Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un pur mélo, sublimé par un duo merveilleux, où l’émotion n’est jamais exactement là où on l’attend.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Figaro
par Constance Jamet
Au court du récit, les plus infimes moments de tendresse entre Florence Pugh et Andrew Garfield prennent des proportions monumentales.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Florence Pugh et Andrew Garfield composent une famille émouvante et passionnante, sous le regard d’un John Crowley inspiré.
Libération
par Camille Nevers
La sincérité totale de l’Amour au présent emporte défauts et mièvrerie, dans sa sentimentalité minutieuse à laquelle peu de films se risquent. C’est rare, un vrai bon «feel not good» movie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé 2 semaines
par Margot Loisel
Les mélodrames de ce genre sont rares et précieux.
Télé 7 Jours
par J.B.
Au service de personnages super attachants, l'écriture est subtile, Andrew Garfield et Florence Pugh, en couple moderne et déconstruit, sont irrésistibles.
Télé Loisirs
par M.L.
Cette grande histoire d'amour frappe en plein cœur.
Télérama
par Cécile Mury
Une chronique sentimentale délicate et rafraîchissante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Bois
Au moins aussi drôle qu'il est tragique, ce film se révèle donc d'un grand réalisme dans sa manière de chroniquer nos vies.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Assurément, une comédie dramatique et sentimentale, conçue pour devenir culte.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Un puzzle émotionnel qui tient grâce à deux interprètes bouleversants.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Ce choix impose une attention constante : les vides narratifs ne se complètent qu’à la toute fin, rendant le film parfois déroutant. Heureusement, Florence Pugh et Andrew Garfield portent le long-métrage avec brio : elle, éclatante ; lui, tout en nuances. Ensemble, ils s’harmonisent.
Ecran Large
par Antoine Desrues
L’Amour au présent se planque trop derrière sa structure faussement habile de mélo tire-larmes déconstruit, mais il reste un puissant film d’acteurs, où Andrew Garfield et Florence Pugh impressionnent par leur justesse.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un mélodrame classique du dramaturge Nick Payne, porté par les lumineux Florence Pugh et Andrew Garfield, dans un récit à la chronologie déstructurée.
Le Point
par La Rédaction
Un film touchant.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Thierry Chèze
Certaines scènes (dont un accouchement) marquent les esprits. Et pourtant, on ne s’abandonne jamais totalement à ce qui se joue à l’écran. La faute à ce choix de récit en flashbacks et flashforwards qui crée des ventres mous à répétition mais donne surtout la sensation d’un artifice visant à protéger à tout prix le récit d’un déferlement d’émotions qui pourrait rimer avec sensiblerie.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Nicolas Schaller
Hélas, des intérieurs proprets dignes d’un catalogue Maisons du Monde aux regards de cocker d’Andrew Garfield, la larme à l’œil à chaque plan, en passant par les apparitions purement utilitaires de l’enfant, le mélo est de nature superflue. Trop bobo pour être honnête.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par S. B.
Sauf que le réalisateur irlandais John Crowley (Le Chardonneret) s’amuse à déstructurer la narration en multipliant les allers-retours dans le temps à différents âges de l’existence des personnages, si bien que ce montage complexe s’avère décousu et surtout n’ajoute rien à la dramaturgie, contrairement à certains modèles du genre (Memento, Irréversible).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
Reste, heureusement, et comme souvent, l’interprétation 5 étoiles de Florence Pugh dans le rôle d’Almut : aussi pétillante que touchante, elle survole la distribution et nous accroche sans cesse à son regard. Ça n’est hélas pas suffisant pour sauver le film…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Loin du modèle « Love story », dont on sent constamment la présence, lourd dans sa partie drama et plombé par une conclusion faussement poétique, cet « Amour au présent » ne trouve qu’un petit intérêt dans la prestation de ses deux stars (...).
CinemaTeaser
Un pur mélo, sublimé par un duo merveilleux, où l’émotion n’est jamais exactement là où on l’attend.
Le Figaro
Au court du récit, les plus infimes moments de tendresse entre Florence Pugh et Andrew Garfield prennent des proportions monumentales.
Les Fiches du Cinéma
Florence Pugh et Andrew Garfield composent une famille émouvante et passionnante, sous le regard d’un John Crowley inspiré.
Libération
La sincérité totale de l’Amour au présent emporte défauts et mièvrerie, dans sa sentimentalité minutieuse à laquelle peu de films se risquent. C’est rare, un vrai bon «feel not good» movie.
Télé 2 semaines
Les mélodrames de ce genre sont rares et précieux.
Télé 7 Jours
Au service de personnages super attachants, l'écriture est subtile, Andrew Garfield et Florence Pugh, en couple moderne et déconstruit, sont irrésistibles.
Télé Loisirs
Cette grande histoire d'amour frappe en plein cœur.
Télérama
Une chronique sentimentale délicate et rafraîchissante.
Voici
Au moins aussi drôle qu'il est tragique, ce film se révèle donc d'un grand réalisme dans sa manière de chroniquer nos vies.
aVoir-aLire.com
Assurément, une comédie dramatique et sentimentale, conçue pour devenir culte.
Abus de Ciné
Un puzzle émotionnel qui tient grâce à deux interprètes bouleversants.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce choix impose une attention constante : les vides narratifs ne se complètent qu’à la toute fin, rendant le film parfois déroutant. Heureusement, Florence Pugh et Andrew Garfield portent le long-métrage avec brio : elle, éclatante ; lui, tout en nuances. Ensemble, ils s’harmonisent.
Ecran Large
L’Amour au présent se planque trop derrière sa structure faussement habile de mélo tire-larmes déconstruit, mais il reste un puissant film d’acteurs, où Andrew Garfield et Florence Pugh impressionnent par leur justesse.
Le Dauphiné Libéré
Un mélodrame classique du dramaturge Nick Payne, porté par les lumineux Florence Pugh et Andrew Garfield, dans un récit à la chronologie déstructurée.
Le Point
Un film touchant.
Première
Certaines scènes (dont un accouchement) marquent les esprits. Et pourtant, on ne s’abandonne jamais totalement à ce qui se joue à l’écran. La faute à ce choix de récit en flashbacks et flashforwards qui crée des ventres mous à répétition mais donne surtout la sensation d’un artifice visant à protéger à tout prix le récit d’un déferlement d’émotions qui pourrait rimer avec sensiblerie.
L'Obs
Hélas, des intérieurs proprets dignes d’un catalogue Maisons du Monde aux regards de cocker d’Andrew Garfield, la larme à l’œil à chaque plan, en passant par les apparitions purement utilitaires de l’enfant, le mélo est de nature superflue. Trop bobo pour être honnête.
Le Journal du Dimanche
Sauf que le réalisateur irlandais John Crowley (Le Chardonneret) s’amuse à déstructurer la narration en multipliant les allers-retours dans le temps à différents âges de l’existence des personnages, si bien que ce montage complexe s’avère décousu et surtout n’ajoute rien à la dramaturgie, contrairement à certains modèles du genre (Memento, Irréversible).
Le Parisien
Reste, heureusement, et comme souvent, l’interprétation 5 étoiles de Florence Pugh dans le rôle d’Almut : aussi pétillante que touchante, elle survole la distribution et nous accroche sans cesse à son regard. Ça n’est hélas pas suffisant pour sauver le film…
Nice-Matin
Loin du modèle « Love story », dont on sent constamment la présence, lourd dans sa partie drama et plombé par une conclusion faussement poétique, cet « Amour au présent » ne trouve qu’un petit intérêt dans la prestation de ses deux stars (...).