Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
La réussite du film repose, au delà de l’équilibre subtil entre émotion et humour, sur le rythme de cette comédie. Imposé par des dialogues parfaitement ponctués et des vannes bien senties, celui-ci doit aussi beaucoup à la maîtrise impressionnante de Mourad Winter pour gérer les scènes de groupe.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Si l’amour est surcoté, ce qui se discute, voilà un film qui ne devrait pas échapper aux parieurs car se cache derrière cette énième comédie française contemporaine un petit bijou qu’il s’agirait de ne pas sous-estimer.
La critique complète est disponible sur le site Diverto
Par son environnement urbain et son étalement dans le temps, cette fresque sentimentale qui se double d’un roman d’amitié trouve une identité propre parfaitement de son temps.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Exit le politiquement correct, Mourad Winter — qui adapte pour son premier film son livre éponyme (Éd. Robert Laffont, 2021) — éparpille ici façon puzzle convenances, préjugés et craintes de choquer. C’est tordant. Pas uniquement.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Plutôt que de suivre un schéma classique de romance (rencontre, séduction, mensonge, séparation, pardon, réconciliation), Mourad Winter capture les instants précieux où le couple se cherche, avec deux êtres qui prennent le temps de se connaître et de s’apprivoiser. Cela passe par le soutien et la prise en compte de l’autre, sans l’idéaliser. Une comédie vraie et dans l’air du temps, donc.
Ce premier long métrage de Mourad Winter survole la production comique de ces derniers mois. Grâce notamment à un scénario, adapté de son propre livre, qui ne renonce jamais, qui marie habilement romantisme, humour et sociologie, porté par des dialogues ciselés, souvent acides, qui rythment sans jamais faillir cette rom com déjantée mais aussi rêveuse et touchante quand elle évoque le deuil impossible.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Repartie avec la Mention spéciale du jury au Festival de l’Alpe d’Huez (on aurait espéré un prix un peu plus costaud), L’Amour c’est surcoté est une comédie romantique comme on en voit peu, à l’affût de l'émotion (le trauma d’Anis, âme à réparer, sert de fil rouge) mais multipliant les vannes piquantes à un rythme pas croyable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Plutôt que de suivre un schéma classique de romance (rencontre, séduction, mensonge, séparation, pardon, réconciliation), Mourad Winter capture les instants précieux où le couple se cherche, avec deux êtres qui prennent le temps de se connaître et de s’apprivoiser. Cela passe par le soutien et la prise en compte de l’autre, sans l’idéaliser.
Drôle et touchant, porté par le duo détonnant Hakim Jemili-Laura Felpin, ce film est un véritable coup de cœur, avec lequel Benjamin Tranié remporte la palme du meilleur pote trash et hilarant.
L’amour c’est surcoté » offre sur les écrans une vision de la banlieue qui se moque de ses propres stéréotypes et témoigne de la difficulté et de la beauté pour chacun d’entre nous, des choses de l’amour.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Hakim Jemili assume avec une belle fragilité les déboires et les écarts du rôle principal. Et face à lui, Laura Felpin déploie une autorité romanesque (elle « dresse » le bonhomme) où excelle son irrésistible sens de la rupture.
En misant sur la vanne, le détachement et l'amusement, mais aussi sur le charme de deux humoristes dans le vent comme Hakim Jemili et Laura Felpin, épatante, le réalisateur a retracé avec un certain panache la romance peu linéaire d'un garçon réputé nul avec les filles et d'une fille réputée dure avec les gars.
La critique complète est disponible sur le site Version Femina
L’Amour, c'est surcoté offre un exemple assez intéressant de comédie sous contrôle, où le rire un peu bête et méchant semble filtré par les injonctions d'une comédie mainstream qui ne supporterait pas le moindre écart, ni la moindre perturbation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Si l’ensemble témoigne d’une indéniable sincérité pour aborder avec légèreté des thématiques difficiles (le deuil, le refus des sentiments…), le résultat est plombé par son « male gaze » et une complaisance malaisante envers ses personnages racistes, antisémites et transphobes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Premier long métrage de Mourad Winter, adapté de son propre roman, "L’Amour c’est surcoté" tente de renouveler le genre de la comédie romantique. Le résultat, malheureusement mitigé, ne parvient pas à se départir de ses maladresses.
Mourad Winter saisit certes quelque chose de cette ambiance cocooning anesthésiante et généralisée qui nous gagne, mais fallait-il s’en accoutumer à ce point ?
Public
On se marre du début à la fin.
20 Minutes
Cette « rom-com » couleur du temps revisite le genre avec pertinence et talent.
Abus de Ciné
La réussite du film repose, au delà de l’équilibre subtil entre émotion et humour, sur le rythme de cette comédie. Imposé par des dialogues parfaitement ponctués et des vannes bien senties, celui-ci doit aussi beaucoup à la maîtrise impressionnante de Mourad Winter pour gérer les scènes de groupe.
CinemaTeaser
Peut-on s’aimer même quand tout est nul ? Une romcom qui décape, menée avec grâce par Hakim Jemili et Laura Felpin. Étonnant.
Diverto
Si l’amour est surcoté, ce qui se discute, voilà un film qui ne devrait pas échapper aux parieurs car se cache derrière cette énième comédie française contemporaine un petit bijou qu’il s’agirait de ne pas sous-estimer.
Elle
Des personnages assez attachants pour qu'on s'attarde sur cette comédie urbaine très 2025.
La Voix du Nord
Par son environnement urbain et son étalement dans le temps, cette fresque sentimentale qui se double d’un roman d’amitié trouve une identité propre parfaitement de son temps.
Le Journal du Dimanche
[Une] comédie romantique drôlement touchante pouvant compter sur un duo épatant [...].
Le Parisien
Exit le politiquement correct, Mourad Winter — qui adapte pour son premier film son livre éponyme (Éd. Robert Laffont, 2021) — éparpille ici façon puzzle convenances, préjugés et craintes de choquer. C’est tordant. Pas uniquement.
Nice-Matin
Plutôt que de suivre un schéma classique de romance (rencontre, séduction, mensonge, séparation, pardon, réconciliation), Mourad Winter capture les instants précieux où le couple se cherche, avec deux êtres qui prennent le temps de se connaître et de s’apprivoiser. Cela passe par le soutien et la prise en compte de l’autre, sans l’idéaliser. Une comédie vraie et dans l’air du temps, donc.
Ouest France
Un bijou de comédie romantique.
Paris Match
Ce premier long métrage de Mourad Winter survole la production comique de ces derniers mois. Grâce notamment à un scénario, adapté de son propre livre, qui ne renonce jamais, qui marie habilement romantisme, humour et sociologie, porté par des dialogues ciselés, souvent acides, qui rythment sans jamais faillir cette rom com déjantée mais aussi rêveuse et touchante quand elle évoque le deuil impossible.
Première
Repartie avec la Mention spéciale du jury au Festival de l’Alpe d’Huez (on aurait espéré un prix un peu plus costaud), L’Amour c’est surcoté est une comédie romantique comme on en voit peu, à l’affût de l'émotion (le trauma d’Anis, âme à réparer, sert de fil rouge) mais multipliant les vannes piquantes à un rythme pas croyable.
Sud Ouest
Plutôt que de suivre un schéma classique de romance (rencontre, séduction, mensonge, séparation, pardon, réconciliation), Mourad Winter capture les instants précieux où le couple se cherche, avec deux êtres qui prennent le temps de se connaître et de s’apprivoiser. Cela passe par le soutien et la prise en compte de l’autre, sans l’idéaliser.
Télé 2 semaines
Drôle et touchant, porté par le duo détonnant Hakim Jemili-Laura Felpin, ce film est un véritable coup de cœur, avec lequel Benjamin Tranié remporte la palme du meilleur pote trash et hilarant.
Télé 7 Jours
Joliment écrite, cette partition coup de cœur est transcendée par ses têtes d'affiche.
Télé Loisirs
Drôle, touchant et ultra-positif. Un vrai coup de cœur !
aVoir-aLire.com
L’amour c’est surcoté » offre sur les écrans une vision de la banlieue qui se moque de ses propres stéréotypes et témoigne de la difficulté et de la beauté pour chacun d’entre nous, des choses de l’amour.
L'Obs
C’est une réinvention persifleuse et mélancolique qui sait soigner ses personnages féminins et brocarder le machisme ambiant.
La Septième Obsession
Hakim Jemili assume avec une belle fragilité les déboires et les écarts du rôle principal. Et face à lui, Laura Felpin déploie une autorité romanesque (elle « dresse » le bonhomme) où excelle son irrésistible sens de la rupture.
Télérama
L’alchimie entre Laura Felpin et Hakim Jemili fait des merveilles.
Version Femina
En misant sur la vanne, le détachement et l'amusement, mais aussi sur le charme de deux humoristes dans le vent comme Hakim Jemili et Laura Felpin, épatante, le réalisateur a retracé avec un certain panache la romance peu linéaire d'un garçon réputé nul avec les filles et d'une fille réputée dure avec les gars.
Critikat.com
L’Amour, c'est surcoté offre un exemple assez intéressant de comédie sous contrôle, où le rire un peu bête et méchant semble filtré par les injonctions d'une comédie mainstream qui ne supporterait pas le moindre écart, ni la moindre perturbation.
Le Monde
Si l’ensemble témoigne d’une indéniable sincérité pour aborder avec légèreté des thématiques difficiles (le deuil, le refus des sentiments…), le résultat est plombé par son « male gaze » et une complaisance malaisante envers ses personnages racistes, antisémites et transphobes.
Les Fiches du Cinéma
Premier long métrage de Mourad Winter, adapté de son propre roman, "L’Amour c’est surcoté" tente de renouveler le genre de la comédie romantique. Le résultat, malheureusement mitigé, ne parvient pas à se départir de ses maladresses.
Les Inrockuptibles
Mourad Winter saisit certes quelque chose de cette ambiance cocooning anesthésiante et généralisée qui nous gagne, mais fallait-il s’en accoutumer à ce point ?