Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
En s’abstenant de révéler les étapes ultérieures du récit, on salue la cohérence du travail d’Armel Hostiou, fidèle à la dimension expérimentale de ses premiers essais cinématographiques, parmi lesquels l’emblématique SoloS (il est elle et lui) [...] dont la démarche réflexive et les changements de points de vue mettaient déjà en question la notion d’auteur.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Polar, making of, road movie documentaire, comédie de mœurs, le Vrai du faux joue habilement avec l’imaginaire du cinéma et sa force d’attraction. Avec en axe de réflexion cette question existentielle: pourquoi croire à la réalité quand la fiction est plus belle ?
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Mené comme une fiction, un documentaire brillant, effrayant, drôle et politique.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Il y a un peu d’Alain Cavalier dans ce plaisir de la rencontre, du jeu complice avec les autres comme horizon de fiction possible comme de cette voix, ronde, calme avec laquelle Armel Hostiou, faussement désinvolte commente et accueille tout ce qui lui arrive.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Estelle Aubin
Bref, c’est surréaliste, artisanal, absurde, très drôle. Sans prétention. Méta aussi : « Il ne faut pas séparer le vrai du faux… Le faux est en toi. Il existe… Cherche-le… Deviens le faux… » Quelque part entre David Lynch et Édouard Baer donc.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par X. L.
Un film qui mélange intelligemment les situations cocasses et le documentaire sociologique. Jolie découverte.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par A.C.
Ouvrant les yeux sur une mégapole africaine cinégénique, accueillante bien qu'un peu effrayante, ce documentaire gentiment alternatif charme autant qu'il déroute grâce à ses intervenants sympathiques. Et au bout du compte tous, réalisateur compris, arroseurs arrosés.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Laura Tuillier
Parti en RDC trouver l’escroc ayant usurpé son identité sur Facebook, Armel Hostiou signe un docu à la première moitié poussive avant une épiphanie finale.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par François Ekchajzer
Commençant sur un mode léger et plein d’humour, cette sorte de Tintin au Congo ponctué de belles rencontres surprend par le tour subtilement politique pris à mi-parcours par le documentaire. Jusqu’à ouvrir à une réflexion en demi-teinte sur l’héritage colonial imprégnant notre regard et les modèles culturels qui ne cessent d’avoir cours dans la société congolaise.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le falsificateur retrouvé, le film s’infléchit vers des questions plus politiques liées à l’héritage colonial de l’Afrique. Il est à craindre que l’intérêt du spectateur se soit dissous avant d’atteindre ce point.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
En s’abstenant de révéler les étapes ultérieures du récit, on salue la cohérence du travail d’Armel Hostiou, fidèle à la dimension expérimentale de ses premiers essais cinématographiques, parmi lesquels l’emblématique SoloS (il est elle et lui) [...] dont la démarche réflexive et les changements de points de vue mettaient déjà en question la notion d’auteur.
L'Humanité
Polar, making of, road movie documentaire, comédie de mœurs, le Vrai du faux joue habilement avec l’imaginaire du cinéma et sa force d’attraction. Avec en axe de réflexion cette question existentielle: pourquoi croire à la réalité quand la fiction est plus belle ?
Les Fiches du Cinéma
Mené comme une fiction, un documentaire brillant, effrayant, drôle et politique.
Les Inrockuptibles
Il y a un peu d’Alain Cavalier dans ce plaisir de la rencontre, du jeu complice avec les autres comme horizon de fiction possible comme de cette voix, ronde, calme avec laquelle Armel Hostiou, faussement désinvolte commente et accueille tout ce qui lui arrive.
Première
Bref, c’est surréaliste, artisanal, absurde, très drôle. Sans prétention. Méta aussi : « Il ne faut pas séparer le vrai du faux… Le faux est en toi. Il existe… Cherche-le… Deviens le faux… » Quelque part entre David Lynch et Édouard Baer donc.
L'Obs
Un film qui mélange intelligemment les situations cocasses et le documentaire sociologique. Jolie découverte.
Le Journal du Dimanche
Ouvrant les yeux sur une mégapole africaine cinégénique, accueillante bien qu'un peu effrayante, ce documentaire gentiment alternatif charme autant qu'il déroute grâce à ses intervenants sympathiques. Et au bout du compte tous, réalisateur compris, arroseurs arrosés.
Libération
Parti en RDC trouver l’escroc ayant usurpé son identité sur Facebook, Armel Hostiou signe un docu à la première moitié poussive avant une épiphanie finale.
Télérama
Commençant sur un mode léger et plein d’humour, cette sorte de Tintin au Congo ponctué de belles rencontres surprend par le tour subtilement politique pris à mi-parcours par le documentaire. Jusqu’à ouvrir à une réflexion en demi-teinte sur l’héritage colonial imprégnant notre regard et les modèles culturels qui ne cessent d’avoir cours dans la société congolaise.
Le Monde
Le falsificateur retrouvé, le film s’infléchit vers des questions plus politiques liées à l’héritage colonial de l’Afrique. Il est à craindre que l’intérêt du spectateur se soit dissous avant d’atteindre ce point.