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Vraiment incroyable ! Quelle prétention de proposer ses pensées intimistes en pensant que cela peut intéresser un spectateur. La bande annonce et l'affiche sont des mensonges au regard de la réalité.
Yves G.
Écologue de formation, Luc Jacquet est un documentariste français qui a acquis une renommée mondiale grâce à son tout premier film, "La Marche de l’empereur", sorti en 2005.
La cinquantaine bien entamée, il raconte à la première personne l’irrésistible attraction qui le lie à l’Antarctique et à ses curieux habitants.
"Voyage au pôle sud" a bien entendu une qualité indiscutable : ses paysages grandioses, filmés grand angle, qu’il faut absolument voir sur grand écran pour les apprécier à leur juste mesure. Luc Jacquet choisit de les filmer en noir et blanc. La raison en est sans doute qu’ils sont ainsi plus majestueux encore. Il faudrait pondérer leur beauté des difficultés techniques et humaines difficiles à imaginer que leur tournage a probablement rencontrées.
Mais cette qualité esthétique est hélas la seule d’un documentaire dont le sujet et surtout le traitement suscitent une irritation croissante. Très narcissiquement, Luc Jacquet s’y met seul en scène. On le voit, marchant solitaire sur la banquise, ou au milieu des manchots empereurs qui ont fait sa célébrité. Ces images, qu’on croirait tout droit sorties d’Instagram, sont lestées d’une voix off qui pèse des tonnes où l’omniprésent réalisateur d’une voix sentencieuse nous assène des vérités définitives sur le sens de la vie et l’état de notre planète : « Tout nous dépasse, le temps, les forces en présence », « Qu’il est apaisant de pouvoir vivre sans les animaux sans leur faire peur ! ».
Sur ce dernier point, ma plume fielleuse s’égare : ce "Voyage" n’est pas lesté du prêchi-prêcha écologiste que la plupart des documentaires animaliers se sentent obligés de s’adjoindre. Mais son contenu est si plat, si fat, qu’on en viendrait presque à le regretter.
La cinquantaine bien entamée, il raconte à la première personne l’irrésistible attraction qui le lie à l’Antarctique et à ses curieux habitants.
"Voyage au pôle sud" a bien entendu une qualité indiscutable : ses paysages grandioses, filmés grand angle, qu’il faut absolument voir sur grand écran pour les apprécier à leur juste mesure. Luc Jacquet choisit de les filmer en noir et blanc. La raison en est sans doute qu’ils sont ainsi plus majestueux encore. Il faudrait pondérer leur beauté des difficultés techniques et humaines difficiles à imaginer que leur tournage a probablement rencontrées.
Mais cette qualité esthétique est hélas la seule d’un documentaire dont le sujet et surtout le traitement suscitent une irritation croissante. Très narcissiquement, Luc Jacquet s’y met seul en scène. On le voit, marchant solitaire sur la banquise, ou au milieu des manchots empereurs qui ont fait sa célébrité. Ces images, qu’on croirait tout droit sorties d’Instagram, sont lestées d’une voix off qui pèse des tonnes où l’omniprésent réalisateur d’une voix sentencieuse nous assène des vérités définitives sur le sens de la vie et l’état de notre planète : « Tout nous dépasse, le temps, les forces en présence », « Qu’il est apaisant de pouvoir vivre sans les animaux sans leur faire peur ! ».
Sur ce dernier point, ma plume fielleuse s’égare : ce "Voyage" n’est pas lesté du prêchi-prêcha écologiste que la plupart des documentaires animaliers se sentent obligés de s’adjoindre. Mais son contenu est si plat, si fat, qu’on en viendrait presque à le regretter.
Un bijou de beauté et d intelligence. Ce réalisateur maîtrise son art que ce soit par les images, le montage que les commentaires et la bande son . Tout est poésie et témoignage.
Courrez vite voir les manchots avec lui
Courrez vite voir les manchots avec lui
Voyage onirique avec de très belles images soutenues par une belle bande son. Le noir et blanc se justifie largement et nous plonge véritablement dans cette terre de hauts contrastes !
Magnifique ! D'une grande finesse dans les images et les mots.
Pour les amoureux de la nature, de la planète et de la vie en général.
Pour les amoureux de la nature, de la planète et de la vie en général.
Je me faisait une hâte de voir ce films avec la famille mais en voyant qu’il était en noir et blanc et non en couleur cela nous a donc débouté de notre démarche. C’est bien dommage de ne pas mettre en avant les attraits de la beauté des pôles. Le films aurait pu faire plus d’entrées.
Rien à voir avec la marche de l'empereur. Voix monotone et paysages peu mis en valeur, pas d'histoire même si c'est un documentaire . A éviter
Ce film en noir et blanc est graphique et très artistique. J'ai adoré. On dirait une succession de photographies étudiées, plan par plan. C'est magnifique !
Ca aurait pu être bon, voire très bon. Quelle idée bizarre de nous projeter des scènes qui auraient pu être sublimes si elles n'avaient été en noir et blanc. Et les moments floutés, pas compris non plus l'intérêt de les placer dans le film. Ca fait mal aux yeux et n'apporte rien à l'histoire.
j'ai adoré. beau et émouvant. images et musiques excellentes. Le noir et blanc ajoute une note de charme en plus, mais je me demande si en couleurs l'effet aurait été meilleur. Pas sûr.
Un film totalement egotique. C'est on film de vacances. Le récit est lenifiant et ne comprends également que la première personne.
Les choix chromatographiques du film sont incompréhensibles. Faire du noir et blanc ne fait pas un film artistique. Les effets sur certains plans, juste mauvais.
Côté écologique, on dirait Yann Arthus Bertrand. 4x4, navire, avion... On a droit à la totale.
Pas une seconde j'ai trouvé que le film était un moment de partage.
Les choix chromatographiques du film sont incompréhensibles. Faire du noir et blanc ne fait pas un film artistique. Les effets sur certains plans, juste mauvais.
Côté écologique, on dirait Yann Arthus Bertrand. 4x4, navire, avion... On a droit à la totale.
Pas une seconde j'ai trouvé que le film était un moment de partage.
On revient toujours fasciné d'un voyage en Antarctique. Après quatre expéditions sur le continent blanc je me réjouissais de voir le nouveau film de Luc Jaquet Un voyage au Pôle Sud. Grosse déception. Pourquoi le noir et le blanc alors que la glace et la faune rendent de si belles couleurs? Pourquoi s'attarder hors sujet pendant 30 minutes sur la Patagonie et la Terre de Feu ?
Pourquoi l'auteur met-il en avant si souvent son ego en s'incrustant dans de trop nombreuses séquences ? Pourquoi si peu de faune alors que l'Antarctique peut nous faire découvrir de si magnifiques espèces en couleur !
Pourquoi une musique aussi insoutenable à l'exception du Cum Dederit final?
Ce n'est pas ainsi que l'on peut découvrir les réelles beautés de l'Antarctique. Film fortement déconseillé.
Une étoile pour ce film est généreux, il n'en mérite aucune.
Pourquoi l'auteur met-il en avant si souvent son ego en s'incrustant dans de trop nombreuses séquences ? Pourquoi si peu de faune alors que l'Antarctique peut nous faire découvrir de si magnifiques espèces en couleur !
Pourquoi une musique aussi insoutenable à l'exception du Cum Dederit final?
Ce n'est pas ainsi que l'on peut découvrir les réelles beautés de l'Antarctique. Film fortement déconseillé.
Une étoile pour ce film est généreux, il n'en mérite aucune.
Le noir & blanc a tout gâché. On ne voit rien, on DEVINE : le bleu vert clair de la mer, la peau bleue des baleines, le cou jaune des manchots. Quel gâchis !
A mon avis, la réalisation a été très mal inspirée.
A mon avis, la réalisation a été très mal inspirée.
Mais quel ennui ! Quel ennui !!
3 ou 4 passages intéressants, mais le reste est mortel, on attend pendant tout le film le moment où l’on va enfin être captivés et ce moment n’arrive jamais
On n’en peut plus de regarder des arbres et des gouttes d’eau qui tombent de stalactites de glace
C’est affligeant
3 ou 4 passages intéressants, mais le reste est mortel, on attend pendant tout le film le moment où l’on va enfin être captivés et ce moment n’arrive jamais
On n’en peut plus de regarder des arbres et des gouttes d’eau qui tombent de stalactites de glace
C’est affligeant
Voyage initiatique accompagné de poésie autour d’un retour aux sources, et de l’importance des racines. Les plans cinématographiques sont originaux et d’une beauté absolue. La narration sincère attire subtilement sur le devenir de ce continent. Luc Jacquet vous embarque dans son navire à destination du pôle sud en réussissant l’exploit de partager les sensations et les émotions qui l’accompagne et l’attire vers ce continent magnétique..
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