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Votre avis sur Juré n°2 ?
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Film parfait et classique. Le film passe vite contrairement à certains commentaires. Même si je n'ai pas aimé la fin, c'est un très bon film classique sans spectaculaire mais excellent.
Les acteurs sont convaincants et le couple principal attendrissant.
Nicolas est très touchant. On est peiné pour lui.
Les acteurs sont convaincants et le couple principal attendrissant.
Nicolas est très touchant. On est peiné pour lui.
Je m'attendais à un bon film et malheureusement je me suis rarement autant ennuyé au cinéma. Histoire sans intérêt, le scénario n'a rien à raconter. Des personnages tous plus insipides les uns que les autres. Pour moi c'est un navet. Malgré le respect que l'on doit à Mr Clint Eastwood, si il n'avait pas produit le film je ne suis pas sûr qu'il aurait vu le jour. Dommage.
L'idée de scénario est superbe et aurait pu mener à un film noir, tendu, avec des personnages perdus dans leurs contradictions internes.
Au lieu de cela, Monsieur Eastwood nous montre des personnages un peu mièvres, avec des failles trop évidentes/simples
• le "héros", un gentil futur papa, dont le dilemme se résume au choix entre l’honnêteté qui le conduirait à se dénoncer et son devoir de rester libre pour "protéger" sa petite famille. Pas une once d'une lâcheté. Ce gars est admirable !
• sa gentille petite femme, éperdument confiante dans son "homme".
La procureure est en fait le seul personnage un peu complexe, Son physique (sec rigide, regard glaçant) est bienvenu pour glisser un peu de noirceur...
Les flash-back du héros revivant des bribes de la soirée du 25 octobre (??) sont téléphonés sec et bien trop répétitifs.
Certes quelques réflexions pertinentes sur la tendance de la police à aller au plus facile et sur la présomption de culpabilité ne sauvent pas vraiment le film...
Ciné Studio Tours le 12 nov 2024
La procureure est en fait le seul personnage un peu complexe, portée au début par son ambition politique (condamner un amant violent lui assurera -Me too oblige- l'élection qu'elle attend quand elle n'est qu'adjointe), puis en proie au doute et au dilemme "la vérité est-elle juste ? doit-elle toujours s'imposer". Son physique (sec rigide, regard glaçant) est bienvenu pour glisser un peu de noirceur...
Les flash-back du héros revivant des bribes de la soirée du 25 octobre (??) sont téléphonés sec et bien trop répétitifs.
Certes quelques réflexions pertinentes sur la tendance de la police à aller au plus facile et sur la présomption de culpabilité ne sauvent pas vraiment le film...
Ciné Studio Tours le 12 nov 2024
Au lieu de cela, Monsieur Eastwood nous montre des personnages un peu mièvres, avec des failles trop évidentes/simples
• le "héros", un gentil futur papa, dont le dilemme se résume au choix entre l’honnêteté qui le conduirait à se dénoncer et son devoir de rester libre pour "protéger" sa petite famille. Pas une once d'une lâcheté. Ce gars est admirable !
• sa gentille petite femme, éperdument confiante dans son "homme".
La procureure est en fait le seul personnage un peu complexe, Son physique (sec rigide, regard glaçant) est bienvenu pour glisser un peu de noirceur...
Les flash-back du héros revivant des bribes de la soirée du 25 octobre (??) sont téléphonés sec et bien trop répétitifs.
Certes quelques réflexions pertinentes sur la tendance de la police à aller au plus facile et sur la présomption de culpabilité ne sauvent pas vraiment le film...
Ciné Studio Tours le 12 nov 2024
La procureure est en fait le seul personnage un peu complexe, portée au début par son ambition politique (condamner un amant violent lui assurera -Me too oblige- l'élection qu'elle attend quand elle n'est qu'adjointe), puis en proie au doute et au dilemme "la vérité est-elle juste ? doit-elle toujours s'imposer". Son physique (sec rigide, regard glaçant) est bienvenu pour glisser un peu de noirceur...
Les flash-back du héros revivant des bribes de la soirée du 25 octobre (??) sont téléphonés sec et bien trop répétitifs.
Certes quelques réflexions pertinentes sur la tendance de la police à aller au plus facile et sur la présomption de culpabilité ne sauvent pas vraiment le film...
Ciné Studio Tours le 12 nov 2024
Un casting qui nous fait entrer dans le tribunal, une réalisation lente qui rappelle "sur la route de Madison" par certaines séquence et des références subtiles mais puissantes à Sydney Lumet rehaussent une certaine fadeur dans les sensations que nous inspirent ce bon film.
Je suis friande de films ayant trait à des procès. J'ai donc bien aimé celui ci avec les délibérations des jurés, les motifs de chacun pour expliquer sa position, le sentiment de culpabilité qui est mis au 1er plan. Par contre , il m'a manqué quelque chose pour que ce film se démarque vraiment d'autres du même genre. J'ai néanmoins passé un fort bon moment
Technique cinématographique peu marquante, seul la soundtrack tient la route, on aurait préféré découvrir au fil de l’histoire ce qui est spoiler depuis le début (c’est lui l’auteur du crime) la fin n’est pas sensationnelle, quelques moments de doutes mais rien de bien méchant. Le film soulève néanmoins des questions moral intéressantes.
Pour sa dernière danse dans le monde cinématographique, Clint Eastwood nous propose un film de procès américain avec Juré n°2. Ce thriller livre un dilemme moral totalement terrifiant : incriminer un délinquant repenti et innocent ou bien se déclarer coupable d'un crime évitable et malheureux.
Le suspens est insoutenable tout le long du film et va prendre fin lors d'une dernière scène dépourvue de paroles mais très riches en émotions. L'acteur principal Nicholas Hoult nous livre une prestation très aboutie et ses acolytes Toni Collette et J.K. Simmons se sont mis au diapason.
Ce film aborde des thèmes profonds et sensibles comme les limites de la justice, la liberté individuelle et la moralité humaine : en sortant de la salle, toute personne se demandera : mais qu'aurais-je fais à sa place ? Une situation en toute somme cornélienne...
Eastwood tire donc sa révérence sur un dernier film psychologique déchirant et fascinant. Partir au sommet de son art , c'est partir en légende... Merci Monsieur Eastwood !
"Le monde du 7ième art se divise en 2 catégories : Clint Eastwood et les autres..."
Le suspens est insoutenable tout le long du film et va prendre fin lors d'une dernière scène dépourvue de paroles mais très riches en émotions. L'acteur principal Nicholas Hoult nous livre une prestation très aboutie et ses acolytes Toni Collette et J.K. Simmons se sont mis au diapason.
Ce film aborde des thèmes profonds et sensibles comme les limites de la justice, la liberté individuelle et la moralité humaine : en sortant de la salle, toute personne se demandera : mais qu'aurais-je fais à sa place ? Une situation en toute somme cornélienne...
Eastwood tire donc sa révérence sur un dernier film psychologique déchirant et fascinant. Partir au sommet de son art , c'est partir en légende... Merci Monsieur Eastwood !
"Le monde du 7ième art se divise en 2 catégories : Clint Eastwood et les autres..."
Bon film même s'il y a une copie de 12 hommes en colère. par contre, indiquer dans la présentation que Justin Kemp est à l'origine d'un acte criminel est faux puisque l'on sait déjà que l'accusé est innocent. Donc pourquoi Kemp aurait il tué volontairement ? Il s'agit tout au plus d'un accident avec délit de fuite
Nath Visuals
Peut être pour son dernier film, Clint Eastwood, nous sors un superbe film entièrement sur un procès. Est ce que Juré N°2 sera vraiment son dernier film ? Même lui je pense qu'il ne le sait pas, il fait parti des réalisateurs ne s'arrêtant jamais et n'en ayant jamais fini avec le cinéma.
Même si je trouve ce film très bien, pour moi, il a deux gros défauts, le commencement, et le dénouement du film. Eastwood à une idée géniale : mettre en scène un procès où l'un des jurés est en fait le coupable. Sauf que cela, on le sait dès les 5 ou 10 premières minutes du film et lui s'en doute fortement. En ayant une idée sur ce film, je m'attendais à un gros film a suspens, pas loin du thriller où l'on joue sur de multiples indices et où ce fameux vrai coupable se rend compte au fur et à mesure de sa culpabilité. Sauf que là, comme lui le sait très rapidement, on assiste simplement au fait, qu'il va défendre l'accusé, car il a évidemment de la peine pour lui et a déjà une énorme chose sur la conscience. Mais qu'est ce qui fait que le film fonctionne ? Tout simplement les éléments autour du personnage principal. On est sur un futur père de famille, qui va le devenir au courant du film, sur quelqu'un d'honnête, de propre sur lui et qui n'a jamais fait de mal à personne. Cette situation lui est tombé dessus et il ne peut pas se dénoncer à cause des éléments autour de lui et surtout à cause du fait que sa femme est enceinte et qu'elle a évidemment besoin de lui.
Mais donc au fur et à mesure que le film avance, nous spectateurs on a du mal à se placer dans l'échiquier, car on connaît sa situation et on sait qu'il ne peut partir en prison, donc on est un minimum derrière lui, spoiler: sauf peut être jusqu'à la fin où l'homme innocent prend la perpétuité. Et plus le film avance, plus on a envie de savoir comment il va se faire prendre, sauf que justement ce moment tarde énormément et on en vient au second défaut du film.
Sachant que l'oeuvre ne dure que moins de 2h, plus le temps passait, plus j'ai vu la fin net, brutal et sans suite arriver. spoiler: Et c'est ce qui se passe, l'avocate de l'accusation après des recherches tombe sur lui, toque à sa porte et fin du film. Cette fin est très frustrante et en même temps, on sait très bien ce qu'il va se passer. Donc au final est-ce vraiment un défaut ? Mais on ne peut s'empêcher d'être déçu de ne pas avoir sa réaction à part un regard qui traduit le fait que ça y est il est perdu.
Même si je trouve ce film très bien, pour moi, il a deux gros défauts, le commencement, et le dénouement du film. Eastwood à une idée géniale : mettre en scène un procès où l'un des jurés est en fait le coupable. Sauf que cela, on le sait dès les 5 ou 10 premières minutes du film et lui s'en doute fortement. En ayant une idée sur ce film, je m'attendais à un gros film a suspens, pas loin du thriller où l'on joue sur de multiples indices et où ce fameux vrai coupable se rend compte au fur et à mesure de sa culpabilité. Sauf que là, comme lui le sait très rapidement, on assiste simplement au fait, qu'il va défendre l'accusé, car il a évidemment de la peine pour lui et a déjà une énorme chose sur la conscience. Mais qu'est ce qui fait que le film fonctionne ? Tout simplement les éléments autour du personnage principal. On est sur un futur père de famille, qui va le devenir au courant du film, sur quelqu'un d'honnête, de propre sur lui et qui n'a jamais fait de mal à personne. Cette situation lui est tombé dessus et il ne peut pas se dénoncer à cause des éléments autour de lui et surtout à cause du fait que sa femme est enceinte et qu'elle a évidemment besoin de lui.
Mais donc au fur et à mesure que le film avance, nous spectateurs on a du mal à se placer dans l'échiquier, car on connaît sa situation et on sait qu'il ne peut partir en prison, donc on est un minimum derrière lui, spoiler: sauf peut être jusqu'à la fin où l'homme innocent prend la perpétuité. Et plus le film avance, plus on a envie de savoir comment il va se faire prendre, sauf que justement ce moment tarde énormément et on en vient au second défaut du film.
Sachant que l'oeuvre ne dure que moins de 2h, plus le temps passait, plus j'ai vu la fin net, brutal et sans suite arriver. spoiler: Et c'est ce qui se passe, l'avocate de l'accusation après des recherches tombe sur lui, toque à sa porte et fin du film. Cette fin est très frustrante et en même temps, on sait très bien ce qu'il va se passer. Donc au final est-ce vraiment un défaut ? Mais on ne peut s'empêcher d'être déçu de ne pas avoir sa réaction à part un regard qui traduit le fait que ça y est il est perdu.
En Georgie américaine, un homme apparemment bien sous tous rapports, bientôt père de famille est désigné membre d’un jury chargé de statuer sur un homicide. Très rapidement, à l’exposé des faits, il comprend qu’il est vraisemblablement à l’origine de la mort de la victime. Sous son côté lisse, cet homme a des fêlures, un passif qui vont le faire hésiter sur l’attitude à adopter par rapport au prévenu.
Le scénario du film est très solide. Quand le juré n° 2 penche pour la vérité, on rejoue « Douze hommes en colère » de Sidney Lumet, on voit comment le doute s’empare du jury et le fait évoluer, on se prend au jeu ; quand le juré n° 2 se protège, le film patine, devient moins intéressant mais l’intrigue tient en permanence le spectateur en tension.
Les acteurs sont tout aussi solides que le scénario : on retrouve de vieilles connaissances, des valeurs sures comme Toni Colette, JK. Simmons ou Chris Messina ; Nicholas Hoult dans le rôle principal est très bien.
La mise en scène est sobre, classique mais il n’y a rien de nouveau sous le soleil et on se demande où est « la patte Clint » faite distance, de subtilité, d’humour.
Le scénario du film est très solide. Quand le juré n° 2 penche pour la vérité, on rejoue « Douze hommes en colère » de Sidney Lumet, on voit comment le doute s’empare du jury et le fait évoluer, on se prend au jeu ; quand le juré n° 2 se protège, le film patine, devient moins intéressant mais l’intrigue tient en permanence le spectateur en tension.
Les acteurs sont tout aussi solides que le scénario : on retrouve de vieilles connaissances, des valeurs sures comme Toni Colette, JK. Simmons ou Chris Messina ; Nicholas Hoult dans le rôle principal est très bien.
La mise en scène est sobre, classique mais il n’y a rien de nouveau sous le soleil et on se demande où est « la patte Clint » faite distance, de subtilité, d’humour.
“Juré 2” de Clint Eastwood est un film qui m’a beaucoup touché. La mise en scène est simple mais très efficace, mettant en avant les dilemmes moraux du personnage principal, Justin. La tension monte lentement, et les performances de Nicholas Hoult et Toni Collette sont vraiment impressionnantes. Eastwood réussit à aborder des thèmes comme la culpabilité et la responsabilité sans en faire trop. Le film invite le spectateur à réfléchir sur la vérité et la justice. C’est un drame captivant qui vaut vraiment le coup d’œil.
Clint Eastwood nous propose, pour (potentiellement) finir sa grande carrière, un thriller intense, sans temps mort, sur l'honnêteté et la culpabilité a travers un procès où tout est travaillé et rien n'est laissé au hasard, avec un Nicolas Hoult époustouflant dans un rôle plutôt compliqué où il est parfait dans le personnage torturé et perdu entre ce qu'il sait, ce qu'il croit savoir et ce qu'il doit faire. Une réussite totale.
Film très réussi avec de vraies questions morales et societales ! Dommage tout de meme que la bande annonce et le synopsis en disent trop sur le scénario!
Excellent jeu d'acteur, excellent film, du Clint Eastwood comme on aime. Le type de film qu'on aime revoir.
Un Clint Eastwood typique qui amène à la réflexion sur la vérité, la justice et la morale.
Mention spéciale à Toni Colette toujours aussi charismatique
Mention spéciale à Toni Colette toujours aussi charismatique
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