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Votre avis sur Juré n°2 ?
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Pour ce qui pourrait être son dernier film (à 94 ans !) Clint Eastwood a choisi le genre du procès, toujours une garantie d’un récit prenant à suspens. Mais, tout compte fait, on ne parlera pas ici réellement de suspens puisque on apprend très vite que Justin Kemp, nommé juré numéro deux, est directement lié à l’homicide sur lequel il va devoir se prononcer en compagnie de onze autres jurés;
Il va donc d’abord être question de conscience morale, de dilemme entre vérité et arrangement avec celle-là. Outre qu’il s’interroge en filigrane sur l’état de la justice américaine (ses moyens et son fonctionnement), Clint Eastwood se montre davantage moraliste que moralisateur. Le scénario finement écrit et construit témoigne d’une connaissance des ressorts de la nature humaine profondément contradictoire et tiraillée.
La mise en scène sobre est certes classique, offrant néanmoins quelques trouvailles comme le montage serré entre les deux plaidoiries. On pense évidemment beaucoup au mythique Douze Hommes en colère de Sidney Lumet. Juré n° 2 est moins fort, ne pouvant s'empêcher la touche émotionnelle et familiale (la femme de Justin Kemp qui doit prochainement accoucher a une grossesse compliquée). Cependant, on est tenus en haleine de bout en bout, sans effets de manches des magistrats (qui d’ailleurs ne portent pas de robes, donnant ainsi l’impression d’une justice moins protocolaire et intimidante telle qu’on peut la connaître en France).
Il va donc d’abord être question de conscience morale, de dilemme entre vérité et arrangement avec celle-là. Outre qu’il s’interroge en filigrane sur l’état de la justice américaine (ses moyens et son fonctionnement), Clint Eastwood se montre davantage moraliste que moralisateur. Le scénario finement écrit et construit témoigne d’une connaissance des ressorts de la nature humaine profondément contradictoire et tiraillée.
La mise en scène sobre est certes classique, offrant néanmoins quelques trouvailles comme le montage serré entre les deux plaidoiries. On pense évidemment beaucoup au mythique Douze Hommes en colère de Sidney Lumet. Juré n° 2 est moins fort, ne pouvant s'empêcher la touche émotionnelle et familiale (la femme de Justin Kemp qui doit prochainement accoucher a une grossesse compliquée). Cependant, on est tenus en haleine de bout en bout, sans effets de manches des magistrats (qui d’ailleurs ne portent pas de robes, donnant ainsi l’impression d’une justice moins protocolaire et intimidante telle qu’on peut la connaître en France).
Un film qui aborde plusieurs sujets à travers un procès : la lâcheté humaine, le doute, le repentir, les préjugés… Eastwood place le spectateur dans un rôle de témoin. De facture classique, avec quelques longueurs, mais les acteurs sont très justes.
Shawn777
Ce qui est probablement le dernier film de Clint Eastwood, enfin à moins qu'il nous en ponde un autre à 98 ou 100 balais, n'est vraiment pas mal du tout. Le concept est en tout cas très alléchant : un juré se rend très rapidement compte qu'il est coupable du meurtre qu'il est censé jugé. Concept très original donc mais restait à savoir où le réalisateur allait aller avec ça. Eh bien, il, ou plutôt le scénariste, ne s'en sort franchement plutôt pas mal parce-qu'il parvient toujours à aller là où le spectateur ne s'y attend pas vraiment. Le juré en question, prit de remords, essaye alors de voter contre la culpabilité de l'accusé, et il est bien le seul, ce qui rappelle évidemment "12 Hommes en colère" mais également quelques épisodes de série centrés autour de jury populaire comme "Malcolm" ou "Monk". Il ne s'agit alors plus vraiment de dire simplement si oui ou non l'accusé est coupable, une petite enquête se met en place et est menée par les jurés, et le fameux juré n°2 doit alors orienté l'enquête de manière à innocenter l'accusé tout en prenant assez de recul pour ne pas se mouiller. Et c'est ce dilemme qui est franchement très bien traité puisqu'on se met à la place du personnage en se demandant ce qu'on aurait bien pu faire à sa place et puis on s'attache finalement à lui, même si son erreur n'est évidemment pas pardonnable (quoique cette question est amenée). S'en suit alors toute une exploration autour de la culpabilité mais également la manière dont un panel aussi différent parmi les jurés va devoir collaborer sur une affaire en particulier, malgré leurs différences sociales et leurs aprioris. Bon encore une fois, ce dernier aspect ne révolutionne pas vraiment car il a déjà été exploré par le passé mais c'est la manière dont le film amène son concept qui est particulièrement prenante ; même si je dois bien avouer que le film souffre parfois de son sujet. En effet, il est assez difficile de tenir un sujet comme celui-ci sur près de deux heures et nous avons donc quelques baisses de rythme. Malgré tout, "Juré n°2" reste dans son ensemble particulièrement bien écrit et parvient surtout à garder cette incertitude quant au sort des protagonistes jusqu'à la toute fin.
94 ans et toujours bon pied bon oeil pour le légendaire Clint Eastwood. "Jury n°2" est annoncé comme son ultime film et l'on y retrouve ses thèmes de prédilection (justice, culpabilité et surtout moralité) dans ce film de procès. Nicholas Hoult incarne un homme en passe de devenir père après avoir vaincu ses démons. Seulement, un banal accident de la route va remonter à la surface de son existence, et faire de lui un juré, lui qui aurait dû tenir le rôle d'accusé. Pas le meilleur film du cinéaste, loin de là, mais un suspense garanti ainsi qu'une belle réflexion sur la notion de culpabilité. L'ensemble est efficace. Le dernier sur grand écran? Pas si sûr!
Superbe Film Judiciaire, un peu typé "12 Angry Men" de Lumet.
Belle réflexion sur la Justice ~ le Libre-arbitre & l'Honnêteté Intellectuelle...
Procédé cher à Hitchcock, on sait tout dès les premières minutes, enfin presque...
Casting aux p'tits oignons & puis c'est de nouveau du Très Bon Clint Eastwood, à la baguette.
Belle réflexion sur la Justice ~ le Libre-arbitre & l'Honnêteté Intellectuelle...
Procédé cher à Hitchcock, on sait tout dès les premières minutes, enfin presque...
Casting aux p'tits oignons & puis c'est de nouveau du Très Bon Clint Eastwood, à la baguette.
Une enquête judiciaire haletante où le scénario, les acteurs et la mise en scène sont réussies, mais la fin est trop ouverte pour un film de ce genre.
Dommage car on frôlait la perfection.
Dommage car on frôlait la perfection.
Clint Eastwood est toujours aussi doué pour nouer (ou dénouer) des intrigues captivantes. Ici, tout ou presque se passe dans un tribunal, quelques flashbacks c'est tout, les acteurs sont très doués, Toni Colette en tête. Gestion des priorités et cas de conscience, un très bon film même si j'avais préféré Cry Macho !
Du Grand Cinéma. Pour son 41eme Long Métrage, Clint Eastwood revient en force avec ce Thriller Judiciaire Grisant et Vertigineux dont on ressort totalement essoufflé du début jusqu’à la dernière minute. Porté par une Réalisation Sobre qui est diriger d'une main de maitre tout en nous plongeant dans une Ambiance Nauséabonde et Nerveux qui joue brillamment avec nos nerfs qui est soutenu par une Bande Originale Efficace de Mark Mancina qui s'accorde parfaitement a l’atmosphère sous pression du long métrage. Ensuite le Scénario est Prenant et méticuleusement ficeler du début a la dernière seconde tout en parvenant a nous bluffer par son Dénouement Inattendu et Impactant qui laissent pantois tout en abordant des Thématiques très actuels comme la Culpabilité,la Justice et les Dilemmes Moreaux qui sont impeccablement mis en avant a travers son Rythme amplement soutenu pendant 1h59. Ajouter a cela, Un Suspense Implacable qui s'accentue a travers quelques Séquences Percutantes ainsi qu'en en regorgeant de beaux moments intense et émotionnelles qui nous saisit jusqu'aux tripes sans jamais verser dans le larmoyant. Enfin le Casting est Prodigieux a tous les niveaux avec en tête l’Épatant Nichoals Hoult qui livre un des ces meilleurs rôles dans la peau de Justin Kemp qui est un Protagoniste Nuancé et Tourmenter dont l'acteur nous bluffe par son immense prestation plein de sincérité et d'authenticité. Autour de lui on retrouve une poignée de Seconds Rôles au Diapason composer notamment de Toni Collette,Kiefer Sutherland,J.K Simmons,Zoey Deutch et Gabriel Basso qui apportent leur édifice a cette Distribution de haute volée. En Résumer, Juré Numéro 2 est un excellent cru dans la Filmographie quasi exemplaire du légendaire Clint Eastwood qui nous livre un pur moment de cinéma comme il en a le secret a travers ce Thriller Dramatique a la fois Haletant,Poignant et Édifiant qui mérite amplement le détour et qui s’avère au passage comme une somptueuse Conclusion Cinématographique pour l'incontournable et éternel Clint Eastwood.
Un cocktail à la croisée des chemins entre Trap (2024) et 12 Hommes en Colère (1957). Un film qui met en épingle les fissures dans le monde de la justice. À 94 ans, le prodige Eastwood porte à l’écran un message essentiel sur la responsabilité individuelle. Son film « Juré n*2 » n’est pas le plus mémorable de sa carrière mais il a le mérite de nous montrer à quel point le mensonge peut être corrosif. La dynamique du film est prenante, parfois un peu évasive mais le film reste tout de même plaisant. À voir
Un scénario prenant jusqu'à la dernière étonnante seconde du film qui renvoie habilement le spectateur à sa propre réflexion sur l'histoire qu'il vient de vivre. On trouve sur les réseaux sociaux des extraits d'interview de comédiens qui racontent à loisir comment Clint Eastwood cherche l'efficacité sans fioriture. Le film en offre une démonstration de deux heures.
Un dernier (?) Eastwood desservi par une mise en scène et une narration plan-plan dignes d’un série télé américaine lambda. Le cinéaste peine à incarner son récit avec des personnages fonctionnels et des enjeux scénaristiques (est-il coupable ou non de la mort de la jeune fille?) , peu impliquants et péniblement dilués sur presque deux heures de métrage. Le dilemne moral potentiellement fort du personnage joué par Nicolas Hoult est superficiellement traité, et c’est la platitude, l’ennui et le caractère anecdotique qui ressortent au final du film, malgré un dernier plan qui tente de relever un plat bien fade.
À l’ère des réseaux sociaux, où les opinions tranchées et le manichéisme règnent en maîtres, Clint Eastwood nous rappelle avec Le Juré n°2 que la vérité, tout comme la justice, échappe souvent aux jugements simplistes. Dans un paysage cinématographique déjà marqué par des œuvres puissantes sur le thème de la justice — notamment avec Anatomie d’une chute de Justine Triet, Palme d’Or du Festival de Cannes 2023 — Eastwood s’empare à son tour de ces questions pour explorer des territoires intimes et moraux, où se mêlent ambivalence et dilemmes profonds.
Le film de Triet avait secoué les spectateurs en abordant l’ambiguïté de la vérité lors d’un procès, mais Eastwood, fidèle à son style unique, nous entraîne plus loin dans une introspection sur la condition humaine et les dilemmes moraux auxquels chaque individu peut être confronté. Le Juré n°2 ne se contente pas de dérouler une intrigue captivante ; il propose une méditation sur la justice, la responsabilité et la rédemption, dépeignant un univers où l’empathie et le doute se font remparts contre les jugements hâtifs.
Dans ce film, Eastwood, maître incontesté du cinéma, nous livre une œuvre riche, subtile et d’une intensité remarquable. Nicholas Hoult, incarnant un personnage complexe en proie à des choix moraux difficiles, déploie une interprétation magistrale. Il nous entraîne avec une finesse rare au cœur d’un dilemme où la frontière entre ce qui est légalement juste et moralement acceptable s’efface. Hoult parvient, à travers une performance nuancée, à faire ressentir la profondeur des conflits internes qui le traversent. Cette thématique de la justice morale, abordée ici avec une rare intensité, transforme le récit en un voyage au cœur des valeurs humaines.
Eastwood maîtrise l’art de capter l’ambiguïté morale dans chaque scène, sans pour autant sacrifier la beauté visuelle et la puissance émotionnelle du film. La photographie, d’une élégance saisissante, sublime chaque instant, rendant chaque plan aussi intense que contemplatif. La caméra, discrète mais révélatrice, suit les personnages dans leurs moments de vulnérabilité, témoignant d’une attention méticuleuse aux nuances émotionnelles qui imprègnent l’histoire. Avec une mise en scène où chaque détail compte, Eastwood met en valeur la dimension humaine et psychologique de son récit, évitant tout sensationnalisme pour privilégier la vérité nue de chaque interaction.
La bande sonore, délicate et subtile, ponctue le récit sans jamais s’imposer, comme un murmure qui accompagne le spectateur dans l’exploration des sentiments les plus profonds. Cette sobriété musicale permet à l’émotion de s’épanouir sans distraction, apportant une touche de profondeur et d’intimité qui s’intègre parfaitement dans le ton du film.
Le Juré n°2 est ainsi bien plus qu’un thriller judiciaire immersif. En interrogeant des thèmes tels que la rédemption, le pardon, la complexité de la vérité et la responsabilité personnelle, Eastwood nous pousse à reconsidérer nos certitudes sur la justice et la morale. Dans un monde où les avis tranchés dominent, le film ouvre une porte vers l’empathie et la réflexion, rappelant que les dilemmes humains les plus profonds ne se résolvent jamais en noir et blanc.
Avec cette œuvre, Clint Eastwood nous démontre une fois de plus son talent exceptionnel à dépasser le simple récit pour offrir une réflexion puissante et intemporelle, renouant ainsi avec l’essence même du cinéma : explorer les profondeurs de l’âme humaine et offrir aux spectateurs une expérience à la fois émotionnelle et intellectuelle, intense et inoubliable.
Le film de Triet avait secoué les spectateurs en abordant l’ambiguïté de la vérité lors d’un procès, mais Eastwood, fidèle à son style unique, nous entraîne plus loin dans une introspection sur la condition humaine et les dilemmes moraux auxquels chaque individu peut être confronté. Le Juré n°2 ne se contente pas de dérouler une intrigue captivante ; il propose une méditation sur la justice, la responsabilité et la rédemption, dépeignant un univers où l’empathie et le doute se font remparts contre les jugements hâtifs.
Dans ce film, Eastwood, maître incontesté du cinéma, nous livre une œuvre riche, subtile et d’une intensité remarquable. Nicholas Hoult, incarnant un personnage complexe en proie à des choix moraux difficiles, déploie une interprétation magistrale. Il nous entraîne avec une finesse rare au cœur d’un dilemme où la frontière entre ce qui est légalement juste et moralement acceptable s’efface. Hoult parvient, à travers une performance nuancée, à faire ressentir la profondeur des conflits internes qui le traversent. Cette thématique de la justice morale, abordée ici avec une rare intensité, transforme le récit en un voyage au cœur des valeurs humaines.
Eastwood maîtrise l’art de capter l’ambiguïté morale dans chaque scène, sans pour autant sacrifier la beauté visuelle et la puissance émotionnelle du film. La photographie, d’une élégance saisissante, sublime chaque instant, rendant chaque plan aussi intense que contemplatif. La caméra, discrète mais révélatrice, suit les personnages dans leurs moments de vulnérabilité, témoignant d’une attention méticuleuse aux nuances émotionnelles qui imprègnent l’histoire. Avec une mise en scène où chaque détail compte, Eastwood met en valeur la dimension humaine et psychologique de son récit, évitant tout sensationnalisme pour privilégier la vérité nue de chaque interaction.
La bande sonore, délicate et subtile, ponctue le récit sans jamais s’imposer, comme un murmure qui accompagne le spectateur dans l’exploration des sentiments les plus profonds. Cette sobriété musicale permet à l’émotion de s’épanouir sans distraction, apportant une touche de profondeur et d’intimité qui s’intègre parfaitement dans le ton du film.
Le Juré n°2 est ainsi bien plus qu’un thriller judiciaire immersif. En interrogeant des thèmes tels que la rédemption, le pardon, la complexité de la vérité et la responsabilité personnelle, Eastwood nous pousse à reconsidérer nos certitudes sur la justice et la morale. Dans un monde où les avis tranchés dominent, le film ouvre une porte vers l’empathie et la réflexion, rappelant que les dilemmes humains les plus profonds ne se résolvent jamais en noir et blanc.
Avec cette œuvre, Clint Eastwood nous démontre une fois de plus son talent exceptionnel à dépasser le simple récit pour offrir une réflexion puissante et intemporelle, renouant ainsi avec l’essence même du cinéma : explorer les profondeurs de l’âme humaine et offrir aux spectateurs une expérience à la fois émotionnelle et intellectuelle, intense et inoubliable.
Un bien trop long film (que de séquences allongées inutilement) bourré d'une quantité de clichés assez incroyable pour un réalisateur tel que lui. quelle déception
Sûrement sa dernière œuvre. Mais un départ de qualité. Certes il n y a pas la fougue d un mystic river, d’un gran torino, d un chasseur noir cœur blanc mais il y a une sincérité qui donne toute son aura au film. Dirty Harry nous aura régalé durant des décennies et c’est un des rares metteurs en scène qui me manquera vraiment. Je ne cite pas tout les films car à part un ou deux , l ensemble de sa carrière de réalisateur aura été passionnante .
Ce nouveau et dernier film réalisé par Clint Eastwood, Juré n°2, est un très bon film de procès américain où on y suit Justin Kemp, un jeune futur père de famille qui se retrouve juré pour une affaire de meurtre. Une femme est morte un soir le long d’une route après s’être fortement disputer avec son petit ami plutôt violent. Le problème est qu’en écoutant les détails du crime Justin découvre qu’il est peut-être à l’origine de celui ci.
On y suit alors les 12 jurés dont il fait parti qui doivent rendre un verdict. Si il est vraiment le coupable il a donc affaire à un grave dilemme moral. Sans spoiler, ce film est très bien réalisé, le suspens est présent jusqu’à la dernière seconde du film avec une fin surprenante.
Les détails et le scénario en général sont très bien pensés. J’ai adoré regarder ce film au cinéma. Une photographie superbe avec de très bons acteurs notamment Nicholas Hoult dans le rôle principal. La justice américaine est très bien représenté et montre le dilemme entre la justice légale et morale.
Du suspens, de la manipulation, la vision de la justice et de la vérité, c’est un film qui fait réfléchir et c’est réussit.
En tout cas c’est un film à voir et qui est vraiment interessant.
Bravo et merci pour tout Mr.Eastwood.
On y suit alors les 12 jurés dont il fait parti qui doivent rendre un verdict. Si il est vraiment le coupable il a donc affaire à un grave dilemme moral. Sans spoiler, ce film est très bien réalisé, le suspens est présent jusqu’à la dernière seconde du film avec une fin surprenante.
Les détails et le scénario en général sont très bien pensés. J’ai adoré regarder ce film au cinéma. Une photographie superbe avec de très bons acteurs notamment Nicholas Hoult dans le rôle principal. La justice américaine est très bien représenté et montre le dilemme entre la justice légale et morale.
Du suspens, de la manipulation, la vision de la justice et de la vérité, c’est un film qui fait réfléchir et c’est réussit.
En tout cas c’est un film à voir et qui est vraiment interessant.
Bravo et merci pour tout Mr.Eastwood.
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