Excellent film ou l'on retrouve coluche et l'équipe du splendid et on peut dire que la mayonnaise prend tout de suite,on rit du début a la fin. Tous les acteurs sont droles et les répliques deviennent cultes bref un film a voir!!
Film de Coluche qui peut faire tirer un sourire de temps en temps mais on va pas dire que c'est une grande réussite, en gros vous n'aurez ni le meilleur et ni le pire. Avec un casting assez éloquent les deux qui sortent du lot et auquel on s'attache rapidement et tous le long, sont Anémone et surtout Gerard Lanvin pour le rôle du chevalier blanc, humour assurer.
L'équipe à peut être dut se marrer pendant le tournage de ce film,mais c'est loin d’être notre cas. Dans cette seule et unique réalisation de coluche,les gags semblent avoir été écrits lors du tournage de la scène. C'est bien trop pauvre pour être amusant.
Quelle est la couleur du chevalier blanc du roi Gros Pif ?... Unique réalisation du grand Coluche, Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine approche le quintal sur l'échelle de Pantalon. Drôlement drôle, ce bon gros nanar franchouillard n'est qu'un gigantesque pléonasme comique rassemblant ce qui se fait de plus lourdingue en matière d'humour : répétitif dans ses gags et son visuel burlesque, peu subtil dans ses calembours, caricatural dans ses personnages et complètement à côté de la plaque dans sa réalisation Coluche livre une tarte à la crème somme toute très indigeste à consommer, pourtant accompagné d'une brochette de comédiens au meilleur de leur gloire. Si l'on excepte une scène réellement hilarante - la fameuse scène de la prison dans laquelle le comique burlesque fait mouche - le film est beaucoup, beaucoup, beaucoup trop lourd et forcé pour inspirer autre chose qu'un grand sourire timide. Même la chanson emblématique du film écrite par feu Gainsbourg ne relève pas vraiment le niveau global... Bref on pardonne à Coluche cet écart de conduite qui n'est en fait rien d'autre qu'une erreur de jeunesse, sorte de farce déjà vue, déjà oubliée. Ni à revoir, ni à refaire.
Distribution exceptionnelle, mais l'humour est trop lourd pour réussir à rendre le film intéressant. Vraiment dommage, cet échec restera la seule expérience de Coluche derrière la caméra.
Première et unique réalisation de Coluche. Heureusement! La réalisation est catastrophique et les gags tombent à plat. La distribution est cependant hallucinante: toute l'equipe du Splendid est réunie et Gérard Lanvin trouve ici son premier role au cinéma. Il incarne le personnage du Chevalier Blanc, mythique grace à la chanson écrite par Serge Gainsbourg et que nombreux connaissent. C'est un des meilleurs moments du film, une sorte de "gimmick" qui essaie de redonner du rythme...par ailleurs on notera que le film et les gags reposent souvent sur ce procédé de "gag à répétition" nottament dans les dialogues...quelques anachronismes sympathiques, des bagarres réjouissantes...un peu un Asterix avant l'heure avec un hymne à la gloire à la gauloiserie, parfois grivois ( pléonasme ? ), qui fait sourire plus qu'il ne fait rire...c'est souvent surjoué, réalisé n'importe comment, mais l'energie des comédiens est palpable...dommage que le montage soit complètement raté et que presque tous les gags tombent à plat...
Idéal pour les fans de l'humour un peu lourdingue...une prestation catastrophe de Gérard Lanvin, malgré une excellente interprétation du roi par Coluche. L'excès d'humour du film transforme celui ci en énorme blague, ce qui est bien dommage
Un vrai navet. Il est bien triste de voir Coluche se fourvoyer dans un tel excercice inutile .Le scénario est nul , les dialogues ne sont pas amusants. On se demande comment Coluche avait chosit de réaliser un tel film. Très certainement pour le cachet.
Une étoile pour le bon jeu des acteurs : et Lanvin en chevalier Blanc. hilarant..
Dès les 5 premières minutes on devine que l'on va avoir affaire à un navet. Et on n'est pas déçu : c'est effectivement un navet. D'ailleurs, Coluche, dont c'est le premier et unique film, l'a reconnu lui-même car il a décidé de ne plus en faire après celui-ci. La seule chose amusante est le "Chevalier Blanc" et sa chanson mais ça ne vaut même pas une étoile.
Hors la prestation kitchissime et cultissime de Gérard Lanvin (et la fameuse chanson qui va avec...) et un casting plein de jeunes loups qui feront les beaux jours de la comédie française par la suite, il n'y a pas grand-chose à retenir de ce qui restera l'unique tentative de Coluche en tant que metteur en scène. L'écriture est balourde, l'histoire capillotractée dans tous les sens et les gags empilés au petit bonheur la chance, avec beaucoup de maladresse et peu de réussite pour cette parodie des films en costumes. Sur le plan filmique, le comique N°1 de l'époque n'a pas toujours eu la main heureuse, loin s'en faut, même en étant à la manoeuvre.
Génial ! Une parodie qui arrive à rassembler Coluche et la troupe du splendide ! Que demander de plus ?!? Des répliques qui tordent de rire, un Gérard lanvin tout frais et petit bémol...une fin un chouïa longue ... Un film trop peu connu.
Coluche s'entoure de l'équipe encore débutante du Splendid pour une farce parodique presque complètement ratée. L'affiche est prometteuse mais ces aventures costumées crypto-historiques à la cour, grotesque, du roi Gros Pif manquent très visiblement de moyens et surtout d'idées. Malgré queques bons mots qui sont autant d'anachronismes verbaux en cette époque médiévale, Coluche n'a pas su éviter les effets les plus lourds. Mais, au-delà de plaisanteries appuyées qui font long feu, c'est sans doute par sa mise en scène que le film trahit le plus ses lacunes. La réalisation de Coluche est simpliste autant que maladroite, et le montage souligne constamment son inexpérience. Le plus souvent, les idées comiques sont mal amenées, les comédiens médiocrement dirigés. Plus manifestement encore, la direction de la figuration est vraiment mauvaise tandis que les décors font apparaitre une très factice reconstitution d'époque. Paradoxalement (ou pas), ce n'est que lorsque Coluche abandonne son exubérance provocante et grossière que le film est le plus amusant.