AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
4,0
451 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Sur un fil ?
5
38 critiques
4
40 critiques
3
13 critiques
2
3 critiques
1
0 critique
0
0 critique
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Reda Khateb en tant que réalisateur nous livre une comédie poignante. Un sujet lourd qui contourne le pathos pour émouvoir et faire rire. Aloise Sauvage y est brillante.
Reda Kateb réussit son passage derrière la caméra. Son film hommage au Rire médecin mêle le drame angoissant de la maladie et la légèreté tenace d'un travail sur l'humeur, qui propose autant le défouloir que le détournement de l'attention sur la douleur, réel tour de magie.
Si le scénario est mince et sans suspens, il accompagne l'apprentissage d'une activité spécifique qui mobilise un ensemble de qualités que les erreurs de la débutante mettent en lumière ainsi qu'une sincère sensibilité.
Quelques larmes et beaucoup de sourires pour un film pudique et généreux.
Si le scénario est mince et sans suspens, il accompagne l'apprentissage d'une activité spécifique qui mobilise un ensemble de qualités que les erreurs de la débutante mettent en lumière ainsi qu'une sincère sensibilité.
Quelques larmes et beaucoup de sourires pour un film pudique et généreux.
Un film entier et sincère. Effectivement certains diront qu'il y a là un sujet commun, mais on ça fait du bien de raccrocher à cette réalité et aux malheurs du milieu hospitalier. Un film riche en émotions.
Excellente histoire , nous avons adoré ce film!
L'actrice dans le rôle principal est magnifique, elle sait transmettre beaucoup d'émotions !
L'actrice dans le rôle principal est magnifique, elle sait transmettre beaucoup d'émotions !
Un petit film sympathique qui évoque le sujet très sensible des enfants malades. Il met en avant des clowns chargés d’humaniser l’hôpital. Une sorte de reportage bienveillant.
Que d'émotions pour un film portant sur un sujet qui ne pouvait qu'en procurer. Mission accomplie : comment ne pas s'identifier à la détresse de ces mômes et à la joie transmise par ces équipes de clowns ? On rit et on pleure, on s'attendrit et on se désespère, on vibre et on s'effondre. Quel bel hommage à une vraie troupe qui agit au quotidien. Rire médecin devrait être labellisée d'utilité publique, si elle ne l'est pas déjà ! Et que ça fait du bien de découvrir combien l'espèce humaine est capable du meilleur, quand ailleurs elle se montre si apte à faire le pire. Profitons de ces petits moments de bonheur qui redonnent confiance dans l'humanité. Pourquoi hésiter à se faire du bien, quand l'occasion nous en est donnée ?
Un petit bijou de film qui amène de l’émotion,de la réflexion et des acteurs sensibles et doués. A voir de toute urgence.
Suite à une chute lors d’un spectacle Jo va, pour vivre et ne pas rester inactive, intervenir et se former comme clown dans un service hospitalier pour enfant.
Tout au long du film Reta Kateb, le réalisateur nous fait découvrir l’apprentissage que l’héroïne va devoir faire et ainsi trouver la bonne distance auprès des enfants, des familles et savoir écouter ses partenaires. Cette distance qui lui permettra de se connaître.
Cette histoire si bien racontée, décrite grâce une maîtrise du langage cinématographique (très belles images et plans en introduction avant que l’acrobate rentre en scène) et avant tout grâce aux jeux d’acteurs qui font vivre les rôles principaux et secondaires.
Aloîse Sauvage qui donne vie à cette artiste fragile et volontaire,
Philippe Rebot interprète un « vieux » clown, sait, comme à l’accoutumé faire vivre ses personnages en apparence léger mais dont la profondeur se révèle dans le temps
Jean Philippe Buzaud, dont il me semble que c’est le premier film, est le 3ème clown discret et délicat.
On ne présente plus Sara Giraudeau qui réussit à donner une existence habitée d’une infirmière en chef, Samir Guesmi parfait en père de famille désorienté face aux soins douloureux subit par son fils. Je n’oublie pas une découverte pour moi, celle qui joue la responsable de l’association des clowns Elsa Wolliaston, femme forte qui avec son visage exprime en un éclair étonnement, écoute tendresse et rire.
Merci à Reta Kateb qui réussit à dépeindre avec empathie, sans pathos le monde hospitalier avec ses soignants, et ces malades, celui des clowns bénévoles, sans oublier les enfants si courageux dans les conditions que vous pouvez deviner. Je parlais de « bonne distance » que Jo devait avoir en tant que Clown, c’est exactement ce que M. Ketab a su avoir en tant que réalisateur.
Ce film sorti le 30 octobre n’a plus que deux cinémas qui le programment à Paris. Alors ne tardez pas à vernir le visionner ici ou ailleurs.
Tout au long du film Reta Kateb, le réalisateur nous fait découvrir l’apprentissage que l’héroïne va devoir faire et ainsi trouver la bonne distance auprès des enfants, des familles et savoir écouter ses partenaires. Cette distance qui lui permettra de se connaître.
Cette histoire si bien racontée, décrite grâce une maîtrise du langage cinématographique (très belles images et plans en introduction avant que l’acrobate rentre en scène) et avant tout grâce aux jeux d’acteurs qui font vivre les rôles principaux et secondaires.
Aloîse Sauvage qui donne vie à cette artiste fragile et volontaire,
Philippe Rebot interprète un « vieux » clown, sait, comme à l’accoutumé faire vivre ses personnages en apparence léger mais dont la profondeur se révèle dans le temps
Jean Philippe Buzaud, dont il me semble que c’est le premier film, est le 3ème clown discret et délicat.
On ne présente plus Sara Giraudeau qui réussit à donner une existence habitée d’une infirmière en chef, Samir Guesmi parfait en père de famille désorienté face aux soins douloureux subit par son fils. Je n’oublie pas une découverte pour moi, celle qui joue la responsable de l’association des clowns Elsa Wolliaston, femme forte qui avec son visage exprime en un éclair étonnement, écoute tendresse et rire.
Merci à Reta Kateb qui réussit à dépeindre avec empathie, sans pathos le monde hospitalier avec ses soignants, et ces malades, celui des clowns bénévoles, sans oublier les enfants si courageux dans les conditions que vous pouvez deviner. Je parlais de « bonne distance » que Jo devait avoir en tant que Clown, c’est exactement ce que M. Ketab a su avoir en tant que réalisateur.
Ce film sorti le 30 octobre n’a plus que deux cinémas qui le programment à Paris. Alors ne tardez pas à vernir le visionner ici ou ailleurs.
Bel hommage, film humain réaliste, touchant qui nous fait découvrir un merveilleux métier !
Il devrait y avoir plus de clowns en pédiatrie, la thérapie par le rire n'est plus à prouver !
Il devrait y avoir plus de clowns en pédiatrie, la thérapie par le rire n'est plus à prouver !
C'est un premier long métrage pour le réalisateur si je ne trompe pas , et pourtant il donne l'impression que le réalisateur en fait depuis plus de dix ans.
Très belle histoire sobre qui évite tous les clichés émotionnels nauséabonds , qui sait montrer ou suggérer sans voyeurisme la souffrance des enfants .
Une jolie brochette d'acteurs incroyables
Vivement le prochain ;-)
Très belle histoire sobre qui évite tous les clichés émotionnels nauséabonds , qui sait montrer ou suggérer sans voyeurisme la souffrance des enfants .
Une jolie brochette d'acteurs incroyables
Vivement le prochain ;-)
Très bon casting. acteurs justes et talentueux. Émotion, douceur et poesie sur des sujets profonds.Ça fait un bien fou ce film. Nous avons adoré, ma fille de 12 ans aussi. Bravo à toute l'equipe du film et à Reda Kateb.
Sur un fil, première réalisation de Reda Kateb, est une œuvre qui touche en plein cœur. Il aborde un thème délicat en plongeant dans le quotidien d’enfants hospitalisés. On est frappé par la dure réalité de leur combat ce qui entraine des scènes déchirantes. Au milieu de toutes cette douleur, les rires que provoquent les clowns apportent une lueur d'espoir. Philippe Rebbot incarne ce réconfort avec authenticité, et la présence d'acteurs non professionnels ajoute une dimension de sincérité. Le film montre à quel point ces clowns sont essentiels, non seulement pour les enfants, mais aussi pour redonner du courage au personnel soignant. Aloïse Sauvage est remarquable dans son rôle. Son personnage se trouve à un carrefour entre le rêve d'être adulé en tant qu'acrobate et le choix d'apporter de la joie aux enfants malades.
Ce film est tellement beau, fort, émouvant. Reda Kateb signe son premier long métrage et quelle belle réussite !
Rire, émotion, bienveillance, pudeur et délicatesse ( vu le sujet évoqué ), tout est réuni ! L'interprétation est magnifique, Aloise Sauvage en tête, Philippe Rebbot , Sara Giraudeau sans oublier tous les enfants . Sur un fil est magnétique, touchant, bouleversant mais puissant et infiniment positif et optimiste. Que de belles valeurs...
Foncez , pour sa 2e semaine à l'affiche, il se fait déjà bien trop rare sur les écrans.
Rire, émotion, bienveillance, pudeur et délicatesse ( vu le sujet évoqué ), tout est réuni ! L'interprétation est magnifique, Aloise Sauvage en tête, Philippe Rebbot , Sara Giraudeau sans oublier tous les enfants . Sur un fil est magnétique, touchant, bouleversant mais puissant et infiniment positif et optimiste. Que de belles valeurs...
Foncez , pour sa 2e semaine à l'affiche, il se fait déjà bien trop rare sur les écrans.
Très beau film qui montre une facette intéressante du travail des clowns à l’hôpital en suivant le parcours d’une jeune femme qui découvre ce métier.
Ce film m’a fait rire, m’a ému, m’a transporté !
Ce film m’a fait rire, m’a ému, m’a transporté !
Un gentil film qui ne révolutionnera pas le cinéma et sur des thèmes un peu trop souvent vus récemment au cinéma ( Booder avait interprété un rôle proche il y a moins de 2 ans). L'ensemble reste correct à regarder et pas mal interprété mais reste juste un divertissement familial avec de belles valeurs.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse