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    Leurs Enfants après eux
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    220 critiques spectateurs

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    CHLOE+SEB
    CHLOE+SEB

    1 critique Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 décembre 2024
    SEB: "L'idée des années 90 c'est vraiment celle-ci : la fin de la sidérurgie et comment cette classe sociale se retrouve à s'affronter et à être divisée, alors qu'en réalité ils appartiennent au même monde"
    Je n'avais pas lu le livre et aller voir ce film était l'idée de Chloé. Je ne m'attendai à rien et hélas je n'ai pas été emporté.
    Ce film parle de l’adolescence, il faut aimer. En ce qui me concerne la quête du dépucelage, la peur de la punition du père ne me hérissent pas les poils. J'aurai pu tout de même être pris par l'ambiance (le thème de l’errance et la misère dans des villes ouvrières ne me laisse pas indifférent) mais le personnage principal manque de caractère et ne me touche tout simplement pas
    Musique omniprésente (apparemment pour être fidèle au livre) mais sans intérêt émotionnel (c’est dans les années 90 donc on balance tous les classiques musicaux de cette époque …) spoiler: à l'exception de la scène des Red Hot Chilli Peppers et de Francis Cabrel

    Bref allez le voir si vous avez aimé "L'amour ouf"



    CHLOE: C'est difficile d'être indulgente lorsqu'on a lu le livre de Nicolas Mathieu et qu'on l'a aimé pour sa manière de tirer le portrait d'une époque et d'une région, d'un point de vue presque sociologique, dans lequel on ressent à la fois l'amour et la répulsion qu'elle suscite chez l'auteur. Récit centré sur un personnage principal assez antipathique, tandis que ce qui faisait la richesse du roman c’était la galerie de personnages. On ne sait rien de Steph, ni de la mère. Dommage de si peu développer les personnages féminins lorsqu’on a l’ambition de faire le portrait d’une époque.
    BO un peu show off qui vient comme une béquille appuyer des scènes qui ne sont en réalité pas très fortes. Les morceaux de piano sont un peu agaçants. Je ne ressens pas bcp d’émotions en regardant ce film, hormis vis à vis du personnage de Gilles Lellouche ( spoiler: la scène où il observe son fils danser est très jolie
    ). Je n’ai pas passé un mauvais moment, mais ce film sera oublié bientôt.
    Jmg
    Jmg

    3 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 décembre 2024
    J'ai eu l'impression de voir un long clip musical des années 90. En fait, je n'y ai pas cru. Certaines scènes sont même grossières.
    En fanfare est un autre film populaire, au bon sens du terme à aller voir.
    Arnaud
    Arnaud

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 décembre 2024
    La mode est desormais au "portrait social", ce film en est une belle illustration. Le cadre est bien planté et les acteurs sont bons. Mais a force de s'arreter, on finit par voir des films sans message, sans fond, c'est dommage.
    NardoBordo
    NardoBordo

    13 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2024
    Petite ville de l'Est, ex-sidérurgique, pauvre et grise. Les possibilités d'évasion, faibles pour la jeunesse. Le drame arrive tout se met à bouillonner en 4 étés, 1990... Les communautés vont en pâtir durement ! Accompagnée fortement d'une kyrielle de musiques de ces années la. Le décor plombe l'ambiance. Le bémol, pour ma part, Paul Kircher en ado de 14 ans malgré son talent, pas convaincu. Gilles Lellouche, en père déboité, parfait. Sayyid El Alami à suivre... Les filles au top.
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    346 abonnés 659 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 décembre 2024
    Un " Amour Ouf" bis avec les mêmes défauts ( et je n'ai pas lu le roman) que j'avais noté dans le fim de Gilles Lelouche ( d'ailleurs au casting de celui ci comme producteur et acteur). Une vision très "sociale" du nord avec en gros les pequenots qui cumulent les tarres et les jolies jeunes bourgeoises qui vont s'enfuir de ces régions condamnées par la desindustrialisation.
    Evidemment une bande son à coup de titres fédérateurs et au final on sort du film en se disant qu'on a vu un trucs assez esthétique mais qui manque d'âme et qui surtout surjoue la carte des différences sociales irréconciliables.
    Un fils d'ouvrier ne terminera jamais sa vie avec une fille de notable....
    Theo
    Theo

    18 abonnés 898 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 décembre 2024
    Avec Leurs enfants après eux, Ludovic et Zoran Boukherma adaptent le roman de Nicolas Mathieu en un drame d’une sobriété mélancolique, fidèle à l’univers gris et désabusé des années 1990. Si le film propose des moments de grâce indéniable et des performances prometteuses, il est aussi marqué par des maladresses qui empêchent l’expérience d’être pleinement satisfaisante. Entre fulgurances et errances, voici une œuvre qui laisse une impression contrastée.

    L'un des aspects les plus réussis du film est son ambiance. Les vastes paysages industriels déchus de l’Est de la France sont capturés avec une beauté morose par la caméra d’Augustin Barbaroux. Chaque image suinte une chaleur oppressante et une langueur existentielle, renforçant l’impression d’un été sans fin où le temps semble suspendu. Si cette esthétique immersive est impressionnante, elle finit parfois par étouffer le spectateur, surtout lorsque l’action peine à avancer. On ressent presque trop bien l’ennui du protagoniste, ce qui rend certaines scènes plus éprouvantes que captivantes.

    Le récit suit Anthony Casati, adolescent en quête de sens, et sa rencontre avec Stéphanie, qui agit comme un catalyseur de ses désirs et frustrations. Le cadre est prometteur, mais l’exécution manque parfois de dynamisme. La disparition de la moto, point de bascule de l’intrigue, est traitée avec une légèreté presque frustrante. On s’attend à un crescendo émotionnel qui ne vient jamais vraiment. Les thématiques centrales – la désillusion, l’exploration de soi, les disparités sociales – sont effleurées mais rarement approfondies, ce qui laisse un sentiment d’inachevé.

    Paul Kircher, qui incarne Anthony, offre une prestation nuancée. Il parvient à capturer la vulnérabilité et l’apathie de son personnage, bien que son jeu manque parfois de variations pour maintenir l’attention. Angelina Woreth, dans le rôle de Stéphanie, illumine l’écran à chacune de ses apparitions, bien que son personnage reste en retrait. Gilles Lellouche et Ludivine Sagnier, incarnant les parents d’Anthony, ajoutent une certaine densité émotionnelle au film, mais leurs interactions sont trop peu nombreuses pour vraiment marquer.

    Les frères Boukherma tentent d’insuffler une ambition esthétique à cette adaptation, empruntant à des cinéastes comme Paul Thomas Anderson ou Martin Scorsese dans leur approche visuelle. Si certains choix fonctionnent admirablement, comme l’utilisation de la lumière naturelle ou les plans contemplatifs, d’autres paraissent superflus. À vouloir trop en faire, le film perd parfois en authenticité. L’équilibre entre l’intimisme du roman et les envolées cinématographiques manque de finesse.

    Ce qui aurait pu être une fresque sincère et vibrante sur une jeunesse désorientée se transforme parfois en exercice trop conscient de lui-même. Les moments d’émotion pure, rares mais puissants, sont noyés dans une structure narrative qui s’étire et des scènes qui cherchent à impressionner plus qu’à émouvoir. Le film semble vouloir dire beaucoup de choses sans jamais les articuler pleinement, ce qui peut frustrer le spectateur.

    Leurs enfants après eux est un film qui fascine autant qu’il déçoit. Il propose une plongée visuellement remarquable dans les méandres d’une adolescence en quête de sens, mais il peine à maintenir un équilibre entre ambition et exécution. L’atmosphère, les performances et certains moments d’émotion justifient l’expérience, mais les longueurs et le manque d’impact narratif empêchent le film d’atteindre des sommets.

    C’est une œuvre qui invite à la réflexion, mais qui, par son rythme inégal et ses choix parfois trop calculés, risque de laisser une partie de son public sur le bord du chemin. Un film qu’on regarde avec respect, mais dont on sort avec des réserves.
    Fenêtre sur salle
    Fenêtre sur salle

    73 abonnés 223 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 décembre 2024
    Le film part avec un double handicap : être l'adaptation d'un excellent roman, riche, dense et puissant, prix Goncourt en 2018, et sortir quelques semaines seulement après L'Amour Ouf, ce qui conduit nécessairement à le comparer au long métrage de Gilles Lellouche qui, en plus, co-produit celui-ci et joue dedans.

    Les points communs entre les deux films sont par ailleurs nombreux : mêmes producteurs, une réalisation ultra stylisée s'appuyant sur une multitude de références lorgnant vers le cinéma américain, une histoire d'amour empêchée entre deux jeunes adolescents, un univers qui s'inscrit dans les années 90 et qui joue à fond la carte de la nostalgie, une fascination pour l'ultra violence masculine, souvent gratuite, des rôles féminins assez inconsistants, une bande son saturée de chansons "random" de la décennie, donnant l'impression d'un film "jukebox", qui, à l'instar de son grand frère, semble chercher par tous ces biais à créer un film instantanément culte, de manière un peu trop forcée et ostentatoire.

    Néanmoins, Leurs Enfants Après Eux se révèle bien plus profond et réussit ce portrait d'une jeunesse qui, comme le titre l'indique, doit composer avec le poids de l'héritage parental et social. Le pari du lyrisme et du romanesque est tenu et s'il propose de jolies séquences, le film reste toutefois trop long (interminable bal du 14 juillet).

    Côté acting, après Le Lycéen et Le Règne Animal, il va bien falloir que Paul Kircher, récompensé pour ce rôle au dernier Festival de Venise, renouvelle sa palette de jeu et sorte de ce personnage d'adolescent Asperger, renfrogné et sauvage. Gilles Lellouche en fait vraiment des tonnes mais Ludivine Sagnier est une bonne surprise.

    En résumé, parce qu'il se contente d'effleurer le discours social et politique qui traverse de bout en bout le roman de Nicolas Mathieu, et parce qu'il ne parvient pas suffisamment à faire ressentir ce sentiment d'ennui censé habiter ses personnages, laissés pour compte par la désindustrialisation, cette adaptation n'atteint jamais la puissance émotionnelle recherchée et se contente d'être un bon film, sans plus.

    Ma page ciné instagram : fenetre_sur_salle
    Salomé16
    Salomé16

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    1,5
    Publiée le 12 décembre 2024
    Très déçue de ce film qui avait pourtant un gros potentiel. En 2 mots rien n’est aboutit. Le scénario est creux, les personnages également à part Hacine qui n’est pas assez développé. Heureusement que Gilles Lellouche sauve ce film par son jeu d’acteur mais malheuresement son personnage à lui aussi n’est pas aboutit. La relation amoureuse qu’on veut nous vendre dans le synopsis est loin de faire rêver. Tout est plat et sans âme ce qui rend les 2h15 éperduemenr longue. Je comptais sur la BO pour relever le tout mais même en mettant du nirvana, aerosmith, (et ça me fait mal au coeur de dire ça), la recette ne prend pas… En somme, garder votre argent 2h30 de votre vie pour aller ailleurs. Avis d’une jeune femme de 20 ans qui veut juste rêver et s’extirper de son quotidien en allant au cinéma. En vain.
    Pierre E
    Pierre E

    13 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2024
    Voici un film qui tient en grande partie grâce à ses acteurs, à commencer par Paul Kircher et Sayyid El Alami qui sont vraiment formidables, mais sans oublier Ludivine Sagnier, émouvante en mère un peu débordée, Louis Memmi, en cousin-compagnon d'aventures de jeunesse ou l'apparition éclair mais remarquée de Raphaël Quenard ! Durant quatre étés des années 90, nous suivons les pérégrinations de ces jeunes aussi perturbés que ces années-là, avec un brin de nostalgie tout de même et c'est sans doute ce mystère qui nous tient sans ennui pendant deux heures vingt, émaillées d'un beau florilège de musiques d'époque !
    TA4Néo
    TA4Néo

    52 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 décembre 2024
    Totalement loupé ! Du casting à la bande son.
    D'un ennui comme j'en ai rarement connu dans le cinéma français !
    Paul Kirsher (fils de...) sur qui repose tout le film et toute l'histoire est inconsistant et inexpressif comme rarement il soit possible de l'être ! Et tout en découle... hélas !
    La bande son, très présente, est issue d'un flow tout droit sorti d'une playlist Deezer des 90' en aléatoire (sauf une fois où l'on y trouve un vague rapport avec l'histoire).
    L'histoire d'Hacine (joué par Sayyid El Alami) est incompréhensible car survolée sans aucune construction par rapport au livre du vosgien Nicolas Mathieu...
    Et de surcroît, le fait que ça se passe en Moselle ne transparaît que sur 2 courts extraits. Le film aurait très bien pu se passer dans les Ardennes où au fond de la Creuse !
    Tout ça mis bout à bout donne un ensemble confus, incohérent, sans vraiment d'intérêt. Le seul que l'on puisse trouver assez rapidement est l'arrivée du générique de fin !
    Heureusement, Gilles Lellouche et Ludivine Sagnier relèvent toute cette platitude ainsi que... Raphael Quenard (et oui encore !).
    C'est long (2h21), c'est lent et d'un ennui mortel.
    Le seul film que je regrette d'avoir vu au cinéma cette année.
    Ça ne vaut même pas une VOD.
    Séverine Boulant
    Séverine Boulant

    1 abonné 21 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2024
    On se laisse emporter dans un tourbillon lent où bouillonne l’ennui comme une malédiction: au sens théâtral , si l’amour ouf est une tragédie ce film là c’est un drame très réussi, servi par un couple de parents de haut vol et évidemment le charme fou de Paul Kircher qui grandit sous nos yeux alors qu autour de lui rien ne change vraiment…
    Alice025
    Alice025

    1 681 abonnés 1 368 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2024
    Un très beau film dramatique sur les vies de différents personnages, le temps de plusieurs étés. Passage adolescent à jeune adulte, nous allons surtout suivre Anthony ainsi que son entourage et vivre avec eux l'amour, le mal-être, l'alcoolisme, les tensions entre jeunes ou encore l'envie de liberté. Les 2h20 ne commencent à se sentir que vers la fin, quelques manques de rythme parfois mais qui seront vite oubliés par des scènes plus intenses ou plus violentes. C'est également toujours un plaisir de se replonger dans les années 90, d'un point de vue sociétal ou musical. Un film sur la vie tout simplement et émouvant.

    http://cinephile-critique.over-blog.com
    PLR
    PLR

    470 abonnés 1 566 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 décembre 2024
    Trame du scénario construite sur quatre séquences espacées dans les années 1980 à 1990. Une histoire et des embrouilles de jeunes ados d’abord sur fond de (relative) misère sociale et familiale (père alcoolique et violent pour l’un). Un interdit familial bravé d’emprunter une moto (qu’on devine vestige d’une gloire passée du père). Qui a vu la bande-annonce sait déjà que ça va mal tourner. Les années passent, les rancœurs ont du mal à s’estomper. C’est gris, noir même. Violent à l’occasion, au sens propre comme figuré. Le roman éponyme, prix Goncourt 2018 (et quelques autres distinctions littéraires), se veut social et politique sur fond de désindustrialisation (sidérurgie) avec son impact sur la classe ouvrière et donc leurs enfants après eux. On suppose que, comme souvent sur ce registre, c’était difficile à adapter du texte à l’écran. Il en ressort donc un puzzle que le spectateur devra reconstituer en assemblant correctement les bonnes pièces. On n’est pas loin du film d’auteurs (au pluriel puisqu’ils sont deux). C’est un genre toujours un peu abscons à la construction narrative complexe. C’est surtout l’ambiance générale parlant aux parents d’aujourd’hui venant de cette génération-là (ces anciens ados devenus adultes) qui retient probablement le public et fait la note moyenne honorable sur ce site.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    68 abonnés 777 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 décembre 2024
    je n'avais pas lu le livre LEURS ENFANTS APRES EUX. Ma femme si. La déception est similaire. malgré quelques scènes bien jouées par Lellouche/Sagnier, la mise en scène peine à convaincre, et à intégrer un réalité sociale derrière cette histoire déjà vue d'amours adolescentes. L'ensemble est plaqué, on devine que le chômage est là, mais on n'ose pas en parler comme chez Ken Loach.
    VINGT DIEUX , aussi un premier film sorti récemment, m'a paru beaucoup authentique dans l'approche d'un certain milieu agricole. Sans être non le film du siècle, mais sans nul doute plus rafraichissant.
    La musique est omniprésente dans toute la première partie, et manque d'impact intergénérationnel, donc on la subit si on ne la connait pas.
    On tombe ensuite dans une longue fête- on disait pas encore teuf à l'époque- entre jeunes filles et fils de bonne famille, piscine, joint, alcool, que cela a été vu nombre de fois!
    Kircher doit jouer le rôle d'un jeun ado, emprunté à 14 ans, c'est crédible, mais on ne le voit pas évoluer, alors que les événements qu'il subit et le passage au service militaire ne peuvent que l'avoir transformé. La bande sonore a d'ailleurs changé par rapport au début du film, mais le personnage pas vraiment, dommage.
    spoiler: La relation de vengeance entre Hacine et Anthony se termine de façon artificielle, mais cela vient peut-être du livre. Dans ce cas, les frères Boukherma n'ont pas su la sublimer pour améliorer le chemin vers l'apaisement.

    cinéma - décembre 2024
    Pascal
    Pascal

    162 abonnés 1 688 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 décembre 2024
    Scénario pour teen agers, dont on a le sentiment d'avoir vu des dizaines de variations ( dont beaucoup sont incomparablement plus réussies : cf " la fièvre dans le sang " de Elia Kazan) portées à l'écran.

    Malgré sa platitude, le spectacle n'est jamais ennuyeux, mais pas suffisamment attrayant pour ( me) donner envie de lire le roman ( prix Goncourt 2018).
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