Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Un bonheur de film, qui fait l'éloge de la pleine présence à l'instant avec une absolue délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Elle
par Françoise Delbecq
Dans cette histoire épurée incarnée par le formidable acteur Koji Yakusho, Wim Wenders livre aussi un somptueux tableau de Tokyo.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Certains films relèvent du miracle. "Perfect Days" en fait partie, un instant suspendu et merveilleux, empli de grâce, de pureté, de délicatesse, de poésie et de bienveillance.
Ouest France
par Michel Oriot
Wim Wenders filme avec poésie cette vie simple. Prix d'interprétation masculine de Cannes au magnifique Koji Yakusho.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Tout est doux, élégant, mesuré, rien n’est agressif dans ce récit d’une existence centrée sur l’essentiel. Dans le rôle de Hirayama, Koji Yakusho parle peu mais ses frémissements intérieurs crèvent l’écran.
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce portrait n’ennuie jamais tant il se révèle apaisant et d’une intense beauté.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
On n’imaginait pas Wim Wenders avoir encore en lui un tel film, aussi juste et délicat. Dont acte.
Culturopoing.com
par Sandra Blachon
Bénéficiant d’une totale liberté artistique, Wim Wenders a préféré créer un personnage "à travers lequel on pourrait trouver l’essence d’une culture japonaise accueillante" dans un long métrage écrit en étroite collaboration avec Takuma Takasaki, garantissant un véritable respect des us et coutumes du pays.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Au Japon, Wim Wenders poétise avec une élégance inouïe la vie d’un humble nettoyeur de toilettes publiques. Avec une grâce aérienne, Koji Yakusho donne des ailes et du désir à un personnage de rêveur ordinaire et superbe.
Ecran Large
par Ewen Linet
Avec une grâce rare, "Perfect Days" explore les méandres de la vie intérieure d'un héros ordinaire. Par-delà les apparences de l'errance, Wim Wenders dévoile une subtilité saisissante qui émeut intimement, portée par la performance magistrale de Kôji Yakusho.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
GQ
par Adam Sanchez
Cette joliesse, qui déborde par tous les pores de "Perfect Days", pourrait faire du film une expérience suffocante et détestable, le transformer en une grosse machine “impossible à ne pas aimer”, mais Wim Wenders est un cinéaste autrement plus intelligent et surtout déterminé à ne pas manipuler les émotions du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Samuel Gleyze-Esteban
De retour au Japon, le cinéaste allemand signe avec Perfect Days le portrait délicat d’un nettoyeur de toilettes tokyoïte.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
C’est inattendu, déconcertant, beau et, d’une certaine manière, fascinant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Wim Wenders signe un film sur les petits riens, qui aurait pu déboucher sur un grand vide mais donne au contraire un concentré de poésie lumineuse.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Hirayama a de l’élégance. Il a de l’humilité. Il a de la splendeur. À ce personnage silencieusement expressif, tout en harmonie et grâce, Koji Yakusho confère une sensible grandeur, une substance poétique. Il n’en résout jamais le fascinant mystère, qu’on se plaît à regarder, avec un étonnement renouvelé.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Une oeuvre délicate et poétique, le voyage le plus original de cette fin d'année.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Autour du quotidien répétitif d’un employé chargé de l’entretien de toilettes publiques (et de ce qui, au fil des jours, va dérégler cette routine), Wenders compose une fiction mineure, mais d’une modestie séduisante - sa meilleure depuis des lustres.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Le film de Wenders n’est jamais aussi gracieux et émouvant que lorsqu’il s’attache à décrire rigoureusement la matière de l’ordinaire, de l’Arte povera mis en images. La caméra semble moins là pour scruter comment la société de consommation nous assujettit que pour révéler la beauté fragile, fugace mais essentielle de ces petits riens.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Frédéric Foubert
Malgré la convocation des fétiches du monde pré-numérique (cassettes audio, photos argentiques, discussion avec sa nièce où notre héros apprend l'existence de Spotify…), Wenders ne tombe jamais dans la posture de brocanteur rock qui a fini par plomber le cinéma de Jarmusch.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par Margot Loisel
Une chronique de vie bouleversante.
Voici
par La Rédaction
Une chronique juste et poignante.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Perfect Days apparaît comme une balade poétique et spirituelle dans une ville japonaise qui pourrait être américaine ou européenne. L’enjeu essentiel de la fiction est de montrer que le bonheur se trouve dans le goût des choses simples et que la consommation produit du manque et donc du désarroi.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
[Un] portrait touchant et zen, valorisation émouvante des "petites gens".
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Cl. F.
Il n’empêche, Perfect Days donne une impression de déjà-vu. Tant le sujet que le dispositif nous rappelle le somptueux Paterson (2016), de Jim Jarmusch, avec Adam Driver dans le rôle d’un chauffeur de bus, auteur et poète à ses heures.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Frédéric Strauss
Une fiction douce sur la fluidité du quotidien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Loin de la philosophie qu’il prétend enseigner, Wenders propose deux heures d’escapism dans un Japon fantasmé, où les dominés seraient bien culottés de se plaindre.
Critikat.com
par Josué Morel
Ici, nulle poésie des latrines : tout est lisse, sans accroc, passé à la moulinette d’une mécanique narrative dont Wenders n'investit pas le potentiel.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par La Rédaction
Et on devra se contenter — ou non — de cette intrigue minimaliste, qui semble dire que malgré les épreuves, il faut rechercher la poésie et la beauté dans la nature, l’art et les détails les plus insignifiants du quotidien.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Didier Péron
Suivant, façon néo-road movie, un employé dévoué au récurage de toilettes publiques high-tech à Tokyo, le cinéaste allemand peine à nous embarquer dans son carpe diem farci de fausse plénitude et de fétiches culturels.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Fabrice Leclerc
On ressort de « Perfect days » comme bercé mais jamais concerné.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un film mou qui traîne des pieds et patine comme un savon.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Bande à part
Un bonheur de film, qui fait l'éloge de la pleine présence à l'instant avec une absolue délicatesse.
Elle
Dans cette histoire épurée incarnée par le formidable acteur Koji Yakusho, Wim Wenders livre aussi un somptueux tableau de Tokyo.
Le Journal du Dimanche
Certains films relèvent du miracle. "Perfect Days" en fait partie, un instant suspendu et merveilleux, empli de grâce, de pureté, de délicatesse, de poésie et de bienveillance.
Ouest France
Wim Wenders filme avec poésie cette vie simple. Prix d'interprétation masculine de Cannes au magnifique Koji Yakusho.
Sud Ouest
Tout est doux, élégant, mesuré, rien n’est agressif dans ce récit d’une existence centrée sur l’essentiel. Dans le rôle de Hirayama, Koji Yakusho parle peu mais ses frémissements intérieurs crèvent l’écran.
20 Minutes
Ce portrait n’ennuie jamais tant il se révèle apaisant et d’une intense beauté.
CinemaTeaser
On n’imaginait pas Wim Wenders avoir encore en lui un tel film, aussi juste et délicat. Dont acte.
Culturopoing.com
Bénéficiant d’une totale liberté artistique, Wim Wenders a préféré créer un personnage "à travers lequel on pourrait trouver l’essence d’une culture japonaise accueillante" dans un long métrage écrit en étroite collaboration avec Takuma Takasaki, garantissant un véritable respect des us et coutumes du pays.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Au Japon, Wim Wenders poétise avec une élégance inouïe la vie d’un humble nettoyeur de toilettes publiques. Avec une grâce aérienne, Koji Yakusho donne des ailes et du désir à un personnage de rêveur ordinaire et superbe.
Ecran Large
Avec une grâce rare, "Perfect Days" explore les méandres de la vie intérieure d'un héros ordinaire. Par-delà les apparences de l'errance, Wim Wenders dévoile une subtilité saisissante qui émeut intimement, portée par la performance magistrale de Kôji Yakusho.
GQ
Cette joliesse, qui déborde par tous les pores de "Perfect Days", pourrait faire du film une expérience suffocante et détestable, le transformer en une grosse machine “impossible à ne pas aimer”, mais Wim Wenders est un cinéaste autrement plus intelligent et surtout déterminé à ne pas manipuler les émotions du spectateur.
L'Humanité
De retour au Japon, le cinéaste allemand signe avec Perfect Days le portrait délicat d’un nettoyeur de toilettes tokyoïte.
L'Obs
C’est inattendu, déconcertant, beau et, d’une certaine manière, fascinant.
La Voix du Nord
Wim Wenders signe un film sur les petits riens, qui aurait pu déboucher sur un grand vide mais donne au contraire un concentré de poésie lumineuse.
Le Dauphiné Libéré
Hirayama a de l’élégance. Il a de l’humilité. Il a de la splendeur. À ce personnage silencieusement expressif, tout en harmonie et grâce, Koji Yakusho confère une sensible grandeur, une substance poétique. Il n’en résout jamais le fascinant mystère, qu’on se plaît à regarder, avec un étonnement renouvelé.
Les Echos
Une oeuvre délicate et poétique, le voyage le plus original de cette fin d'année.
Les Fiches du Cinéma
Autour du quotidien répétitif d’un employé chargé de l’entretien de toilettes publiques (et de ce qui, au fil des jours, va dérégler cette routine), Wenders compose une fiction mineure, mais d’une modestie séduisante - sa meilleure depuis des lustres.
Les Inrockuptibles
Le film de Wenders n’est jamais aussi gracieux et émouvant que lorsqu’il s’attache à décrire rigoureusement la matière de l’ordinaire, de l’Arte povera mis en images. La caméra semble moins là pour scruter comment la société de consommation nous assujettit que pour révéler la beauté fragile, fugace mais essentielle de ces petits riens.
Première
Malgré la convocation des fétiches du monde pré-numérique (cassettes audio, photos argentiques, discussion avec sa nièce où notre héros apprend l'existence de Spotify…), Wenders ne tombe jamais dans la posture de brocanteur rock qui a fini par plomber le cinéma de Jarmusch.
Télé 2 semaines
Une chronique de vie bouleversante.
Voici
Une chronique juste et poignante.
aVoir-aLire.com
Perfect Days apparaît comme une balade poétique et spirituelle dans une ville japonaise qui pourrait être américaine ou européenne. L’enjeu essentiel de la fiction est de montrer que le bonheur se trouve dans le goût des choses simples et que la consommation produit du manque et donc du désarroi.
Franceinfo Culture
[Un] portrait touchant et zen, valorisation émouvante des "petites gens".
Le Monde
Il n’empêche, Perfect Days donne une impression de déjà-vu. Tant le sujet que le dispositif nous rappelle le somptueux Paterson (2016), de Jim Jarmusch, avec Adam Driver dans le rôle d’un chauffeur de bus, auteur et poète à ses heures.
Télérama
Une fiction douce sur la fluidité du quotidien.
Cahiers du Cinéma
Loin de la philosophie qu’il prétend enseigner, Wenders propose deux heures d’escapism dans un Japon fantasmé, où les dominés seraient bien culottés de se plaindre.
Critikat.com
Ici, nulle poésie des latrines : tout est lisse, sans accroc, passé à la moulinette d’une mécanique narrative dont Wenders n'investit pas le potentiel.
Le Parisien
Et on devra se contenter — ou non — de cette intrigue minimaliste, qui semble dire que malgré les épreuves, il faut rechercher la poésie et la beauté dans la nature, l’art et les détails les plus insignifiants du quotidien.
Libération
Suivant, façon néo-road movie, un employé dévoué au récurage de toilettes publiques high-tech à Tokyo, le cinéaste allemand peine à nous embarquer dans son carpe diem farci de fausse plénitude et de fétiches culturels.
Paris Match
On ressort de « Perfect days » comme bercé mais jamais concerné.
Le Figaro
Un film mou qui traîne des pieds et patine comme un savon.