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40 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Les frères Boukherma portent brillamment à l’écran le roman de Nicolas Mathieu.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
D’une justesse bouleversante, le long-métrage enchaîne les moments de grâce et prend aux tripes et à la gorge.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Le Parisien
par Catherine Balle
On se laisse emporter pendant 2h16 par des dialogues et des moments très drôles, des scènes d’amour brûlantes, le souffle lyrique de la romance et l’interprétation vibrante des comédiens. Dans le rôle d’Anthony, ado maladroit qui quitte sa chrysalide, Paul Kircher est éblouissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Version Femina
par Hadrien Machart
Adapté du roman de Nicolas Mathieu (prix Goncourt 2018), ce film, qui fait écho à l'Amour ouf par la nostalgie dont il est empreint et le profil de ses héros, s'impose comme une fresque éblouissante (et moins violente) dont la richesse du propos n'a d'égal que sa mise en scène éclatante et son interprétation de haut vol.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
À la fois fable sociale, traversée du temps à la fin des années 90, roman sentimental, Leurs enfants après eux constitue l’un des plus grands films français de cette année 2024, porté par un Paul Kircher au firmament de son art.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Pélisson
Ludovic et Zoran Boukherma changent de registre en adaptant le best-seller de Nicolas Mathieu. Ils s’ouvrent au souffle du récit d’apprentissage et du romanesque en format scope, et livrent une fresque bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Les Boukherma saisissent avec force ces sentiments trop grands qui écartèlent les enfants devenus grands.
Elle
par Françoise Delbecq
Dans ce film d'apprentissage très réussi, on sent une immense tendresse de la part des réalisateurs envers les tourtereaux interprétés par Paul Kircher et Angelina Woreth.
Konbini
par Manon Marcillat
Le monument littéraire de Nicolas Matthieu se mue en une grande fresque générationnelle pleine d'élan et de mélancolie devant la caméra de Zoran et Ludovic Boukherma qui relèvent le pari de cette adaptation audacieuse.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Avec un tel résumé, on s’attend à un film en 4/3 étranglant les personnages. Mais les Boukherma jouent, au contraire, la carte d’un espace vital à conquérir. Scope, perspectives de décors dignes d’un western… leurs ambitions de mise en scène insufflent un lyrisme opératique et organique d’où émane une émotion exponentielle
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On n’est pas près d’oublier Paul Kircher (Le Règne animal) et Angelina Woreth (Ma vie, ma gueule), acteurs d’un amour en fuite, magnifiques incarnations d’une jeunesse s’ébrouant dans les prémices d’un monde qui va s’effondrer. Sur un slow de Francis Cabrel.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
D'un roman fervent, les frères Boukherma tirent un film fulgurant, qui plante des couteaux dans le cœur, à vif.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Cette chronique d’une jeunesse qui se brise les ailes sonne juste et fort.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Rythmé par la bande-son de l'époque qu'il portraiture, porté par un casting impeccable, ce récit d'apprentissage non dénué d'humour dépeint avec lyrisme ses doutes et son bouillonnement sur fond de déterminisme social.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par La Rédaction
Les fans du livre, Prix Goncourt 2018, ne seront pas déçus.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Le résultat pourra frustrer les lecteurs les plus attachés aux subtilités du roman, mais le projet l'emporte par sa générosité et l'énergie de la jeunesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Loin de la plongée intime et sociologique dans la France de l’entre-deux de Nicolas Mathieu, cette adaptation de son livre offre une exploration pleine de souffle de l’adolescence, et du passage à l’âge adulte, portée par un Paul Kircher plein de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Emily Barnett
Les belles scènes se suivent sans se ressembler, tendres et violentes, troublantes et malicieuses, paradoxales.
Télé 2 semaines
par Margot Loisel
Si le pendant criminel est moins réussi que le sentimental, le film affiche un romanesque rarissime dans le cinéma français.
Télé Loisirs
par Margot Loisel
Le film affiche un romanesque rarissime dans le cinéma français et très appréciable.
Télérama
par Marie Sauvion
Les Boukherma s’en acquittent avec style, qu’il s’agisse d’opposer les garçons dans un duel de western, lors d’une scène splendide au suspense douloureux, ou de leur offrir une étreinte muette sur une moto qui file.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Un trop plein de titres qui viennent parfois trop souligner l’état ou le ressenti des protagonistes, mais qui ne gâche cependant en rien l’intensité de cette histoire de la construction de deux jeunes personnalités d’adultes.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Ce récit fragmenté, s’il a l’avantage de donner de l’ampleur au portrait d’Anthony tout en soulignant l’inertie de ces lieux et de ces personnages – là où réside la force sociale du film –, oblige souvent le spectateur à construire des ponts et relier les points là où un peu de psychologie n’aurait pas fait de mal.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Diverto
par La Rédaction
Du social à la question de la masculinité, de l’espoir au drame, le film balance avec intelligence dans ce maelström de thématiques. Il aurait peut-être pu gagner en concision mais il n’en reste pas moins une épopée furieuse et tendre.
La critique complète est disponible sur le site Diverto
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
À trop vouloir en dire, cette ambitieuse adaptation du roman de Nicolas Mathieu finit par étouffer l'émotion, ratant par excès de générosité la traduction de la prose riche et vive de l'écrivain en langage cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Très attendue, l’adaptation au cinéma du prix Goncourt 2018 séduit par son esthétique et l’interprétation de Paul Kircher sans jamais atteindre la puissance sociale et émotionnelle du roman.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Tribune Dimanche
par Aurélien Cabrol
La réussite de la rencontre sur grand écran de Stéphanie et d’Anthony, les deux protagonistes du film, repose notamment sur les épaules d’un duo de jeunes acteurs absolument impeccables : Angelina Woreth (présente récemment au générique de Ma vie ma gueule de Sophie Fillières) et Paul Kircher (découvert dans Le Lycéen de Christophe Honoré), qui a d’ailleurs reçu le prix Marcello Mastroianni du meilleur espoir au dernier festival de Venise.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ce que le film gagne du côté de l'archétype, il le perd en épaisseur et en mystère existentiels. On reverra La Vie de Jésus (1997), de Bruno Dumont, pour voir comment un récit similaire peut faire parler la foudre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Nice-Matin
par Jimmy Boursicot
Tantôt mutique, tantôt explosif, toujours juste, Paul Kircher livre une prestation qui confirme son statut de grande valeur montante du cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Nice-Matin
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un film sensible qui ne restitue toutefois pas complètement la dimension sociale du roman.
Paris Match
par Benjamin Locoge
Si l’affaire fonctionne la plupart du temps, sans creux, ni temps mort, "Leurs enfants après eux" manque cruellement d’émotions.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Transfuge
par Serge Kaganski
[...] le film vaut essentiellement pour ses décors naturels de hauts fourneaux rouillés et pour ses jeunes acteurs [...].
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
S'ils restituent avec une fidélité touchante les personnages et l'époque, les jumeaux peinent, malgré un casting parfait, [...] à restituer l'acuité politique, la rage et la chair du roman.
Voici
par Daniel Bois
Les frères Boukherma semblent peu à l'aise avec le pan criminel, en dépit de la prestation de Sayyid El Alami. En revanche, la romance entre Anthony et Stéphanie permet aux cinéastes de dresser un portrait romanesque, juste et très touchant de la jeunesse.
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Le film échoue cependant sur le même point essentiel que L’Amour ouf : une incapacité à saisir les enjeux éminemment politiques du récit. Le désespoir des ouvriers, la lutte des classes et les tensions entre communautés (la rivalité entre Anthony et Hacine, fils d’immigré) ne dépassent pas ici le statut de moteur romanesque, d’élément mélodramatique.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Une fresque sociale violente qui perd la puissance politique du livre, malgré de jeunes acteurs excellents.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Comme "L’Amour ouf", on regrette que "Leurs enfants après eux" reste bloqué dans son époque et ses mauvaises habitudes sexistes, celle des années 1990, et n’offre pas plus de consistance à un personnage de jolie fille qui reste trop accessoire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Déraciné – déconnecté –, "Leurs Enfants après eux" finit par avoir l’air de se dérouler nulle part et pour rien si ce n’est lui-même, ses belles images et son audace éclatante à tisser son récit autour d’une réalité sociale (la paupérisation d’une région désindustrialisée) qu’il omet complètement de représenter.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Gael Golhen
Quelques fulgurances visuelles masquent mal l’absence de mordant ou d’acuité qui faisaient le prix du matériau d’origine. Tout, au fond, est à l’image du matraquage musical random qui alterne Iron Maiden, Goldman ou NTM et transforme la tragédie collective en karaoké nineties. Reste le casting, solide.
La critique complète est disponible sur le site Première
Marianne
par Olivier De Bruyn
Une adaptation ratée de Nicolas Mathieu.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
20 Minutes
Les frères Boukherma portent brillamment à l’écran le roman de Nicolas Mathieu.
CNews
D’une justesse bouleversante, le long-métrage enchaîne les moments de grâce et prend aux tripes et à la gorge.
Le Parisien
On se laisse emporter pendant 2h16 par des dialogues et des moments très drôles, des scènes d’amour brûlantes, le souffle lyrique de la romance et l’interprétation vibrante des comédiens. Dans le rôle d’Anthony, ado maladroit qui quitte sa chrysalide, Paul Kircher est éblouissant.
Version Femina
Adapté du roman de Nicolas Mathieu (prix Goncourt 2018), ce film, qui fait écho à l'Amour ouf par la nostalgie dont il est empreint et le profil de ses héros, s'impose comme une fresque éblouissante (et moins violente) dont la richesse du propos n'a d'égal que sa mise en scène éclatante et son interprétation de haut vol.
aVoir-aLire.com
À la fois fable sociale, traversée du temps à la fin des années 90, roman sentimental, Leurs enfants après eux constitue l’un des plus grands films français de cette année 2024, porté par un Paul Kircher au firmament de son art.
Bande à part
Ludovic et Zoran Boukherma changent de registre en adaptant le best-seller de Nicolas Mathieu. Ils s’ouvrent au souffle du récit d’apprentissage et du romanesque en format scope, et livrent une fresque bouleversante.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Les Boukherma saisissent avec force ces sentiments trop grands qui écartèlent les enfants devenus grands.
Elle
Dans ce film d'apprentissage très réussi, on sent une immense tendresse de la part des réalisateurs envers les tourtereaux interprétés par Paul Kircher et Angelina Woreth.
Konbini
Le monument littéraire de Nicolas Matthieu se mue en une grande fresque générationnelle pleine d'élan et de mélancolie devant la caméra de Zoran et Ludovic Boukherma qui relèvent le pari de cette adaptation audacieuse.
L'Obs
Avec un tel résumé, on s’attend à un film en 4/3 étranglant les personnages. Mais les Boukherma jouent, au contraire, la carte d’un espace vital à conquérir. Scope, perspectives de décors dignes d’un western… leurs ambitions de mise en scène insufflent un lyrisme opératique et organique d’où émane une émotion exponentielle
La Voix du Nord
On n’est pas près d’oublier Paul Kircher (Le Règne animal) et Angelina Woreth (Ma vie, ma gueule), acteurs d’un amour en fuite, magnifiques incarnations d’une jeunesse s’ébrouant dans les prémices d’un monde qui va s’effondrer. Sur un slow de Francis Cabrel.
Le Dauphiné Libéré
D'un roman fervent, les frères Boukherma tirent un film fulgurant, qui plante des couteaux dans le cœur, à vif.
Le Figaro
Cette chronique d’une jeunesse qui se brise les ailes sonne juste et fort.
Le Journal du Dimanche
Rythmé par la bande-son de l'époque qu'il portraiture, porté par un casting impeccable, ce récit d'apprentissage non dénué d'humour dépeint avec lyrisme ses doutes et son bouillonnement sur fond de déterminisme social.
Le Point
Les fans du livre, Prix Goncourt 2018, ne seront pas déçus.
Les Echos
Le résultat pourra frustrer les lecteurs les plus attachés aux subtilités du roman, mais le projet l'emporte par sa générosité et l'énergie de la jeunesse.
Les Fiches du Cinéma
Loin de la plongée intime et sociologique dans la France de l’entre-deux de Nicolas Mathieu, cette adaptation de son livre offre une exploration pleine de souffle de l’adolescence, et du passage à l’âge adulte, portée par un Paul Kircher plein de grâce.
Marie Claire
Les belles scènes se suivent sans se ressembler, tendres et violentes, troublantes et malicieuses, paradoxales.
Télé 2 semaines
Si le pendant criminel est moins réussi que le sentimental, le film affiche un romanesque rarissime dans le cinéma français.
Télé Loisirs
Le film affiche un romanesque rarissime dans le cinéma français et très appréciable.
Télérama
Les Boukherma s’en acquittent avec style, qu’il s’agisse d’opposer les garçons dans un duel de western, lors d’une scène splendide au suspense douloureux, ou de leur offrir une étreinte muette sur une moto qui file.
Abus de Ciné
Un trop plein de titres qui viennent parfois trop souligner l’état ou le ressenti des protagonistes, mais qui ne gâche cependant en rien l’intensité de cette histoire de la construction de deux jeunes personnalités d’adultes.
CinemaTeaser
Ce récit fragmenté, s’il a l’avantage de donner de l’ampleur au portrait d’Anthony tout en soulignant l’inertie de ces lieux et de ces personnages – là où réside la force sociale du film –, oblige souvent le spectateur à construire des ponts et relier les points là où un peu de psychologie n’aurait pas fait de mal.
Diverto
Du social à la question de la masculinité, de l’espoir au drame, le film balance avec intelligence dans ce maelström de thématiques. Il aurait peut-être pu gagner en concision mais il n’en reste pas moins une épopée furieuse et tendre.
Franceinfo Culture
À trop vouloir en dire, cette ambitieuse adaptation du roman de Nicolas Mathieu finit par étouffer l'émotion, ratant par excès de générosité la traduction de la prose riche et vive de l'écrivain en langage cinématographique.
La Croix
Très attendue, l’adaptation au cinéma du prix Goncourt 2018 séduit par son esthétique et l’interprétation de Paul Kircher sans jamais atteindre la puissance sociale et émotionnelle du roman.
La Tribune Dimanche
La réussite de la rencontre sur grand écran de Stéphanie et d’Anthony, les deux protagonistes du film, repose notamment sur les épaules d’un duo de jeunes acteurs absolument impeccables : Angelina Woreth (présente récemment au générique de Ma vie ma gueule de Sophie Fillières) et Paul Kircher (découvert dans Le Lycéen de Christophe Honoré), qui a d’ailleurs reçu le prix Marcello Mastroianni du meilleur espoir au dernier festival de Venise.
Le Monde
Ce que le film gagne du côté de l'archétype, il le perd en épaisseur et en mystère existentiels. On reverra La Vie de Jésus (1997), de Bruno Dumont, pour voir comment un récit similaire peut faire parler la foudre.
Nice-Matin
Tantôt mutique, tantôt explosif, toujours juste, Paul Kircher livre une prestation qui confirme son statut de grande valeur montante du cinéma français.
Ouest France
Un film sensible qui ne restitue toutefois pas complètement la dimension sociale du roman.
Paris Match
Si l’affaire fonctionne la plupart du temps, sans creux, ni temps mort, "Leurs enfants après eux" manque cruellement d’émotions.
Transfuge
[...] le film vaut essentiellement pour ses décors naturels de hauts fourneaux rouillés et pour ses jeunes acteurs [...].
Télé 7 Jours
S'ils restituent avec une fidélité touchante les personnages et l'époque, les jumeaux peinent, malgré un casting parfait, [...] à restituer l'acuité politique, la rage et la chair du roman.
Voici
Les frères Boukherma semblent peu à l'aise avec le pan criminel, en dépit de la prestation de Sayyid El Alami. En revanche, la romance entre Anthony et Stéphanie permet aux cinéastes de dresser un portrait romanesque, juste et très touchant de la jeunesse.
Cahiers du Cinéma
Le film échoue cependant sur le même point essentiel que L’Amour ouf : une incapacité à saisir les enjeux éminemment politiques du récit. Le désespoir des ouvriers, la lutte des classes et les tensions entre communautés (la rivalité entre Anthony et Hacine, fils d’immigré) ne dépassent pas ici le statut de moteur romanesque, d’élément mélodramatique.
L'Humanité
Une fresque sociale violente qui perd la puissance politique du livre, malgré de jeunes acteurs excellents.
Les Inrockuptibles
Comme "L’Amour ouf", on regrette que "Leurs enfants après eux" reste bloqué dans son époque et ses mauvaises habitudes sexistes, celle des années 1990, et n’offre pas plus de consistance à un personnage de jolie fille qui reste trop accessoire.
Libération
Déraciné – déconnecté –, "Leurs Enfants après eux" finit par avoir l’air de se dérouler nulle part et pour rien si ce n’est lui-même, ses belles images et son audace éclatante à tisser son récit autour d’une réalité sociale (la paupérisation d’une région désindustrialisée) qu’il omet complètement de représenter.
Première
Quelques fulgurances visuelles masquent mal l’absence de mordant ou d’acuité qui faisaient le prix du matériau d’origine. Tout, au fond, est à l’image du matraquage musical random qui alterne Iron Maiden, Goldman ou NTM et transforme la tragédie collective en karaoké nineties. Reste le casting, solide.
Marianne
Une adaptation ratée de Nicolas Mathieu.