Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
À la fois minimaliste et métaphysique, cette relecture 2.0 de La Quatrième Dimension constitue une expérience quasi physique dont on ne sort pas indemne.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Avec un seul décor, une actrice impliquée et un mystérieux artefact, Monolith réussit à créer un film de science-fiction prenant sur la dureté d’affronter les erreurs du passé.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Une petite bulle d’angoisse vertigineuse sous forme de huis clos malin. Et un premier film impressionnant, interprété en quasi solo par la fantastique Lily Sullivan.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Monolith marche grâce au pouvoir du son. Les voix du film nous transportent dans des situations irréelles sans jamais rien montrer (ou presque), juste avec notre imagination.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une stimulante analyse de notre responsabilité face à la vérité.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Cette série B paranoïaque à personnage unique (...) est signée d’un réalisateur débutant capable de jouer du cadre et du hors-champ pour nous maintenir en haleine. Ceci ne suffit pas toutefois à masquer les limites d’un scénario un peu trop prompt à étirer son idée de départ, qui trouve son acmé dans un finale appuyé, loin de la rigueur froide en vigueur jusque-là.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par S. B.
Un huis clos malin, où tout passe par les communications téléphoniques ou les écrans pour créer du suspense façon The Guilty (2018), de Gustav Möller.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J.-F. R.
Ce premier long-métrage du jeune réalisateur australien est une sorte d’exercice de style, plutôt malin, construit sur des contraintes formelles et narratives (un espace limité, une unique actrice à l’image, les autres n’étant que des voix au bout du téléphone) et déployant une troublante parabole sur le sentiment de culpabilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Premier film australien ultramalin, Monolith aborde le genre fantastique avec les moyens du bord, un scénario solidement ficelé et une comédienne habitée.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Mad Movies
par V.M.
Monolith brille moins par son discours pas très neuf sur les réseaux sociaux que par cet art de la terreur sourde d'un cinéaste qui, entre autres qualités, a celle d'en garder constamment sous le pied.
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
D'abord convaincant, le film, mu par une bonne idée, s'effrite dans la dernière partie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Point
par La rédaction
L'épilogue vient, comme une aiguille contre un ballon de baudruche, crever tout ce que la mise en scène s'était efforcée de construire. Dommage ! Le réalisateur australien Matthew Vesely ne manque pas d'audace en nous servant avec trois fois rien (une unité de lieu et de temps, une seule actrice) cette aventure plaisante aux deux tiers.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par Thierry Chèze
Très vite, le récit s'enlise, au fil de rebondissements incohérents. Et l'ennui prend le pas sur l'angoisse.
Première
par Lucie Chiquer
Bémol, le réalisateur peine à s'arrêter au bon moment et perd en cours de route le ton de son film. Le produit final finit par manquer d'harmonie… et de réponses.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Monolith parvient à capter l’attention une bonne demi-heure durant, avant de nous perdre. Ambitieux dans sa critique des privilèges criminels, le film est aussi fumeux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
À la fois minimaliste et métaphysique, cette relecture 2.0 de La Quatrième Dimension constitue une expérience quasi physique dont on ne sort pas indemne.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Avec un seul décor, une actrice impliquée et un mystérieux artefact, Monolith réussit à créer un film de science-fiction prenant sur la dureté d’affronter les erreurs du passé.
Ecran Large
Une petite bulle d’angoisse vertigineuse sous forme de huis clos malin. Et un premier film impressionnant, interprété en quasi solo par la fantastique Lily Sullivan.
Le Dauphiné Libéré
Monolith marche grâce au pouvoir du son. Les voix du film nous transportent dans des situations irréelles sans jamais rien montrer (ou presque), juste avec notre imagination.
Les Fiches du Cinéma
Une stimulante analyse de notre responsabilité face à la vérité.
L'Obs
Cette série B paranoïaque à personnage unique (...) est signée d’un réalisateur débutant capable de jouer du cadre et du hors-champ pour nous maintenir en haleine. Ceci ne suffit pas toutefois à masquer les limites d’un scénario un peu trop prompt à étirer son idée de départ, qui trouve son acmé dans un finale appuyé, loin de la rigueur froide en vigueur jusque-là.
Le Journal du Dimanche
Un huis clos malin, où tout passe par les communications téléphoniques ou les écrans pour créer du suspense façon The Guilty (2018), de Gustav Möller.
Le Monde
Ce premier long-métrage du jeune réalisateur australien est une sorte d’exercice de style, plutôt malin, construit sur des contraintes formelles et narratives (un espace limité, une unique actrice à l’image, les autres n’étant que des voix au bout du téléphone) et déployant une troublante parabole sur le sentiment de culpabilité.
Les Echos
Premier film australien ultramalin, Monolith aborde le genre fantastique avec les moyens du bord, un scénario solidement ficelé et une comédienne habitée.
Mad Movies
Monolith brille moins par son discours pas très neuf sur les réseaux sociaux que par cet art de la terreur sourde d'un cinéaste qui, entre autres qualités, a celle d'en garder constamment sous le pied.
Critikat.com
D'abord convaincant, le film, mu par une bonne idée, s'effrite dans la dernière partie.
Le Point
L'épilogue vient, comme une aiguille contre un ballon de baudruche, crever tout ce que la mise en scène s'était efforcée de construire. Dommage ! Le réalisateur australien Matthew Vesely ne manque pas d'audace en nous servant avec trois fois rien (une unité de lieu et de temps, une seule actrice) cette aventure plaisante aux deux tiers.
Ouest France
Très vite, le récit s'enlise, au fil de rebondissements incohérents. Et l'ennui prend le pas sur l'angoisse.
Première
Bémol, le réalisateur peine à s'arrêter au bon moment et perd en cours de route le ton de son film. Le produit final finit par manquer d'harmonie… et de réponses.
Télérama
Monolith parvient à capter l’attention une bonne demi-heure durant, avant de nous perdre. Ambitieux dans sa critique des privilèges criminels, le film est aussi fumeux.