Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un point de vue humaniste sans angélisme qui balaie tout risque de pathos, où peuvent alors cohabiter organiquement légèreté et gravité, en un ballet d’émotions écrites et mises en scène avec rigueur.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un film sensible, où brille l’actrice et chanteuse Aloïse Sauvage.
LCI
par Rania Hoballah
Un film bouleversant sur les clowns dans les hôpitaux.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le comédien Reda Kateb réussit sa mue en cinéaste avec ce premier film attachant sur les clowns qui interviennent en service pédiatrique. Il est servi par des acteurs intenses, à commencer par la très juste Aloïse Sauvage.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le film est à l'image de son auteur : pudique, humble, sincère, délicat et touchant.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Dans son premier film en tant que réalisateur, le talentueux comédien met en scène une bande de clowns qui oeuvrent pour les enfants hospitalisés. Touchant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Nice-Matin
par Karine Michel
Cette histoire, entre rires et larmes, nous donne avec bienveillance une belle leçon de vie.
La critique complète est disponible sur le site Nice-Matin
Ouest France
par Thierry Chèze
Un film d'une empathie folle, souvent poignant (...).
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Funambule subtil, Reda Kateb trouve le bon équilibre entre le rire et les larmes, entre le réel, douloureux, et la fantaisie, qui fait de l'hôpital un terrain de jeu poétique et joyeux, où s'épanouit une troupe d'acteurs ultra-sensibles.
Version Femina
par Hadrien Machart
Portée par un trio d'acteurs sensibles et engagés, cette histoire nous embarque dans un univers passionnant tout en jouant avec nos émotions.
Voici
par Daniel Bois
Émouvant, juste et même drôle.
Abus de Ciné
par Guillaume Gas
Pas un demi-gramme de pathos à dénicher dans ce film volontairement joyeux et optimiste, calé de bout en bout sur l’état d’esprit de son trio de protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Au prosaïsme méthodique de son récit et de sa mise en scène (...) le cinéaste substitue peu à peu une finesse et un tact puisés à l’évidence dans son expérience d’acteur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
C’est une leçon de vulnérabilité et de résilience, que l’immense et sage Elsa Wolliaston, danseuse, chorégraphe et comédienne, prend en charge.
Diverto
par La Rédaction
Reda Kateb a l’intelligence de brosser une galerie de portraits et de seconds rôles tout en nuances (...) dans un film humain, où rire et pleurer sonnent comme des évidences.
La critique complète est disponible sur le site Diverto
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Un scénario plus resserré et une réalisation plus épurée auraient sans doute permis à ce premier film sensible, qui traite d'un beau sujet, d'être complètement abouti.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Guillaume Loison
Reda Kateb n’a nul besoin ici de se montrer devant la caméra : ce film pétri de chaleur et de générosité, qui revendique sans trop en faire sa soif de tolérance et d’altérité, lui ressemble assez comme ça.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Peut-être aussi que le récit aurait mérité un enjeu dramatique plus affirmé. Mais davantage que la vie quotidienne d’un service pédiatrique, le vrai sujet de ce premier, c’est la manière dont Jo/Zouzou réapprivoise, ou peut-être apprivoise tout court, son art circassien, en compagnie de deux complices au nez rouge plus expérimentés. Cette approche-là se révèle singulière, sensible, pudique et émouvante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Clown ailé, Aloïse Sauvage, circassienne, chanteuse et comédienne, tire vers le haut le premier film tendre et simple de Reda Kateb.
Le Figaro
par Constance Jamet
Pour son premier film en tant que réalisateur, le comédien plonge avec poésie et sincérité dans le quotidien des clowns au chevet des enfants malades.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par La Rédaction
Le film ne se perd jamais dans un pathos exubérant – Aloïse Sauvage joue avec justesse – et c'est là sa plus grande qualité. Mais il s'éprend parfois d'un peu trop de bons sentiments, que l'on sait, dans le registre, rarement payants.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Dans l'ensemble maîtrisé, le premier long métrage de Reda Kateb est hélas entravé par son écriture programmatique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
« Sur un fil » ressemble à son auteur, à la fois pudique et généreux. On pourra arguer que la mise en scène reste trop sage, à longue distance du pathos mais c’est justement là que se niche le regard de Reda Kateb.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Kateb assume en effet à 100% le registre ultra- émotionnel dans lequel son récit évolue, sans chercher à le complexifier inutilement pour « faire auteur ». Il y a dans cette limpidité, dans cette foi en la noblesse d’un cinéma populaire qui parle au cœur un geste de fait audacieux à notre époque du cynisme roi.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Alexandra Ayo Barro
Le film peine parfois à susciter l'émotion escomptée, mais brille par un joli casting porté par Aloïse Sauvage et Sara Giraudeau.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Cette jolie histoire de clowns et d’enfants malades, racontée dans le premier film de Reda Kateb, ne manque ni de charme, ni de tendresse, sans pour autant éviter hélas des maladresses dans le scénario.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par M. Jo.
Poliment, le récit suit une recette. On y retrouve là les grandes tendances du cinéma français populaire, fédérateur et réparateur. Sur un fil rassure sans cesse le spectateur qui a payé pour une fiction thérapeutique et un sourire aux lèvres.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
Premier film de Reda Kateb, acteur génial, cette comédie verse dans l’excès de bons sentiments sans réussir à être drôle. Pour un film sur des clowns, c’est embêtant…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Clément Colliaux
La cause a beau être noble, le film, enfilade de lieux communs emballés dans une mise en scène impersonnelle, pèche de voir ses bonnes intentions s’imposer comme seul programme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Marion Michel
Malgré quelques beaux moments, l’acteur-réalisateur rate son sujet de peu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
Un point de vue humaniste sans angélisme qui balaie tout risque de pathos, où peuvent alors cohabiter organiquement légèreté et gravité, en un ballet d’émotions écrites et mises en scène avec rigueur.
Femme Actuelle
Un film sensible, où brille l’actrice et chanteuse Aloïse Sauvage.
LCI
Un film bouleversant sur les clowns dans les hôpitaux.
La Croix
Le comédien Reda Kateb réussit sa mue en cinéaste avec ce premier film attachant sur les clowns qui interviennent en service pédiatrique. Il est servi par des acteurs intenses, à commencer par la très juste Aloïse Sauvage.
Le Journal du Dimanche
Le film est à l'image de son auteur : pudique, humble, sincère, délicat et touchant.
Les Echos
Dans son premier film en tant que réalisateur, le talentueux comédien met en scène une bande de clowns qui oeuvrent pour les enfants hospitalisés. Touchant.
Nice-Matin
Cette histoire, entre rires et larmes, nous donne avec bienveillance une belle leçon de vie.
Ouest France
Un film d'une empathie folle, souvent poignant (...).
Télé 7 Jours
Funambule subtil, Reda Kateb trouve le bon équilibre entre le rire et les larmes, entre le réel, douloureux, et la fantaisie, qui fait de l'hôpital un terrain de jeu poétique et joyeux, où s'épanouit une troupe d'acteurs ultra-sensibles.
Version Femina
Portée par un trio d'acteurs sensibles et engagés, cette histoire nous embarque dans un univers passionnant tout en jouant avec nos émotions.
Voici
Émouvant, juste et même drôle.
Abus de Ciné
Pas un demi-gramme de pathos à dénicher dans ce film volontairement joyeux et optimiste, calé de bout en bout sur l’état d’esprit de son trio de protagonistes.
Cahiers du Cinéma
Au prosaïsme méthodique de son récit et de sa mise en scène (...) le cinéaste substitue peu à peu une finesse et un tact puisés à l’évidence dans son expérience d’acteur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
C’est une leçon de vulnérabilité et de résilience, que l’immense et sage Elsa Wolliaston, danseuse, chorégraphe et comédienne, prend en charge.
Diverto
Reda Kateb a l’intelligence de brosser une galerie de portraits et de seconds rôles tout en nuances (...) dans un film humain, où rire et pleurer sonnent comme des évidences.
Franceinfo Culture
Un scénario plus resserré et une réalisation plus épurée auraient sans doute permis à ce premier film sensible, qui traite d'un beau sujet, d'être complètement abouti.
L'Obs
Reda Kateb n’a nul besoin ici de se montrer devant la caméra : ce film pétri de chaleur et de générosité, qui revendique sans trop en faire sa soif de tolérance et d’altérité, lui ressemble assez comme ça.
La Voix du Nord
Peut-être aussi que le récit aurait mérité un enjeu dramatique plus affirmé. Mais davantage que la vie quotidienne d’un service pédiatrique, le vrai sujet de ce premier, c’est la manière dont Jo/Zouzou réapprivoise, ou peut-être apprivoise tout court, son art circassien, en compagnie de deux complices au nez rouge plus expérimentés. Cette approche-là se révèle singulière, sensible, pudique et émouvante.
Le Dauphiné Libéré
Clown ailé, Aloïse Sauvage, circassienne, chanteuse et comédienne, tire vers le haut le premier film tendre et simple de Reda Kateb.
Le Figaro
Pour son premier film en tant que réalisateur, le comédien plonge avec poésie et sincérité dans le quotidien des clowns au chevet des enfants malades.
Le Point
Le film ne se perd jamais dans un pathos exubérant – Aloïse Sauvage joue avec justesse – et c'est là sa plus grande qualité. Mais il s'éprend parfois d'un peu trop de bons sentiments, que l'on sait, dans le registre, rarement payants.
Les Fiches du Cinéma
Dans l'ensemble maîtrisé, le premier long métrage de Reda Kateb est hélas entravé par son écriture programmatique.
Paris Match
« Sur un fil » ressemble à son auteur, à la fois pudique et généreux. On pourra arguer que la mise en scène reste trop sage, à longue distance du pathos mais c’est justement là que se niche le regard de Reda Kateb.
Première
Kateb assume en effet à 100% le registre ultra- émotionnel dans lequel son récit évolue, sans chercher à le complexifier inutilement pour « faire auteur ». Il y a dans cette limpidité, dans cette foi en la noblesse d’un cinéma populaire qui parle au cœur un geste de fait audacieux à notre époque du cynisme roi.
Télé Loisirs
Le film peine parfois à susciter l'émotion escomptée, mais brille par un joli casting porté par Aloïse Sauvage et Sara Giraudeau.
aVoir-aLire.com
Cette jolie histoire de clowns et d’enfants malades, racontée dans le premier film de Reda Kateb, ne manque ni de charme, ni de tendresse, sans pour autant éviter hélas des maladresses dans le scénario.
Le Monde
Poliment, le récit suit une recette. On y retrouve là les grandes tendances du cinéma français populaire, fédérateur et réparateur. Sur un fil rassure sans cesse le spectateur qui a payé pour une fiction thérapeutique et un sourire aux lèvres.
Le Parisien
Premier film de Reda Kateb, acteur génial, cette comédie verse dans l’excès de bons sentiments sans réussir à être drôle. Pour un film sur des clowns, c’est embêtant…
Libération
La cause a beau être noble, le film, enfilade de lieux communs emballés dans une mise en scène impersonnelle, pèche de voir ses bonnes intentions s’imposer comme seul programme.
Télérama
Malgré quelques beaux moments, l’acteur-réalisateur rate son sujet de peu.