actuelle
Ce film est captivant, infiniment juste.
Franceinfo Culture
"Diamant brut" est un bijou de perspicacité à propos du vedettariat obsédant qu'éprouve une certaine jeunesse contemporaine.
Konbini
Un premier long impressionnant, notamment dans sa réflexion sur l’iconisation ou non de la féminité, avec des personnages et un univers traité sans l’ombre d’une moquerie, jamais.
L'Humanité
Avec cet anticonte de fées où la violence sexiste et de classe percute les rêves d’absolu, la cinéaste offre un rôle magnifique à la débutante Malou Khebizi, sélectionnée aux Césars dans la catégorie Révélations.
La Septième Obsession
Jardin intime et secret pour une jeune fille qui, paradoxalement, ambitionne de tout montrer à la télé. Superbe coup d’essai.
La Voix du Nord
La grande qualité d’Agathe Riedinger, c’est bien sûr d’enlacer son personnage, avec amour. Pas une once de mépris de classe. Juste le portrait d’une fille sacrificielle qui n’a jamais autant espéré un miracle.
Le Figaro
Le premier film d’Agathe Riedinger impressionne par sa maîtrise. Il révèle aussi la jeune actrice Malou Khebizi en adolescente qui rêve d’intégrer une émission de téléréalité à tout prix.
Le Monde
Cela faisait bien longtemps qu’une œuvre dont la rigueur s’inspire du documentaire, où tout doit être authentique (les personnages, les attitudes, le vocabulaire…), n’avait si bien soigné sa forme. Superficielle, car tout en surface, la véritable beauté de Liane est aussi ce qui se révèle à qui sait la regarder. Diamant brut en est une preuve émouvante.
Le Point
Diamant brut, qui porte bien son nom, est intense, pas manichéen pour un sou, ne juge jamais et se contente de filmer au plus près ses acteurs, leurs rêves, leur rage, signant l'éclosion de deux talents, une réalisatrice et une comédienne dont on n'a pas fini d'entendre parler.
Les Inrockuptibles
Agathe Riedinger déploie un film radical et suit son héroïne à l’assaut de la téléréalité dans un quotidien où rien ne scintille.
Ouest France
La cinéaste raconte notre époque en évitant toute charge moralisatrice facile.
Public
Malou Khebizi est le diamant brut du film.
Sud Ouest
Dans ce film ultra-contemporain, Agathe Riedinger porte un regard subtil, sans surplomb ni complaisance, sur la téléréalité. On sent dans l’écriture, la réalisation une tendresse de grande sœur pour son héroïne, touchante Marylin des années 2020.
Télérama
Un premier long métrage aussi nuancé que percutant.
Cahiers du Cinéma
La mise en scène transcende le propos social : la pose de fond de teint est filmée comme l’application d’une peinture de guerre.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Malou Khebizi paraît donner tout, son corps et son âme, à ce personnage mû par la volonté farouche de transcender sa condition.
La Croix
Un premier film puissant et jamais surplombant sur l’envers misérable des réseaux sociaux.
Le Dauphiné Libéré
Comme une Loana moderne, qui ne veut plus seulement survivre, mais vivre sous les feux de la gloire, quitte à se cramer.
Les Echos
Un coup d'essai percutant et… frustrant.
Les Fiches du Cinéma
Unique premier film de la dernière Compétition officielle cannoise, et l’un des rares signés par une réalisatrice, "Diamant brut" brosse le portrait à la fois touchant et imparfait d’une jeune femme obsédée par le désir d’être vue et aimée à tout prix.
Nice-Matin
La caméra immerge littéralement le spectateur dans la métamorphose physique de Liane, qui a transformé sa petite chambre HLM en studio Instagram. Faux cils, faux ongles, faux cheveux (par extension capillaire), faux seins (boostés pour effet boobs), la jeune femme se vautre dans un paradis superficiel pour s’extraire d’une trop morne réalité.
Première
Consciente de l’objectification de ces jeunes filles ultra-féminines des classes populaires, et de leur dévalorisation, la réalisatrice avance à tâtons, avec une prudence confinant parfois à l’hésitation. Soulève des questions, qui n’auront jamais de réponses.
Voici
Dommage, alors, que le récit tombe parfois dans des passages obligés attendus et la mise en scène dans une sur-stylisation. Mais ce Diamant Brut emballe grâce à la prestation désarmante de naturel de Malou Khebizi, une actrice définitivement à suivre.
aVoir-aLire.com
Un premier long métrage attachant, qui distille une atmosphère prenante, et révèle de jeunes acteurs inspirés.
CinemaTeaser
Un portrait au départ juste et précis, qui perd progressivement de sa force.
Le Journal du Dimanche
Si elle filme au plus près les espoirs et la détermination d’une jeune fille qui se bat avec ce qui fait sa force (étonnante Malou Khebizi), la réalisatrice ne réussit pas à éviter, faute d’enjeux narratifs, les longueurs et les errements d’une attente douloureuse et interminable.
Libération
Si "Diamant brut" consacre à Liane quasiment tous ses plans et rend justice au travail minutieux qui se cache derrière sa beauté ouvragée (maquillage, lentilles colorées), il regarde toujours son activité, son goût du paraître, avec une certaine distance.
Marianne
La radiographie d’une certaine jeunesse biberonnée au consumérisme et aux réseaux sociaux est (parfois) convaincante, mais Diamant brut, à mi-parcours, s’enlise dans les répétitions et se condamne au surplace.
Abus de Ciné
Diamant brut se veut un conte contemporain qui questionne la représentation du féminin. Mais [...] la réalisatrice se contente ici de capturer des images, recherchant l’esthétisme à tout prix pour combler un scénario caricatural au possible.
Critikat.com
Le film n’envisage l’imaginaire de la bimbo que pour opérer une transmutation vers une matière bien plus noble. Autrement dit, le carbone, c’est le personnage, et le diamant qui en émerge, grâce à l’action de la cinéaste, c’est le film. Comment dès lors s’étonner que ce dernier soit en toc ?
L'Obs
Le vernis culturel apposé ici et là par la cinéaste sur le petit monde virtuel du personnage ne trompe personne – mention spéciale à l’envahissante musique lyrique qui accompagne les posts Instagram de la bimbo, affichés en grosses lettres sur l’écran. Il ne fait que souligner la part de grotesque et d’obscénité qui leste ce « Diamant brut » par le fond.