Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Coconut Head Generation donne à voir comme rarement quelle peut être la fonction du cinéma : non pas une évasion de la réalité, mais le moyen d’en élaborer une compréhension commune et émancipatrice par des va-et-vient entre les images, les paroles et la société.
Le Monde
par Cl. F.
Ce documentaire possède l’élégance de plans silencieux, respirations ou signaux d’alertes adressés au spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Didier Péron
L’effet que produit le film tient sans doute à la violente disjonction entre le brio et l’intensité des intervenants et le sentiment de délaissement ou de décadence de la structure qui est censé les porter.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Cécile Marchand Ménard
Tous les jeudis au sein de l’université d’Ibadan, dans le sud-ouest du Nigeria, étudiantes et étudiants se retrouvent pour participer à un ciné-club éminemment politique. Le documentariste Alain Kassanda filme leurs débats passionnants sur la décolonisation, le féminisme ou les défaillances du système éducatif… Il brosse ainsi, en creux, le portrait assez puissant d’une génération qui en veut.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Coconut Head Generation donne à voir comme rarement quelle peut être la fonction du cinéma : non pas une évasion de la réalité, mais le moyen d’en élaborer une compréhension commune et émancipatrice par des va-et-vient entre les images, les paroles et la société.
Le Monde
Ce documentaire possède l’élégance de plans silencieux, respirations ou signaux d’alertes adressés au spectateur.
Libération
L’effet que produit le film tient sans doute à la violente disjonction entre le brio et l’intensité des intervenants et le sentiment de délaissement ou de décadence de la structure qui est censé les porter.
Télérama
Tous les jeudis au sein de l’université d’Ibadan, dans le sud-ouest du Nigeria, étudiantes et étudiants se retrouvent pour participer à un ciné-club éminemment politique. Le documentariste Alain Kassanda filme leurs débats passionnants sur la décolonisation, le féminisme ou les défaillances du système éducatif… Il brosse ainsi, en creux, le portrait assez puissant d’une génération qui en veut.