Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Le style d’Abrantes s’acclimate aisément dans le genre horrifique : son penchant pour l’outrance alimente l’effroi, et les effets d’annonce censés entretenir le suspense n’ont qu’à être soulignés pour se teinter de comique.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Amelia's Children" revisite le thème satanique dans la continuité de "Rosemary’s Baby" (1967), de "L’Exorciste" (1973) et de "La Malédiction" (1976). Extrêmement soigné dans sa facture, le film fait de la belle ouvrage, dans la lignée des meilleures productions de ces années fastes.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par É.S.
Gabriel Abrantes, pasticheur doué et retors, a retenu les préceptes de Blum house, la société de production américaine pourvoyeuse de films d'horreur à la chaîne : peu de personnages, pas de figurants, un seul décor. Mais il s'en distingue par une perversion et un raffinement européens. Il dose parfaitement l'humour noir et les nuits blanches.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Michel Valentin
(...) le fait que le danger pour les protagonistes provienne de la propre famille de l’un d’entre eux reste un concept particulièrement efficace.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Après l’ovni "Diamantino", le franc-tireur Gabriel Abrantes confirme son aisance dans un genre (a priori) plus balisé, et affirme quelque chose comme une signature stylistique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Complètement investi dans l’exercice, Abrantes évite le piège du pensum psychologique ravalé à l’hémoglobine, soignant ses ambiances intérieures (superbe photographie de Vasco Viana) et ne lésinant pas sur les irruptions de terreur pure, tout en formes furtives et ombres subliminales.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
"Amelia's Children" tient le pari de satisfaire aussi bien les amateurs d'avant-garde que les fans de fantastique.
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Une série B d'horreur qui verse dans le cliché et qui n'est pas exempte de quelques (grosses) maladresses, mais dont la personnalité, les scènes de suspense et la performance de Brigette Lunday-Paine ne laissent pas indifférentes.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
Une approche cinéphile post-moderne.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dans une atmosphère malsaine et pesante, le récit recycle des thèmes comme la peur de vieillir et le fantasme de la jeunesse éternelle ou la gémellité. Mais il a le mérite d'aller jusqu'au bout de son parti pris avec une audace réjouissante, en dépit de certains effets un peu appuyés.
Télé Loisirs
par S.O.
En privilégiant le glissement progressif vers l'horreur plutôt que les effets faciles, le film se montre assez oppressant pour oublier les flottements du scénario.
Télérama
par Frédéric Strauss
Un frisson visuel et cérébral.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Quand le portugais Gabriel Abrantes réinvente le cinéma d’épouvante, cela donne une œuvre baroque, flippante et follement déroutante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Du Portugais Gabriel Abrantes, on avait apprécié le dingo « Diamantino », croisement queer de série Z et de satire politique. Las ! Son esprit camp est, ici, totalement paralysé par les poncifs du genre horrifique et par une approche si convenue du mythe de la sorcière et de la vampirisation œdipienne qu’on se demande s’il faut se tordre de peur ou de rire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Ma. Mt.
Autour de l’inquiétante châtelaine botoxée se noue la fable vampirique d’une classe dominante s’accaparant une jeunesse éternelle en immolant sa propre progéniture. Sympathique programme qui, malheureusement, accuse les insuffisances d’une mise en scène laborieuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Le cinéaste portugais Gabriel Abrantes (Diamantino) s’essaie au film d’horreur, sans succès. L’intrigue manque cruellement de crédibilité, les personnages, privés d’arc narratif, se perdent dans des dialogues sans relief, et les acteurs en font des tonnes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
Le style d’Abrantes s’acclimate aisément dans le genre horrifique : son penchant pour l’outrance alimente l’effroi, et les effets d’annonce censés entretenir le suspense n’ont qu’à être soulignés pour se teinter de comique.
Franceinfo Culture
"Amelia's Children" revisite le thème satanique dans la continuité de "Rosemary’s Baby" (1967), de "L’Exorciste" (1973) et de "La Malédiction" (1976). Extrêmement soigné dans sa facture, le film fait de la belle ouvrage, dans la lignée des meilleures productions de ces années fastes.
Le Figaro
Gabriel Abrantes, pasticheur doué et retors, a retenu les préceptes de Blum house, la société de production américaine pourvoyeuse de films d'horreur à la chaîne : peu de personnages, pas de figurants, un seul décor. Mais il s'en distingue par une perversion et un raffinement européens. Il dose parfaitement l'humour noir et les nuits blanches.
Le Parisien
(...) le fait que le danger pour les protagonistes provienne de la propre famille de l’un d’entre eux reste un concept particulièrement efficace.
Les Inrockuptibles
Après l’ovni "Diamantino", le franc-tireur Gabriel Abrantes confirme son aisance dans un genre (a priori) plus balisé, et affirme quelque chose comme une signature stylistique.
Libération
Complètement investi dans l’exercice, Abrantes évite le piège du pensum psychologique ravalé à l’hémoglobine, soignant ses ambiances intérieures (superbe photographie de Vasco Viana) et ne lésinant pas sur les irruptions de terreur pure, tout en formes furtives et ombres subliminales.
Mad Movies
"Amelia's Children" tient le pari de satisfaire aussi bien les amateurs d'avant-garde que les fans de fantastique.
Ecran Large
Une série B d'horreur qui verse dans le cliché et qui n'est pas exempte de quelques (grosses) maladresses, mais dont la personnalité, les scènes de suspense et la performance de Brigette Lunday-Paine ne laissent pas indifférentes.
La Septième Obsession
Une approche cinéphile post-moderne.
Le Journal du Dimanche
Dans une atmosphère malsaine et pesante, le récit recycle des thèmes comme la peur de vieillir et le fantasme de la jeunesse éternelle ou la gémellité. Mais il a le mérite d'aller jusqu'au bout de son parti pris avec une audace réjouissante, en dépit de certains effets un peu appuyés.
Télé Loisirs
En privilégiant le glissement progressif vers l'horreur plutôt que les effets faciles, le film se montre assez oppressant pour oublier les flottements du scénario.
Télérama
Un frisson visuel et cérébral.
aVoir-aLire.com
Quand le portugais Gabriel Abrantes réinvente le cinéma d’épouvante, cela donne une œuvre baroque, flippante et follement déroutante.
L'Obs
Du Portugais Gabriel Abrantes, on avait apprécié le dingo « Diamantino », croisement queer de série Z et de satire politique. Las ! Son esprit camp est, ici, totalement paralysé par les poncifs du genre horrifique et par une approche si convenue du mythe de la sorcière et de la vampirisation œdipienne qu’on se demande s’il faut se tordre de peur ou de rire.
Le Monde
Autour de l’inquiétante châtelaine botoxée se noue la fable vampirique d’une classe dominante s’accaparant une jeunesse éternelle en immolant sa propre progéniture. Sympathique programme qui, malheureusement, accuse les insuffisances d’une mise en scène laborieuse.
Les Fiches du Cinéma
Le cinéaste portugais Gabriel Abrantes (Diamantino) s’essaie au film d’horreur, sans succès. L’intrigue manque cruellement de crédibilité, les personnages, privés d’arc narratif, se perdent dans des dialogues sans relief, et les acteurs en font des tonnes.