Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Télé Loisirs
par S.O.
En insufflant du mysticisme dans un univers très réaliste, le réalisateur de Shéhérazade signe un film percutant qui évite la énième variation autour de Roméo et Juliette sur fond de guerre des gangs.
CinemaTeaser
par Alex Masson
Pas si éloigné que ça du Règne Animal dans sa volonté de renouveler l’imaginaire du cinéma français, Jean-Bernard Marlin sait intégrer les mouvements sociétaux comme les métissages culturels qui font la France d’aujourd’hui. Et si quelques boursouflures persistent (cet inutile détour final par le western urbain), Salem lévite très au-dessus du tout-venant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par Nicolas Schaller
Présenté l’an dernier à Cannes dans un montage bâclé, le film a été resserré, et c’est tant mieux. On y retrouve, au-delà de quelques errances scénaristiques, ce qui illuminait Shéhérazade : la persistance d’un amour là où il n’y en a plus trace.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Malgré le succès de Shéhérazade (2018), cette reprise de Roméo et Juliette par Jean-Bernard Marlin n’a pas convaincu le Festival de Cannes de 2023. Il a dû revoir son montage, réduire d’une heure la durée de son film, pour rendre son histoire plus compréhensible. Le résultat n’est pas parfait, mais Salem a plus d’allure et de sens avec cette Director’s Cut.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Bap. T.
Un étonnant objet flirtant avec le trop-plein, un film aussi singulier que déroutant qui, malgré ses maladresses, émeut et quelque part fascine.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Catherine Balle
Plutôt que de se centrer sur la romance shakespearienne, le réalisateur étale son récit sur différentes époques et nous perd un peu. Reste un long-métrage plein de fougue et des acteurs totalement habités.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
J-B. Marlin livre un second film décevant, à la structure bancale, desservi par un scénario nébuleux.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par V.M.
S'il est trop long et donne l'impression de parfois prendre trop son temps, Salem instaure une atmosphère d'une rare puissance de mystère, opposant à sa structure de fresque quasi-documentaire (...) tout un imaginaire sombre et merveilleux.
Positif
par Éric Derobert
La réalisatrice du film choisit d'éluder beaucoup de choses, et notamment l'histoire (...) dans laquelle s'inscrit cette tragédie. Cela en minimise un peu trop le contexte spécifique, mais à lui donner un aspect intemporel et anthropologique.
Première
par Yohan Haddad
La spontanéité des acteurs, choisis au cours d’un casting sauvage, permet de rendre l’ensemble encore plus émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Guillemette Odicino
Après son premier film “Shéhérazade”, Jean-Bernard Marlin revient à Marseille pour raconter un amour impossible dans une ambiance de western urbain. Un drame incandescent et halluciné.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Bastien Gens
Dissimulées sous un vernis clinquant qui rappelle celui des films noirs de Jacques Audiard, les vertus documentaires du cinéma de Merlin ne paraissent plus ici qu’un prétexte à une fiction surannée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le portrait de Djibril se perd dans un mysticisme pesant, trop souligné, trop étiré. Les effets visuels auraient mérité plus de réserve, et le regard sur Djibril plus d’acuité pour comprendre son angle, alors que se mêlent son point de vue et celui d’autrui.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par J. Ma.
Marlin pousse ici à fond les manettes – pétages de plombs incessants, récit sur la longue durée, fantastique latent, embardée métaphysique – et signe un film qui n’est pas vraiment à la hauteur de ses ambitions.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Rose Baldous
Multipliant les métaphores religieuses chaotiques et s’encombrant d’effets de mise en scène superflus, Salem, dans sa dimension fantastique, tire vers le caricatural.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Le long métrage du cinéaste français tourne en surrégime et s’égare entre différents genres qu’il tente de maîtriser.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
La fable mystique, où l’imagerie symbolique illustre un syncrétisme confus tentant de concilier islam et christianisme, gêne surtout par son inconséquence politique : tous les problèmes sociaux s’y trouvent résumés dans la violence tout en étant évacués dans l’idée que le divin est la solution.
Télé Loisirs
En insufflant du mysticisme dans un univers très réaliste, le réalisateur de Shéhérazade signe un film percutant qui évite la énième variation autour de Roméo et Juliette sur fond de guerre des gangs.
CinemaTeaser
Pas si éloigné que ça du Règne Animal dans sa volonté de renouveler l’imaginaire du cinéma français, Jean-Bernard Marlin sait intégrer les mouvements sociétaux comme les métissages culturels qui font la France d’aujourd’hui. Et si quelques boursouflures persistent (cet inutile détour final par le western urbain), Salem lévite très au-dessus du tout-venant.
L'Obs
Présenté l’an dernier à Cannes dans un montage bâclé, le film a été resserré, et c’est tant mieux. On y retrouve, au-delà de quelques errances scénaristiques, ce qui illuminait Shéhérazade : la persistance d’un amour là où il n’y en a plus trace.
Le Figaro
Malgré le succès de Shéhérazade (2018), cette reprise de Roméo et Juliette par Jean-Bernard Marlin n’a pas convaincu le Festival de Cannes de 2023. Il a dû revoir son montage, réduire d’une heure la durée de son film, pour rendre son histoire plus compréhensible. Le résultat n’est pas parfait, mais Salem a plus d’allure et de sens avec cette Director’s Cut.
Le Journal du Dimanche
Un étonnant objet flirtant avec le trop-plein, un film aussi singulier que déroutant qui, malgré ses maladresses, émeut et quelque part fascine.
Le Parisien
Plutôt que de se centrer sur la romance shakespearienne, le réalisateur étale son récit sur différentes époques et nous perd un peu. Reste un long-métrage plein de fougue et des acteurs totalement habités.
Les Fiches du Cinéma
J-B. Marlin livre un second film décevant, à la structure bancale, desservi par un scénario nébuleux.
Mad Movies
S'il est trop long et donne l'impression de parfois prendre trop son temps, Salem instaure une atmosphère d'une rare puissance de mystère, opposant à sa structure de fresque quasi-documentaire (...) tout un imaginaire sombre et merveilleux.
Positif
La réalisatrice du film choisit d'éluder beaucoup de choses, et notamment l'histoire (...) dans laquelle s'inscrit cette tragédie. Cela en minimise un peu trop le contexte spécifique, mais à lui donner un aspect intemporel et anthropologique.
Première
La spontanéité des acteurs, choisis au cours d’un casting sauvage, permet de rendre l’ensemble encore plus émouvant.
Télérama
Après son premier film “Shéhérazade”, Jean-Bernard Marlin revient à Marseille pour raconter un amour impossible dans une ambiance de western urbain. Un drame incandescent et halluciné.
Critikat.com
Dissimulées sous un vernis clinquant qui rappelle celui des films noirs de Jacques Audiard, les vertus documentaires du cinéma de Merlin ne paraissent plus ici qu’un prétexte à une fiction surannée.
La Croix
Le portrait de Djibril se perd dans un mysticisme pesant, trop souligné, trop étiré. Les effets visuels auraient mérité plus de réserve, et le regard sur Djibril plus d’acuité pour comprendre son angle, alors que se mêlent son point de vue et celui d’autrui.
Le Monde
Marlin pousse ici à fond les manettes – pétages de plombs incessants, récit sur la longue durée, fantastique latent, embardée métaphysique – et signe un film qui n’est pas vraiment à la hauteur de ses ambitions.
Les Inrockuptibles
Multipliant les métaphores religieuses chaotiques et s’encombrant d’effets de mise en scène superflus, Salem, dans sa dimension fantastique, tire vers le caricatural.
Libération
Le long métrage du cinéaste français tourne en surrégime et s’égare entre différents genres qu’il tente de maîtriser.
Cahiers du Cinéma
La fable mystique, où l’imagerie symbolique illustre un syncrétisme confus tentant de concilier islam et christianisme, gêne surtout par son inconséquence politique : tous les problèmes sociaux s’y trouvent résumés dans la violence tout en étant évacués dans l’idée que le divin est la solution.