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27 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Mati Diop revient avec ce magnifique documentaire protéiforme et polyphonique.
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Poème et pamphlet, documentaire et film fantastique, acte de cinéma puissamment décolonial, "Dahomey" invente un cinéma politique magique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Documentaire aux dispositions fantastiques, fréquentant ouvertement la fiction, le film est une envoûtante réussite en style libre, qui renferme des abîmes sur le préjudice colonial. Ses éclats sombres, sa poésie stoïque, renouvellent la marque d’une cinéaste qui rôde sans peur dans un au-delà du film à sujet ou de la plate narration.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Passionnant.
Paris Match
par Yannick Vely
Au-delà du sujet absolument contemporain, c’est la forme qui impressionne. En donnant une voix aux impressionnantes statues, Mati Diop leur redonne une dignité, une force et une existence.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Yannick Lemarié
On comprend vite que [le] but [de Mati Diop] est moins d'enfermer les œuvres volées dans un sarcophage de verre - fût-il celui de ses objectifs vidéo ou d'une salle de cinéma - que de les sortir de leur torpeur ligneuse, de les mettre en mouvement pour mieux les ressusciter.
Bande à part
par Léo Ortuno
Un documentaire qui traite son sujet avec autant d’intelligence que de poésie.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Corentin Lê
Dahomey dessine une forme proprement "décoloniale" : une tentative de décentrer notre regard, qui tourne le dos à une conception hiérarchique au profit d'une perspective transversale.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Si la beauté formelle de Dahomey est indéniable, son étrangeté fascinante, elle laisse souvent à la lisière d’une compréhension totale, d’un partage complet de ses interrogations.
Ecran Large
par Antoine Desrues
Alors que la restitution des œuvres spoliées ouvre la porte d’une réflexion sur les conséquences de la colonisation, Mati Diop ouvre aussi la porte d’un imaginaire foisonnant, pour un film qui s’affranchit de toute barrière.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
Entre la narration et ce débat, Mati Diop relève le principal défi de l'exercice : donner de la substance à cette opération logistique hautement symbolique. L'ingéniosité de sa mise en scène confère toute l'épaisseur nécessaire à l’illustration du grand débat sur la restitution des objets d’art pillés en Afrique lors des conquêtes impérialistes d'un Occident décidant de tout.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Ours d’or à Berlin, le second long métrage de Mati Diop confirme la volonté de la cinéaste franco-sénégalaise de déconstruire les genres, insufflant de la fiction et du fantastique à son documentaire sur la restitution au Bénin d’œuvres dérobées pendant la conquête coloniale française.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
De cette réflexion sensorielle et engagée sur le postcolonialisme et ses traces résiduelles émerge une question cruciale : entre l’art muséal et sacralisé, et l’art vivant et contemporain, quelles sont les racines de la culture d’une nation ? Et quelles en sont les véritables forces vives ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Sabine Gignoux
Quel contraste entre l’univers aseptisé, robotisé, du musée parisien, et la fête, les costumes chamarrés et les sceptres accueillant les œuvres à Cotonou ! La caméra surprend même un homme en train de leur murmurer des mots d’accueil mystérieux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Jérôme d'Estais
Des envolées oniriques, écrites en fon par Makenzy Orcel, que vient caresser la mise en scène sensualiste d’une très grande cinéaste.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Dans cette œuvre cinématographique à la temporalité presque onirique, Mati Diop interroge l’identité, l’origine et l’histoire à travers le prisme des fantômes de l’art.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La jeune Franco-Sénégalaise, fille du musicien Wasis Diop, nièce du cinéaste Djibril Diop Mambéty (1945-1998), signe aujourd’hui avec Dahomey son film à tous égards le plus étrange. Court, intense, senti, impur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Valérie Marin La Meslée
Mati Diop filme puissamment, entre imaginaire et réel, le voyage de retour des 26 trésors royaux du Bénin restitués par la France.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
En suivant la restitution par la France de vingt-six trésors royaux du Dahomey au Bénin, Mati Diop ("Atlantique") signe un film d’une brièveté inversement proportionnelle à la richesse de son discours. Et signe un passionnant précipité de pensée postcoloniale.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Emily Barnett
"Dahomey" est un film court, mais aux vertus puissantes et ensorcelantes, dont l’hybridation formelle vient casser tous les codes et les académismes – l’Histoire telle qu’on a voulu parfois nous la raconter.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Première
par Thomas Baurez
La force du nouveau film de Mati Diop (Atlantique...), Ours d’or de la dernière Berlinale, tient à son sujet autour de la restitution par la France d’une poignée d’œuvres d’art béninois et au langage employé pour faire jaillir la réflexion suscitée par un tel évènement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Puissant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Louis Guichard
Autour des œuvres restituées au Bénin par la France, une réflexion profonde sur l’art et la colonisation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
DAHOMEY n’est pas le simple récit d’une restitution d’œuvres d’art au Bénin par la France. C’est d’abord l’expression d’un peuple qui peine encore à s’émanciper de la cicatrice encore vive de décennies sous le joug de la colonisation. Un film nécessaire et profond.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Élodie Tamayo
Dahomey (Ours d’or à Berlin) rêve de cette « dé-prise », celle qui transformerait l’objet en sujet et le vu en voyant, adaptant sa mise en scène à la liberté retrouvée de ces effigies.
Le Figaro
par C.B.
Si l'on accepte le jeu, on peut se laisser porter par ce film d'une heure, avant tout politique, mais tirant parfois vers la poésie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Ce film parfois âpre mêle ultraréalisme, immersion dans les débats et onirisme. La cinéaste fait parler l’une des œuvres à travers une voix off caverneuse et s’interroge sur les rapports entre ceux qui sont nés d’un côté de l’océan et ceux qui ont vu le jour de l’autre côté.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Journal du Dimanche
Mati Diop revient avec ce magnifique documentaire protéiforme et polyphonique.
Les Inrockuptibles
Poème et pamphlet, documentaire et film fantastique, acte de cinéma puissamment décolonial, "Dahomey" invente un cinéma politique magique.
Libération
Documentaire aux dispositions fantastiques, fréquentant ouvertement la fiction, le film est une envoûtante réussite en style libre, qui renferme des abîmes sur le préjudice colonial. Ses éclats sombres, sa poésie stoïque, renouvellent la marque d’une cinéaste qui rôde sans peur dans un au-delà du film à sujet ou de la plate narration.
Ouest France
Passionnant.
Paris Match
Au-delà du sujet absolument contemporain, c’est la forme qui impressionne. En donnant une voix aux impressionnantes statues, Mati Diop leur redonne une dignité, une force et une existence.
Positif
On comprend vite que [le] but [de Mati Diop] est moins d'enfermer les œuvres volées dans un sarcophage de verre - fût-il celui de ses objectifs vidéo ou d'une salle de cinéma - que de les sortir de leur torpeur ligneuse, de les mettre en mouvement pour mieux les ressusciter.
Bande à part
Un documentaire qui traite son sujet avec autant d’intelligence que de poésie.
Critikat.com
Dahomey dessine une forme proprement "décoloniale" : une tentative de décentrer notre regard, qui tourne le dos à une conception hiérarchique au profit d'une perspective transversale.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Si la beauté formelle de Dahomey est indéniable, son étrangeté fascinante, elle laisse souvent à la lisière d’une compréhension totale, d’un partage complet de ses interrogations.
Ecran Large
Alors que la restitution des œuvres spoliées ouvre la porte d’une réflexion sur les conséquences de la colonisation, Mati Diop ouvre aussi la porte d’un imaginaire foisonnant, pour un film qui s’affranchit de toute barrière.
Franceinfo Culture
Entre la narration et ce débat, Mati Diop relève le principal défi de l'exercice : donner de la substance à cette opération logistique hautement symbolique. L'ingéniosité de sa mise en scène confère toute l'épaisseur nécessaire à l’illustration du grand débat sur la restitution des objets d’art pillés en Afrique lors des conquêtes impérialistes d'un Occident décidant de tout.
L'Humanité
Ours d’or à Berlin, le second long métrage de Mati Diop confirme la volonté de la cinéaste franco-sénégalaise de déconstruire les genres, insufflant de la fiction et du fantastique à son documentaire sur la restitution au Bénin d’œuvres dérobées pendant la conquête coloniale française.
L'Obs
De cette réflexion sensorielle et engagée sur le postcolonialisme et ses traces résiduelles émerge une question cruciale : entre l’art muséal et sacralisé, et l’art vivant et contemporain, quelles sont les racines de la culture d’une nation ? Et quelles en sont les véritables forces vives ?
La Croix
Quel contraste entre l’univers aseptisé, robotisé, du musée parisien, et la fête, les costumes chamarrés et les sceptres accueillant les œuvres à Cotonou ! La caméra surprend même un homme en train de leur murmurer des mots d’accueil mystérieux.
La Septième Obsession
Des envolées oniriques, écrites en fon par Makenzy Orcel, que vient caresser la mise en scène sensualiste d’une très grande cinéaste.
Le Dauphiné Libéré
Dans cette œuvre cinématographique à la temporalité presque onirique, Mati Diop interroge l’identité, l’origine et l’histoire à travers le prisme des fantômes de l’art.
Le Monde
La jeune Franco-Sénégalaise, fille du musicien Wasis Diop, nièce du cinéaste Djibril Diop Mambéty (1945-1998), signe aujourd’hui avec Dahomey son film à tous égards le plus étrange. Court, intense, senti, impur.
Le Point
Mati Diop filme puissamment, entre imaginaire et réel, le voyage de retour des 26 trésors royaux du Bénin restitués par la France.
Les Fiches du Cinéma
En suivant la restitution par la France de vingt-six trésors royaux du Dahomey au Bénin, Mati Diop ("Atlantique") signe un film d’une brièveté inversement proportionnelle à la richesse de son discours. Et signe un passionnant précipité de pensée postcoloniale.
Marie Claire
"Dahomey" est un film court, mais aux vertus puissantes et ensorcelantes, dont l’hybridation formelle vient casser tous les codes et les académismes – l’Histoire telle qu’on a voulu parfois nous la raconter.
Première
La force du nouveau film de Mati Diop (Atlantique...), Ours d’or de la dernière Berlinale, tient à son sujet autour de la restitution par la France d’une poignée d’œuvres d’art béninois et au langage employé pour faire jaillir la réflexion suscitée par un tel évènement.
Sud Ouest
Puissant.
Télérama
Autour des œuvres restituées au Bénin par la France, une réflexion profonde sur l’art et la colonisation.
aVoir-aLire.com
DAHOMEY n’est pas le simple récit d’une restitution d’œuvres d’art au Bénin par la France. C’est d’abord l’expression d’un peuple qui peine encore à s’émanciper de la cicatrice encore vive de décennies sous le joug de la colonisation. Un film nécessaire et profond.
Cahiers du Cinéma
Dahomey (Ours d’or à Berlin) rêve de cette « dé-prise », celle qui transformerait l’objet en sujet et le vu en voyant, adaptant sa mise en scène à la liberté retrouvée de ces effigies.
Le Figaro
Si l'on accepte le jeu, on peut se laisser porter par ce film d'une heure, avant tout politique, mais tirant parfois vers la poésie.
Le Parisien
Ce film parfois âpre mêle ultraréalisme, immersion dans les débats et onirisme. La cinéaste fait parler l’une des œuvres à travers une voix off caverneuse et s’interroge sur les rapports entre ceux qui sont nés d’un côté de l’océan et ceux qui ont vu le jour de l’autre côté.