Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Culturopoing.com
par Pierig Leray
Il y a un vrai exploit avec "Les Colons", celui d’éviter l’écueil d’un premier film (trop en faire), instaurer un climat unique, une réussite formelle indiscutable, une immensité de propos naviguant entre la férocité de son message politique et une philosophie transcendantale faisant naître une poésie de l’effroi, une beauté dans l’inhumanité pour un film sombre à la lueur du désespoir.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Libération
par Camille Nevers
Retour aux origines du cinéma pour un récit primitif. Il émane du film une radicalité double à force entêtante : radicalité formelle d’une œuvre au cordeau, austérité intacte des paysages et patience du découpage ; radicalité politique du propos, témoignant du passé barbare du Chili, de ses colons génocidaires devenus notables escamotant les carnages («la mer est devenue rouge»).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Michel Oriot
La rudesse des paysages d'est rien face à la barbarie des colons pour anéantir les indigènes et construire le pays.
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Face à l’omnipotente impassibilité du commanditaire (impérial Alfredo Castro) se déploie, par contraste, une évocation d’une rare violence dont les gros plans autant que les vues d’ensemble sur les étendues désertiques tiennent souvent de la cruauté des fables jodorowskyennes.
Franceinfo Culture
par Mohamed Berkani
Le réalisateur chilien signe un premier long métrage brillant et engagé sur une page méconnue de l'histoire de son pays : l'extermination de la population autochtone. Sans concession aucune.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Cette page d’histoire, ignorée, s’inspire de personnages authentiques. Dans le Chili d’aujourd’hui, issu de la dictature de Pinochet, le film a une étrange actualité et ouvre une blessure encore vive. Mais nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
D’une beauté austère, le film n’est pas sans rappeler formellement le magnifique Godland, de l’Islandais Hlynur Palmason, avec lequel il partage cette volonté de réécrire l’histoire de la mission civilisatrice de l’Occident.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Un film impressionnant.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le premier film de Felipe Galvez frappe par son ambition et son ton épique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Frédéric Strauss
Des images marquantes pour faire éclater tout ce que le passé du Chili a d’extrême.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
par La Rédaction
« Les Colons » raconte de façon édifiante l’histoire de la construction d’une nation. Sur fond de paysages sauvages filmés en panoramique, la violence crue et obscène de certains plans secoue. Comme celui où MacLennan entasse des cadavres d’Indiens comme si c’était du bétail.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Très inspiré dans la forme, le film ne fait pas dans la dentelle pour déployer son discours.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Un road-movie sanglant à travers la Terre de Feu d'une grande maitrise [...]. Le scénario, lui, tarde à se déployer mais l'épilogue donne toute sa dimension tragique au propos.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Nicolas Moreno
Si la force du récit avait été égale à la beauté des plans et des décors, on tenait là un très grand western contemporain. Mais hélas l’intrigue n’accroche jamais véritablement, contrairement au regard de ces hommes et (surtout) femmes dominées, dont le mutisme résonne en discrète solidarité avec celui de Lily Gladstone dans Killers of the Flower Moon.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
Galvez cherche à combler les lacunes de la mémoire chilienne d'un geste ample, spectaculaire mais parfois trop volontariste comme en témoignent quelques scènes complaisantes.
Critikat.com
par Clément Colliaux
Le mélange d’ultraviolence et de traits d’humour incongrus accouche d’un film ambigu, coincé entre l'impératif d'un devoir de mémoire et le ton d'une mauvaise série B.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Ma. Mt.
En revanche, bien moins convaincant s’y avère le dessin des relations humaines, car les personnages sont avant tout théoriques. Le film vaut néanmoins pour un second mouvement, plus maîtrisé sur le plan de la charge politique, situé sept ans après les faits.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Culturopoing.com
Il y a un vrai exploit avec "Les Colons", celui d’éviter l’écueil d’un premier film (trop en faire), instaurer un climat unique, une réussite formelle indiscutable, une immensité de propos naviguant entre la férocité de son message politique et une philosophie transcendantale faisant naître une poésie de l’effroi, une beauté dans l’inhumanité pour un film sombre à la lueur du désespoir.
Libération
Retour aux origines du cinéma pour un récit primitif. Il émane du film une radicalité double à force entêtante : radicalité formelle d’une œuvre au cordeau, austérité intacte des paysages et patience du découpage ; radicalité politique du propos, témoignant du passé barbare du Chili, de ses colons génocidaires devenus notables escamotant les carnages («la mer est devenue rouge»).
Ouest France
La rudesse des paysages d'est rien face à la barbarie des colons pour anéantir les indigènes et construire le pays.
Cahiers du Cinéma
Face à l’omnipotente impassibilité du commanditaire (impérial Alfredo Castro) se déploie, par contraste, une évocation d’une rare violence dont les gros plans autant que les vues d’ensemble sur les étendues désertiques tiennent souvent de la cruauté des fables jodorowskyennes.
Franceinfo Culture
Le réalisateur chilien signe un premier long métrage brillant et engagé sur une page méconnue de l'histoire de son pays : l'extermination de la population autochtone. Sans concession aucune.
L'Obs
Cette page d’histoire, ignorée, s’inspire de personnages authentiques. Dans le Chili d’aujourd’hui, issu de la dictature de Pinochet, le film a une étrange actualité et ouvre une blessure encore vive. Mais nécessaire.
La Croix
D’une beauté austère, le film n’est pas sans rappeler formellement le magnifique Godland, de l’Islandais Hlynur Palmason, avec lequel il partage cette volonté de réécrire l’histoire de la mission civilisatrice de l’Occident.
La Septième Obsession
Un film impressionnant.
Le Figaro
Le premier film de Felipe Galvez frappe par son ambition et son ton épique.
Télérama
Des images marquantes pour faire éclater tout ce que le passé du Chili a d’extrême.
Le Parisien
« Les Colons » raconte de façon édifiante l’histoire de la construction d’une nation. Sur fond de paysages sauvages filmés en panoramique, la violence crue et obscène de certains plans secoue. Comme celui où MacLennan entasse des cadavres d’Indiens comme si c’était du bétail.
Les Fiches du Cinéma
Très inspiré dans la forme, le film ne fait pas dans la dentelle pour déployer son discours.
Paris Match
Un road-movie sanglant à travers la Terre de Feu d'une grande maitrise [...]. Le scénario, lui, tarde à se déployer mais l'épilogue donne toute sa dimension tragique au propos.
Première
Si la force du récit avait été égale à la beauté des plans et des décors, on tenait là un très grand western contemporain. Mais hélas l’intrigue n’accroche jamais véritablement, contrairement au regard de ces hommes et (surtout) femmes dominées, dont le mutisme résonne en discrète solidarité avec celui de Lily Gladstone dans Killers of the Flower Moon.
Transfuge
Galvez cherche à combler les lacunes de la mémoire chilienne d'un geste ample, spectaculaire mais parfois trop volontariste comme en témoignent quelques scènes complaisantes.
Critikat.com
Le mélange d’ultraviolence et de traits d’humour incongrus accouche d’un film ambigu, coincé entre l'impératif d'un devoir de mémoire et le ton d'une mauvaise série B.
Le Monde
En revanche, bien moins convaincant s’y avère le dessin des relations humaines, car les personnages sont avant tout théoriques. Le film vaut néanmoins pour un second mouvement, plus maîtrisé sur le plan de la charge politique, situé sept ans après les faits.