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Votre avis sur Perfect Days ?
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Un beau film sur la vie et l'art qui peuvent fusionner chez n'importe qui, pourvu qu'il le décide : littérature, musique, photographie... et aucun W.C dans les scènes au domicile du personnage ;-)
Si vous ne vous épanouissez pas dans votre vie, c’est ce que vous n’êtes pas encore allés voir Perfect days le dernier film de Wim Wenders. L’histoire se passe à Tokyo et raconte le quotidien d’un agent d’entretien des toilettes publiques. Et bien, croyez le ou pas, ce film est une cure de bien être. Loin de l’agitation du monde moderne, le personnage nous entraine dans son monde intérieur, un monde connecté à la nature, à l’instant présent, tous ces petites choses de la vie que nous ne voyons plus et que nous redécouvrons avec émotion dans Perfect days.
Si en sortant de la projection, vous entendez une petite voix intérieure vous demander de ralentir et de regarder la vie autour de vous, alors,
Il est à peu près certain que votre vie sera plus douce et harmonieuse. Un film qui fait du bien et qui nous poursuit longtemps.
Si en sortant de la projection, vous entendez une petite voix intérieure vous demander de ralentir et de regarder la vie autour de vous, alors,
Il est à peu près certain que votre vie sera plus douce et harmonieuse. Un film qui fait du bien et qui nous poursuit longtemps.
Une vie de salarié rêvée !! Comme on aimerait. Des rencontres, une bande son impeccable, le retour des cassettes...bon il faut aimer quand même le cinema contemplatif. Un rien plus court nous aurions un chef d'œuvre.
Des bienfaits de la routine dans une modernité brutale. Le scénario. Développe entre auteur japonais et cinéaste visionnaire, on ne s'attend pas à cette déstructuration complète de la vie d'un homme. Le film à mon humble avis illustre la résilience face à une violence sociale de caste, l'homme est éduqué et sa vie s'est figée pour une cause inconnue à l'époque des cassettes audios. N'empêche il vit dedans, dans cette époque enfuie, conserve son esprit au calme, la routine entretient la paix de son esprit et sans doute de son âme, l'illustration des séquences de rêves exposant cette vertu. On y parle aussi de la vieillesse active, et de l'assaut de l'étrange dans l'humain. C'est un exercice contemplatif, avec la préservation d'un bien être qui maintient les autres à distance, cette fonction de gérant de propreté des toilettes publiques, merveilles de l'architecture urbaine au Japon,.
Wim wenders nous embarque dans un histoire simple et routinière de cet homme et son quotidien de laveur de toilettes dans un Japon réaliste. Film contemplatiste et fait d'ascétisme qui se concentre sur le comment être et non pas sur le pourquoi j’en suis là, avec un superbe acteur tout en légèreté et profondeur sans parole ou presque : Kôji Yakusho. Note spéciale aux musiques qui bercent cette histoire.
Un film doux, paisible. Ici, pas d'héroïsme, pas de pression, pas de performance. Un homme simple qui aime sa routine, et savoure des petits plaisirs. Des toilettes (superbes d'ailleurs) mises à l'honneur, ce n'est pas banal. La dignité, la beauté, l'humilité filmées avec poésie, en intériorité. Ça fait beaucoup de bien, comme un visage souriant.
Film poétique entre la monotonie d'un quotidien et les petites beautés qu'on peut apercevoir partout, quand on se donne la peine de la regarder, un film qui m'a vraiment ému en ce jour de noël.
J'ai aimé les tonalités de ce film : rose ou vert.
J'ai aimé les contrastes entre les constructions rectilignes et les feuilles des arbres naturels.
J'ai aimé cet homme à la vie bien rangée dont on ne saura rien, ou si peu de chose, mais ce n'est pas l'essentiel.
L'essentiel est qu'il ai trouvé son propre équilibre et une vie qui lui convient, humble.
J'ai aimé la bande son qui accompagne ses journées.
J'ai aimé la libraire qui résume en une phrase le genre du roman que choisi l'homme.
J'ai aimé qu'aucune scène identique ne soit répétitive car filmée sous des angles différents : chaque journée identique n'est jamais la même.
J'ai aimé le jeu de morpion à l'aveugle.
J'ai aimé les rêves en NB qui reprennent des éléments de sa journée.
Et toujours la Tokyo Tower en ligne de mire comme un repère.
Un film très doux et très émouvant.
J'ai aimé les contrastes entre les constructions rectilignes et les feuilles des arbres naturels.
J'ai aimé cet homme à la vie bien rangée dont on ne saura rien, ou si peu de chose, mais ce n'est pas l'essentiel.
L'essentiel est qu'il ai trouvé son propre équilibre et une vie qui lui convient, humble.
J'ai aimé la bande son qui accompagne ses journées.
J'ai aimé la libraire qui résume en une phrase le genre du roman que choisi l'homme.
J'ai aimé qu'aucune scène identique ne soit répétitive car filmée sous des angles différents : chaque journée identique n'est jamais la même.
J'ai aimé le jeu de morpion à l'aveugle.
J'ai aimé les rêves en NB qui reprennent des éléments de sa journée.
Et toujours la Tokyo Tower en ligne de mire comme un repère.
Un film très doux et très émouvant.
L'histoire d'une vie qui se veut simple, bien faire son travail, parce qu'il nous permet d'exister.
Un film qui ne laisse pas indifférent.
Pour ma part, il s'agirait de se révolter un peu.
Un film qui ne laisse pas indifférent.
Pour ma part, il s'agirait de se révolter un peu.
J'ai beaucoup apprécié l'histoire de cet homme, dont on sait peu de chose en définitive et qui façonne son bonheur dans un quotidien minimaliste, humble et bien réglé. C'est aussi une vision d'un société Japonaise qui parvient à juxtaposer tradition et modernité, jeunes et anciens, modération et faste.
Les rôles sont bien écrits et parfaitement interprétés. Aucun ennui.
Un très beau film. Je vais m'acheter le DVD pour le revoir de temps en temps.
Les rôles sont bien écrits et parfaitement interprétés. Aucun ennui.
Un très beau film. Je vais m'acheter le DVD pour le revoir de temps en temps.
Un beau film qui parle de solitude , de sagesse, des beautés discrètes du quotidien, de routine sereine parfois perturbée par des tiers. J"ai beaucoup aimé même si 15 mn de moins n'auraient pas nuit. J'aime aussi car cette réalisation est une vraie prise de risque, tenue par quasiment un seul acreur (magistral) et répétant inlassablement les mêmes journées. La BO faite de standards musicaux est top.
Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu un film de W.Wenders et un film qui ne succombe pas (complètement) à toute une afféterie visuelle dont hélas W.W est devenu coutumier. Ici la délicatesse l'emporte. Alors bien sûr, le cinéaste n'ose pas radicaliser son geste. Les répétitions (rituels du matin et du soir) sont vite accélérées par le montage, et c'est dommage car l'expérience aurait été à vivre avec le personnage et non simplement à montrer (mais Akerman n'est plus là), mais malgré tout le rythme est précis. Et si Wenders ne peut s'empêcher d'égayer la banalité du quotidien (un homme nettoie les toilettes, voilà l'histoire) par des personnages un peu trop facilement caractérisées (le jeune collègue, sa fiancée etc...),cela n'empêche pas la finesse de l'intrigue. Elle est portée par un personnage retenu, mystérieux et un acteur parfaitement dans son rôle. Je n'ai pas vu un hommage aux petits riens de l'existence mais plutôt une sorte de journal intime où les choses arrivent avant de disparaitre. C'est sans doute dans sa capacité à évoquer une intrigue plus profonde (la nièce, la soeur, le passé ou les sentiments amoureux pour la femme du bar) mais sans rien dévoiler ou expliciter que le film trouve ses instants les plus justes.
C'est l'histoire (quasi sans paroles) d'un type qui nettoie des chiottes à Tokyo.
Et c'est une merveille de poésie et d'émotions. Foncez-y !
Et c'est une merveille de poésie et d'émotions. Foncez-y !
superbe évocation : la profondeur et la force tranquille de cet univers poétique. une palme d'interpretation amplement méritée pour le merveilleux acteur!
Film d'ambiance de grande valeur philosophique. J'ai eu du mal à rester attentif tout le long de l'histoire mais à la fin j'avais envie de le revoir. Ce film nous donne à réfléchir sur nos choix de vie, le monde dans lequel on veut vivre, ce à quoi il faut ou non accorder de l'importance, ce à quoi on s'attache et finalement si le bonheur c'était juste d'éviter d'avoir un caillou dans sa chaussure...
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