Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Critikat.com
par Bastien Gens
La démarche anthropologique de Hue, dont les films se concentrent sur des cultures spécifiques et leurs croyances, défriche un terrain plastique assez fertile.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Dans The soiled doves of Tijuana, Jean-Charles Hue filme la vie de femmes des rues de la Zona Norte de Tijuana, ville-frontière du Mexique, scrutée avec empathie, fascination et poésie par sa caméra ultrasensible.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Sans éluder l’horreur du quotidien et les traumatismes du passé, le réalisateur parvient à capter la lumière et la grâce de ces “dames blanches”.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Thibault Lucia
Les jeux de lumière, les brillances et la présence récurrente de bokeh contribuent à la formulation d’un réalisme poétique, permettant au film de magnifier ces femmes et éviter tout misérabilisme. En s’écartant d’une image brute et d’une lumière crue, “The Soiled Doves of Tijuana” s’harmonise aux épiphanies de ces femmes et se manifeste comme l’expression d’une hiérophanie filmique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Poursuivant son œuvre au long cours à la frontière mexicaine, Jean-Charles Hue filme les existences marginales des femmes toxicomanes, prostituées et SDF avec la force d’une révélation, à l’intersection du sordide et du sacré.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Les films de Jean-Charle Hue brûlent d’un feu particulier. La lumière n’y est jamais un bain neutre, mais une force, un risque. Elle réchauffe les visages, irradie l’image, ouvre à l’invisible.
L'Obs
par F. F.
La grâce dans la fange, voilà ce qui se dégage de ce film. Ces femmes, Yolanda, Mimosa, Clementina, ont quelque chose d’aimable, de pitoyable et, aussi, de lumineux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Thierry Chèze
Avec sa caméra jamais intrusive et pourtant incroyablement proche, Hue témoigne de leur détresse sans une once de misérabilisme, par la grâce de sa réalisation enveloppante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
Dans ce huis clos écrasé de soleil, une vieille femme décharnée tournoie sur ses chaussures à talons jusqu’à l’étourdissement, une autre silhouette fantomatique se recouvre d’un drap, en pleine rue, pour tirer sur sa pipe à crack à l’abri des regards. Ce sont elles, les colombes souillées de Tijuana.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Ma. Mt.
En ces prostituées déchues, le film nous invite à voir des princesses, des icônes, madones kitsch de chapelles sud-américaines auréolées de scintillements, baignant dans la même atmosphère spiritualiste, la même aspiration au divin, qui flotte dans le périmètre des chapelles de quartier. Foi et dépendance, drogue et prière procèdent ici d’un même « gospel ».
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Critikat.com
La démarche anthropologique de Hue, dont les films se concentrent sur des cultures spécifiques et leurs croyances, défriche un terrain plastique assez fertile.
L'Humanité
Dans The soiled doves of Tijuana, Jean-Charles Hue filme la vie de femmes des rues de la Zona Norte de Tijuana, ville-frontière du Mexique, scrutée avec empathie, fascination et poésie par sa caméra ultrasensible.
Les Fiches du Cinéma
Sans éluder l’horreur du quotidien et les traumatismes du passé, le réalisateur parvient à capter la lumière et la grâce de ces “dames blanches”.
Les Inrockuptibles
Les jeux de lumière, les brillances et la présence récurrente de bokeh contribuent à la formulation d’un réalisme poétique, permettant au film de magnifier ces femmes et éviter tout misérabilisme. En s’écartant d’une image brute et d’une lumière crue, “The Soiled Doves of Tijuana” s’harmonise aux épiphanies de ces femmes et se manifeste comme l’expression d’une hiérophanie filmique.
Libération
Poursuivant son œuvre au long cours à la frontière mexicaine, Jean-Charles Hue filme les existences marginales des femmes toxicomanes, prostituées et SDF avec la force d’une révélation, à l’intersection du sordide et du sacré.
Cahiers du Cinéma
Les films de Jean-Charle Hue brûlent d’un feu particulier. La lumière n’y est jamais un bain neutre, mais une force, un risque. Elle réchauffe les visages, irradie l’image, ouvre à l’invisible.
L'Obs
La grâce dans la fange, voilà ce qui se dégage de ce film. Ces femmes, Yolanda, Mimosa, Clementina, ont quelque chose d’aimable, de pitoyable et, aussi, de lumineux.
Première
Avec sa caméra jamais intrusive et pourtant incroyablement proche, Hue témoigne de leur détresse sans une once de misérabilisme, par la grâce de sa réalisation enveloppante.
Télérama
Dans ce huis clos écrasé de soleil, une vieille femme décharnée tournoie sur ses chaussures à talons jusqu’à l’étourdissement, une autre silhouette fantomatique se recouvre d’un drap, en pleine rue, pour tirer sur sa pipe à crack à l’abri des regards. Ce sont elles, les colombes souillées de Tijuana.
Le Monde
En ces prostituées déchues, le film nous invite à voir des princesses, des icônes, madones kitsch de chapelles sud-américaines auréolées de scintillements, baignant dans la même atmosphère spiritualiste, la même aspiration au divin, qui flotte dans le périmètre des chapelles de quartier. Foi et dépendance, drogue et prière procèdent ici d’un même « gospel ».