Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Culturopoing.com
par Alexandre Lebrac
Récit poignant d’une tragédie historique à la résonance plus actuelle que jamais, SHTTL s’impose comme un geste formel et dramaturgique fort.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Figaro
par Valérie Beck
Témoignage poignant, ce Shttl [...] marque autant par son sujet que ses qualités cinématographiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Dans un premier film impressionnant, le réalisateur français Ady Walter évoque la vie des habitants d’un village juif d’Ukraine exécutés par la Wehrmacht.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
“Shttl” substitue aux visages de personnes disparues depuis longtemps, aux photos des shtetls ou des massacres qui y furent commis, les visages de vivant·es, d’acteur·rices. Faire revivre une langue, des villes, des pensées, des fantômes : à quoi le cinéma pourrait-il servir de mieux ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Les Fiches du Cinéma
par Jef Marcadé
Montée en un plan unique et donc en temps réel, l’immersion dans un shtetl avant l’anéantissement aurait été plus convaincante sans cette armature formelle.
Libération
par Luc Chessel
Choisir entre la fidélité (réaliste) à l’histoire de ce qui a disparu, et la tentation du tour de force (formel et signifiant) semble avoir été un dilemme, résolu par la fuite en avant plutôt que par la réserve. Ce n’est pas du Donskoï, mais il y a des idées.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
Dans ce film qui éclaire une page d’histoire encore mal connue, tout le monde parle le yiddish. Et c’est un plaisir de réentendre cette langue, un allemand dérivé, pratiqué depuis des siècles par les Juifs d’Europe centrale et orientale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Dans un magnifique et étourdissant plan séquence, Ady Walter raconte les dernières vingt-quatre heures d’un village juif aux portes de la Pologne à travers les yeux d’un jeune cinéaste revenu chercher sa promise. Si l’effet visuel est stupéfiant, l’écriture du récit s’étire en longueur et finit par perdre le spectateur
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
[...] le sentiment immersif qu’entend ménager le film est parasité par d’étranges anachronismes (les tirades féministes sur l’émancipation des épouses hassidiques) et le mickeymousing d’une bande sonore aussi balourde que le dispositif.
Le Monde
par J. Ma.
Dialogues, personnages et intrigues y semblent toutefois le simple véhicule d’un travail de recherche (linguistique, sociétal, religieux, artistique…) dont il faut au minimum saluer le sérieux. Il eût sans doute fallu inverser les priorités pour éviter que la chape muséale se referme sur le film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Nicolas Moreno
Le procédé asphyxie toutes les relations entre les personnages, et empêche aux thèmes riches de se déployer convenablement (tourné en yiddish, le film interroge notamment l’identité juive en Europe orientale).
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Récit poignant d’une tragédie historique à la résonance plus actuelle que jamais, SHTTL s’impose comme un geste formel et dramaturgique fort.
Le Figaro
Témoignage poignant, ce Shttl [...] marque autant par son sujet que ses qualités cinématographiques.
Le Point
Dans un premier film impressionnant, le réalisateur français Ady Walter évoque la vie des habitants d’un village juif d’Ukraine exécutés par la Wehrmacht.
Les Inrockuptibles
“Shttl” substitue aux visages de personnes disparues depuis longtemps, aux photos des shtetls ou des massacres qui y furent commis, les visages de vivant·es, d’acteur·rices. Faire revivre une langue, des villes, des pensées, des fantômes : à quoi le cinéma pourrait-il servir de mieux ?
Les Fiches du Cinéma
Montée en un plan unique et donc en temps réel, l’immersion dans un shtetl avant l’anéantissement aurait été plus convaincante sans cette armature formelle.
Libération
Choisir entre la fidélité (réaliste) à l’histoire de ce qui a disparu, et la tentation du tour de force (formel et signifiant) semble avoir été un dilemme, résolu par la fuite en avant plutôt que par la réserve. Ce n’est pas du Donskoï, mais il y a des idées.
Télérama
Dans ce film qui éclaire une page d’histoire encore mal connue, tout le monde parle le yiddish. Et c’est un plaisir de réentendre cette langue, un allemand dérivé, pratiqué depuis des siècles par les Juifs d’Europe centrale et orientale.
aVoir-aLire.com
Dans un magnifique et étourdissant plan séquence, Ady Walter raconte les dernières vingt-quatre heures d’un village juif aux portes de la Pologne à travers les yeux d’un jeune cinéaste revenu chercher sa promise. Si l’effet visuel est stupéfiant, l’écriture du récit s’étire en longueur et finit par perdre le spectateur
Cahiers du Cinéma
[...] le sentiment immersif qu’entend ménager le film est parasité par d’étranges anachronismes (les tirades féministes sur l’émancipation des épouses hassidiques) et le mickeymousing d’une bande sonore aussi balourde que le dispositif.
Le Monde
Dialogues, personnages et intrigues y semblent toutefois le simple véhicule d’un travail de recherche (linguistique, sociétal, religieux, artistique…) dont il faut au minimum saluer le sérieux. Il eût sans doute fallu inverser les priorités pour éviter que la chape muséale se referme sur le film.
Première
Le procédé asphyxie toutes les relations entre les personnages, et empêche aux thèmes riches de se déployer convenablement (tourné en yiddish, le film interroge notamment l’identité juive en Europe orientale).