Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le portrait très drôle, attachant et pathétique d’un homme de bien dans une Argentine au bord du gouffre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Changement de registre pour l’auteur d’Histoire de la peur et de Rojo, qui, après deux films sombres et anxieux, se risque à la comédie crissante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par É.N.
Scandé par des fondus à l'iris, le film a le charme d'un haussement d'épaules. Ce Droopy sud-américain provoque le sourire de cet été. C'est un sourire doux-amer. Ce sont les meilleurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Nekourouh
Comédie burlesque et conte philosophique autant que drame social, El Profesor raconte la quête d’un professeur d’université qui, pouvant tout à coup entrer dans la lumière, apprend à découvrir sa propre voix, à penser grâce à elle, à l’exprimer, à la chanter.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Éric Derobert
Quoiqu'elle n'en ait pas l'air, la caméra joue un rôle crucial pour nous embarquer dans cette comédie ; elle bouge presque toujours, assez peu, mais suffisamment pour créer autour des personnages une sensation d'immersion et de dynamisme.
Télérama
par Samuel Douhaire
Maria Alché et Benjamin Naishtat filment une lutte d’influence piquante entre universitaires dans une faculté de Buenos Aires.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Facétieux et théâtral, ce portrait haut en couleur d’un professeur de philosophie raté ne témoigne pas moins d’une Argentine rongée par la crise économique et la chute abyssale du dollar. Une œuvre drôle et originale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Bien qu’ayant pour toile de fond les grandes manifestations étudiantes de Buenos Aires, le film reste à la surface de cette piste politique au lieu de la déployer dans une vision plus large, celle d’un pays en train de sombrer dans le populisme.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Le film peine à intéresser à force de se concentrer sur l’univers très réduit et peu concernant pour les spectateurs français du milieu universitaire argentin, d’autant qu’il multiplie les saillies un peu trop intellectuelles et focalise sur les préoccupations souvent hors-sol de ses protagonistes…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La rédaction
Avec sa patine visuelle assumée et sa force politique qui n'explose que dans le (joli) dernier acte, ce long-métrage vintage souffre malgré tout d'un démarrage laborieux, qui ne nous emporte pleinement qu'une fois passée la moitié.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Dans une comédie douce-amère réussie quoique manquant parfois de relief, Maria Alché et Benjamin Naishtat brossent avec humour les ravages du néolibéralisme dans le microcosme universitaire argentin.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par La rédaction
Parfois très drôle même si un peu répétitive, cette comédie argentine expose aussi l’attitude politique et morale à adopter face à la double-répression du libéralisme et du fascisme. On imagine déjà un remake Made in France avec Kad Merad dans le rôle-titre…
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Damien Leblanc
Généreux en décalages comiques, mais surtout capable de provoquer des sensations de vertige face à l’avenir incertain de l’Université argentine, ce film réalisé à quatre mains se demande si les structures publiques et le savoir sont encore capables de résorber les inégalités du pays. Et c’est grâce à sa conclusion qui en appelle à la révolte que ce pamphlet écrit et tourné avant l’élection de Milei trouve une portée toute contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par J.Ma.
Manœuvrant sans réelle conviction sur la dissemblance entre les deux personnages et le potentiel comique qu’elle contient, les réalisateurs infléchissent assez rapidement le récit vers la chronique sociale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
Le portrait très drôle, attachant et pathétique d’un homme de bien dans une Argentine au bord du gouffre.
L'Obs
Changement de registre pour l’auteur d’Histoire de la peur et de Rojo, qui, après deux films sombres et anxieux, se risque à la comédie crissante.
Le Figaro
Scandé par des fondus à l'iris, le film a le charme d'un haussement d'épaules. Ce Droopy sud-américain provoque le sourire de cet été. C'est un sourire doux-amer. Ce sont les meilleurs.
Les Fiches du Cinéma
Comédie burlesque et conte philosophique autant que drame social, El Profesor raconte la quête d’un professeur d’université qui, pouvant tout à coup entrer dans la lumière, apprend à découvrir sa propre voix, à penser grâce à elle, à l’exprimer, à la chanter.
Positif
Quoiqu'elle n'en ait pas l'air, la caméra joue un rôle crucial pour nous embarquer dans cette comédie ; elle bouge presque toujours, assez peu, mais suffisamment pour créer autour des personnages une sensation d'immersion et de dynamisme.
Télérama
Maria Alché et Benjamin Naishtat filment une lutte d’influence piquante entre universitaires dans une faculté de Buenos Aires.
aVoir-aLire.com
Facétieux et théâtral, ce portrait haut en couleur d’un professeur de philosophie raté ne témoigne pas moins d’une Argentine rongée par la crise économique et la chute abyssale du dollar. Une œuvre drôle et originale.
Cahiers du Cinéma
Bien qu’ayant pour toile de fond les grandes manifestations étudiantes de Buenos Aires, le film reste à la surface de cette piste politique au lieu de la déployer dans une vision plus large, celle d’un pays en train de sombrer dans le populisme.
Le Parisien
Le film peine à intéresser à force de se concentrer sur l’univers très réduit et peu concernant pour les spectateurs français du milieu universitaire argentin, d’autant qu’il multiplie les saillies un peu trop intellectuelles et focalise sur les préoccupations souvent hors-sol de ses protagonistes…
Le Point
Avec sa patine visuelle assumée et sa force politique qui n'explose que dans le (joli) dernier acte, ce long-métrage vintage souffre malgré tout d'un démarrage laborieux, qui ne nous emporte pleinement qu'une fois passée la moitié.
Libération
Dans une comédie douce-amère réussie quoique manquant parfois de relief, Maria Alché et Benjamin Naishtat brossent avec humour les ravages du néolibéralisme dans le microcosme universitaire argentin.
Paris Match
Parfois très drôle même si un peu répétitive, cette comédie argentine expose aussi l’attitude politique et morale à adopter face à la double-répression du libéralisme et du fascisme. On imagine déjà un remake Made in France avec Kad Merad dans le rôle-titre…
Première
Généreux en décalages comiques, mais surtout capable de provoquer des sensations de vertige face à l’avenir incertain de l’Université argentine, ce film réalisé à quatre mains se demande si les structures publiques et le savoir sont encore capables de résorber les inégalités du pays. Et c’est grâce à sa conclusion qui en appelle à la révolte que ce pamphlet écrit et tourné avant l’élection de Milei trouve une portée toute contemporaine.
Le Monde
Manœuvrant sans réelle conviction sur la dissemblance entre les deux personnages et le potentiel comique qu’elle contient, les réalisateurs infléchissent assez rapidement le récit vers la chronique sociale.