Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Une mise en scène très sobre avec une émotion palpable qui monte en crescendo jusqu’à la scène finale spectaculaire dans la symbolique et totalement inattendue. Ce film est peut-être le dernier Eastwood mais l’un de ses plus aboutis. C’est juré.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Point
par La Rédaction
En ces temps de binarité mortifère nourrie par les réseaux sociaux, parasitant toute nuance et vérité dans le rendu de la justice, la démonstration paisible mais ferme de Juré n° 2 fait un bien fou. Et se clôt sur un plan d'une force dévastatrice que l'on n'est pas près d'oublier. À voir de toute urgence.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Mad Movies
par Gilles Esposito
La situation est si forte qu'elle donnerait presque automatiquement un super film de procès, mais Clint Eastwood en tire une œuvre géniale qui puise dans les plus hautes sphères. En un sens, on passe de Hitchcock [...] aux derniers longs-métrages américains de Fritz Lang [...] où une culpabilité universelle infusait dans tous les personnages.
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Difficile de garder sa boussole morale intacte dans un film aux ressorts psychologiques si puissants.
Abus de Ciné
par Guillaume Gas
De bout en bout, et comme à son habitude, rien n’échappe au regard méticuleux et à l’objectivité souveraine d’Eastwood, qu’il s’agisse des étapes ordonnées propres à la mise en place du procès (on retient surtout la phase de sélection des jurés, ici retranscrite avec autant de précision que dans un roman de John Grisham) ou la prédominance de la phase de délibération sur celle du procès.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Bande à part
par Michel Cieutat
La réussite de ce procédé narratif, outre la grande qualité du découpage classique d’Eastwood, est due à l’excellence de l’acteur anglais Nicolas Hoult, au jeu facial en parfaite adéquation avec le déchirement intérieur éprouvé par son personnage.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Sous ses allures de téléfilm apollinien, (...) le film navigue dans des eaux à la complexité extrême, avec une forme d’épure, à faire pâlir les dernières œuvres à trois chiffres de vétérans hollywoodiens (Killers of the Flower Moon, Megalopolis).
Critikat.com
par Josué Morel
Sous la surface d'un petit thriller à l'argument implacable, Eastwood figure un abîme. Plus le film avance, plus il est sublime.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Antoine Desrues
Loin d’être mineur dans la filmographie de Clint Eastwood, "Juré N°2" cache derrière son académisme une réflexion fascinante sur les manquements de nos institutions, comme un ultime miroir renvoyé envers la société américaine et ses “citoyens modèles”. Si ce film a le devoir de marteler l’héritage du cinéma d’Eastwood, il réussit à entretenir sa plus grande qualité : son ambiguïté morale.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
À 94 ans, Clint Eastwood n'a rien perdu de sa dextérité à renouveler le beau classicisme qui nourrit sa riche filmographie. Il dépasse avec "Juré n°2" les formes attendues du film de procès [...].
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Guillaume Loison
Car « Juré n°2 » raconte plus que tout le malaise généré par les Blancs privilégiés au sein d’une Amérique plurielle dont les institutions sont pensées pour eux seuls. Est-ce à dire que Clint Eastwood a viré woke à 94 ans ? Sans aller jusque-là, son film déconstruit un monceau de présupposés et se délecte à jeter le trouble dans tout ce qui ressemble de près ou de loin à un semblant d’ordre établi.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
À quelques nuances près (notamment le personnage de Kiefer Sutherland, sorte de confesseur de Kemp, inutile), Eastwood déroule un fascinant récit, aussi vertigineux que limpide (un modèle de montage), jouant en permanence avec les ambiguïtés morales.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Pour son 42e film, le réalisateur américain, âgé de 94 ans, plonge dans le film de procès. Un huis clos qui lui réussit parfaitement.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
A 94 ans, le réalisateur américain livre un film de procès complexe, au scénario retors, dans une filiation assumée avec « Douze hommes en colère », de Sidney Lumet.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Michel Valentin
L’intrigue génère un suspense qui va crescendo, et met sous tension le spectateur qui se demande bien où le maître de cérémonie va l’emmener.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Une ultime réussite.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Avec cette solide fable morale, Eastwood livre une réflexion sur la justice et la vérité qui ne manque pas d’incarnation.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Si "Cry Macho" était le chant du cygne d’un cavalier solitaire, un langoureux document sur la vieillesse et la dégénérescence d’un corps, "Juré n°2" est un film qui respire l’extrême vitalité. Conduit dans un appareillage brillamment dosé entre vitesse, concision et limpidité, le nouveau Eastwood exalte à chaque plan de son élégant classicisme que sur le terrain du cinéma, il n’a pas pris une ride.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
À l’âge vénérable de 94 ans, Clint Eastwood met en scène un nouveau film, son quarantième, où il interroge la fragilité de la justice et le redoutable « concept » de présomption de culpabilité. Même si elle n’atteint pas le niveau de ses plus belles réussites, cette fiction confirme la stupéfiante créativité de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
TF1 News
par Jérôme Vermelin
Devant la terrible injustice dont il pourrait être responsable, cet anti-héros se débat avec la morale et ses propres démons. Ex-vedette de la série Skins, l’acteur britannique Nicholas Hoult l’incarne avec une infinie délicatesse, l’une de ses plus belles performances à ce jour. Face à lui, Toni Colette est irrésistible en procureure de choc, en campagne pour sa réélection.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Clint Eastwood revient en mode majeur, avec ce thriller moral et prenant, son "12 hommes en colère", en référence au film de Sidney Lumet, de 1957.
Télérama
par Louis Guichard
À travers l’histoire captivante d’un juré qui découvre sa responsabilité dans la mort de la victime, Clint Eastwood traite magistralement de la justice.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Pour sans doute ce qui sera son dernier film, Clint Eastwood revient pour notre plus grand plaisir sur l’une des obsessions majeure de sa filmographie : la critique d’une société américaine qui peine à sortir de ses paradoxes. Un grand film absolument prenant d’un bout à l’autre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le scénario au cordeau de Jonathan Abrams offre à Clint Eastwood une matière de choix.
Diverto
par La Rédaction
Clint Eastwood questionne le mensonge et la duplicité dans un film à l’allure académique mais porté par une brochette d’acteurs passionnants.
La critique complète est disponible sur le site Diverto
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Un film de procès implacable et imparfait.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Dans ce film, la vérité compte moins pour le cinéaste que la façon dont son personnage s’arrange avec elle et avec sa propre culpabilité. Tourné à Savannah, il s’inscrit ainsi volontairement dans la filiation d’un de ses meilleurs films, Minuit dans le jardin du bien et du mal, sans jamais atteindre cependant sa splendide ambiguïté.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Filmé avec élégance à Savannah, en Géorgie, le drame judiciaire d’Eastwood, de facture classique, creuse des dilemmes complexes.
Libération
par Didier Péron
Le cinéaste signe un film old school au scénario improbable, avec un Nicholas Hoult juré de tribunal en proie à un dilemme moral.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Clint Eastwood signe une réalisation classique, brute, riche en plans symboles, qui n’a de cesse d’aller à l’essentiel. Constamment, le cinéaste interroge le rapport à la vérité (...) L’histoire n’étant qu’un prétexte pour décortiquer le rouage judiciaire.
Première
par Pierre Lunn
Et si c’était le dernier ? Quoiqu’il en soit, ce film de procès a encore de quoi ravir les fans de Clint Eastwood.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Loin de tout effet de mode, fidèle à sa rigueur, Clint Eastwood en dit long sur un système qui vacille, ayant parfois tendance à juger des êtres plutôt que des faits.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Pas désagréable à regarder mais tellement attendu.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Elle
Une mise en scène très sobre avec une émotion palpable qui monte en crescendo jusqu’à la scène finale spectaculaire dans la symbolique et totalement inattendue. Ce film est peut-être le dernier Eastwood mais l’un de ses plus aboutis. C’est juré.
Le Point
En ces temps de binarité mortifère nourrie par les réseaux sociaux, parasitant toute nuance et vérité dans le rendu de la justice, la démonstration paisible mais ferme de Juré n° 2 fait un bien fou. Et se clôt sur un plan d'une force dévastatrice que l'on n'est pas près d'oublier. À voir de toute urgence.
Mad Movies
La situation est si forte qu'elle donnerait presque automatiquement un super film de procès, mais Clint Eastwood en tire une œuvre géniale qui puise dans les plus hautes sphères. En un sens, on passe de Hitchcock [...] aux derniers longs-métrages américains de Fritz Lang [...] où une culpabilité universelle infusait dans tous les personnages.
Public
Difficile de garder sa boussole morale intacte dans un film aux ressorts psychologiques si puissants.
Abus de Ciné
De bout en bout, et comme à son habitude, rien n’échappe au regard méticuleux et à l’objectivité souveraine d’Eastwood, qu’il s’agisse des étapes ordonnées propres à la mise en place du procès (on retient surtout la phase de sélection des jurés, ici retranscrite avec autant de précision que dans un roman de John Grisham) ou la prédominance de la phase de délibération sur celle du procès.
Bande à part
La réussite de ce procédé narratif, outre la grande qualité du découpage classique d’Eastwood, est due à l’excellence de l’acteur anglais Nicolas Hoult, au jeu facial en parfaite adéquation avec le déchirement intérieur éprouvé par son personnage.
Cahiers du Cinéma
Sous ses allures de téléfilm apollinien, (...) le film navigue dans des eaux à la complexité extrême, avec une forme d’épure, à faire pâlir les dernières œuvres à trois chiffres de vétérans hollywoodiens (Killers of the Flower Moon, Megalopolis).
Critikat.com
Sous la surface d'un petit thriller à l'argument implacable, Eastwood figure un abîme. Plus le film avance, plus il est sublime.
Ecran Large
Loin d’être mineur dans la filmographie de Clint Eastwood, "Juré N°2" cache derrière son académisme une réflexion fascinante sur les manquements de nos institutions, comme un ultime miroir renvoyé envers la société américaine et ses “citoyens modèles”. Si ce film a le devoir de marteler l’héritage du cinéma d’Eastwood, il réussit à entretenir sa plus grande qualité : son ambiguïté morale.
Franceinfo Culture
À 94 ans, Clint Eastwood n'a rien perdu de sa dextérité à renouveler le beau classicisme qui nourrit sa riche filmographie. Il dépasse avec "Juré n°2" les formes attendues du film de procès [...].
L'Obs
Car « Juré n°2 » raconte plus que tout le malaise généré par les Blancs privilégiés au sein d’une Amérique plurielle dont les institutions sont pensées pour eux seuls. Est-ce à dire que Clint Eastwood a viré woke à 94 ans ? Sans aller jusque-là, son film déconstruit un monceau de présupposés et se délecte à jeter le trouble dans tout ce qui ressemble de près ou de loin à un semblant d’ordre établi.
La Voix du Nord
À quelques nuances près (notamment le personnage de Kiefer Sutherland, sorte de confesseur de Kemp, inutile), Eastwood déroule un fascinant récit, aussi vertigineux que limpide (un modèle de montage), jouant en permanence avec les ambiguïtés morales.
Le Figaro
Pour son 42e film, le réalisateur américain, âgé de 94 ans, plonge dans le film de procès. Un huis clos qui lui réussit parfaitement.
Le Monde
A 94 ans, le réalisateur américain livre un film de procès complexe, au scénario retors, dans une filiation assumée avec « Douze hommes en colère », de Sidney Lumet.
Le Parisien
L’intrigue génère un suspense qui va crescendo, et met sous tension le spectateur qui se demande bien où le maître de cérémonie va l’emmener.
Les Echos
Une ultime réussite.
Les Fiches du Cinéma
Avec cette solide fable morale, Eastwood livre une réflexion sur la justice et la vérité qui ne manque pas d’incarnation.
Les Inrockuptibles
Si "Cry Macho" était le chant du cygne d’un cavalier solitaire, un langoureux document sur la vieillesse et la dégénérescence d’un corps, "Juré n°2" est un film qui respire l’extrême vitalité. Conduit dans un appareillage brillamment dosé entre vitesse, concision et limpidité, le nouveau Eastwood exalte à chaque plan de son élégant classicisme que sur le terrain du cinéma, il n’a pas pris une ride.
Marianne
À l’âge vénérable de 94 ans, Clint Eastwood met en scène un nouveau film, son quarantième, où il interroge la fragilité de la justice et le redoutable « concept » de présomption de culpabilité. Même si elle n’atteint pas le niveau de ses plus belles réussites, cette fiction confirme la stupéfiante créativité de son auteur.
TF1 News
Devant la terrible injustice dont il pourrait être responsable, cet anti-héros se débat avec la morale et ses propres démons. Ex-vedette de la série Skins, l’acteur britannique Nicholas Hoult l’incarne avec une infinie délicatesse, l’une de ses plus belles performances à ce jour. Face à lui, Toni Colette est irrésistible en procureure de choc, en campagne pour sa réélection.
Télé 7 Jours
Clint Eastwood revient en mode majeur, avec ce thriller moral et prenant, son "12 hommes en colère", en référence au film de Sidney Lumet, de 1957.
Télérama
À travers l’histoire captivante d’un juré qui découvre sa responsabilité dans la mort de la victime, Clint Eastwood traite magistralement de la justice.
aVoir-aLire.com
Pour sans doute ce qui sera son dernier film, Clint Eastwood revient pour notre plus grand plaisir sur l’une des obsessions majeure de sa filmographie : la critique d’une société américaine qui peine à sortir de ses paradoxes. Un grand film absolument prenant d’un bout à l’autre.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le scénario au cordeau de Jonathan Abrams offre à Clint Eastwood une matière de choix.
Diverto
Clint Eastwood questionne le mensonge et la duplicité dans un film à l’allure académique mais porté par une brochette d’acteurs passionnants.
L'Humanité
Un film de procès implacable et imparfait.
La Croix
Dans ce film, la vérité compte moins pour le cinéaste que la façon dont son personnage s’arrange avec elle et avec sa propre culpabilité. Tourné à Savannah, il s’inscrit ainsi volontairement dans la filiation d’un de ses meilleurs films, Minuit dans le jardin du bien et du mal, sans jamais atteindre cependant sa splendide ambiguïté.
Le Dauphiné Libéré
Filmé avec élégance à Savannah, en Géorgie, le drame judiciaire d’Eastwood, de facture classique, creuse des dilemmes complexes.
Libération
Le cinéaste signe un film old school au scénario improbable, avec un Nicholas Hoult juré de tribunal en proie à un dilemme moral.
Nice-Matin
Clint Eastwood signe une réalisation classique, brute, riche en plans symboles, qui n’a de cesse d’aller à l’essentiel. Constamment, le cinéaste interroge le rapport à la vérité (...) L’histoire n’étant qu’un prétexte pour décortiquer le rouage judiciaire.
Première
Et si c’était le dernier ? Quoiqu’il en soit, ce film de procès a encore de quoi ravir les fans de Clint Eastwood.
Sud Ouest
Loin de tout effet de mode, fidèle à sa rigueur, Clint Eastwood en dit long sur un système qui vacille, ayant parfois tendance à juger des êtres plutôt que des faits.
Paris Match
Pas désagréable à regarder mais tellement attendu.