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Ce récit d'apprentissage, à la fois simple et subtil, se vit comme une expérience immersive assez radicale, l'adolescence et ses excès ayant rarement été saisis de façon aussi énergique et... titubante.
Dotée d’une empathie bouleversante, d’une caméra intime, toujours respectueuse, jamais indiscrète, la réalisatrice nous met dans les pompes d’une jeune fille qui a compris, à la dure, son statut de femme, sa force et sa fragilité, en une semaine à l’étranger alors qu’elle était juste venue pour s’amuser.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dominé par l'interprétation de Mia McKenna-Bruce, dont le visage réussit de manière remarquable à jouer la dissimulation d’émotions bouillonnantes [...] "How to have sex" est un film réaliste et, au vu de certaines mentalités délétères et persistantes, plus que nécessaire, pourvu que l’on puisse lire entre les lignes.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Pour son premier long-métrage en tant que réalisatrice et en retournant judicieusement l'image d'Épinal du Spring break, Molly Manning Walker parvient à caractériser un dangereux rite de passage adolescent qui ne dit pas son nom.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
"How To Have Sex" – qui pose un regard à la fois doux et révolutionnaire sur les questions du désir et du consentement, et les traumatisantes zones grises qui leur sont inhérentes – signale en fanfare la naissance d’une future grande cinéaste : Molly Manning Walker.
La critique complète est disponible sur le site GQ
La réalisatrice britannique subvertit le genre codifié et très américain du teen movie [...]. Son intelligence consiste à filmer ce microcosme en ébullition dans lequel se noue un drame en exposant les faits bruts, et sans juger les personnages emportés malgré eux dans un tourbillon vertigineux.
Si le film est si réussi et a un tel impact sur les spectateurs, c’est parce que sa réalisatrice se distingue par le cheminement qu’elle fait suivre à son récit et à ses héroïnes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
La jeune cinéaste londonienne filme finalement moins le sexe, qu'une silhouette dans la nuit, et ce sentiment inquiétant de solitude dans la foule affamée. Un premier long-métrage mordant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Sous ses airs de simple teen movie trash, cet étonnant premier film révèle, dans ses thèmes et son langage, une approche plus fraîche et contemporaine qu’attendu.
Jamais didactique et sans tomber dans le simple examen psychologique ou moral, "How to Have Sex" montre à quel point la première relation sexuelle est un acte traversé par des considérations et des affects éminemment politiques.
L’intelligence de Molly Manning Walker est d’éviter le film à thèse pour montrer l’envers du décor d’un samedi soir sur terre, où les cœurs sont brisés et l’innocence perdue à jamais.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Une chronique désenchantée, mais qui parvient par sa distance empathique à éviter l'écueil du voyeurisme comme celui du pathos victimaire. Une réussite.
Dense, bigarrée et sensible, How to Have Sex est une œuvre de cinéma autant universelle que générationnelle sur une jeunesse d’hier et d’aujourd’hui qui cherche à échapper à l’impasse du désenchantement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Plus subtil dans ses intentions que dans son écriture, ce premier film, couronné du prix Un Certain Regard à Cannes, n’est jamais aussi fort que lorsqu’il s’arrime au visage de Tara (Mia McKenna-Bruce), dont les désillusions la révèlent à elle-même.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Après une introduction sur le mode « sea, sex and sun », ce film aborde avec finesse l’ambiguë question du consentement et des zones grises qui l’entourent.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Rien de très original, mais How to Have Sex, premier long-métrage de la Britannique Molly Manning Walker, récompensé du prix Un certain regard à Cannes, réussit une plongée quasi ethnographique dans un monde étrangement formaté (très hétérocentré) de la fête à échelle industrielle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ça se trémousse et ça rigole pas mal dans le premier film de l'Anglaise Molly Manning Walker [...]. Mais gare aux prédateurs... Le film se pare alors d'une belle gravité.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Si la première partie emprunte des chemins convenus (les teufs, l'alcool, les néons des clubs, le désir qui monte et les corps à moitié nus qui se reniflent), How to Have Sex prend une toute autre ampleur quand le film aborde enfin son vrai sujet et s'intéresse de façon subtilement lucide au consentement et aux zones grises.
La critique complète est disponible sur le site Première
Molly Manning Walker filme la virée d’adolescentes façon spring break glauque, et en tire un conte d’avertissement sur le consentement desservi par sa construction approximative.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Inutile de chercher la caméra dans ce navet de Molly Manning Walker. Elle ne filme jamais, elle enregistre un scénario avec des personnages schématisés [...].
Ouest France
L'héroïne au visage poupin (Mia McKenna-Bruce, une révélation !) entraîne la comédie teen vers une mélancolie saisissante.
Positif
Ce récit d'apprentissage, à la fois simple et subtil, se vit comme une expérience immersive assez radicale, l'adolescence et ses excès ayant rarement été saisis de façon aussi énergique et... titubante.
CinemaTeaser
Dotée d’une empathie bouleversante, d’une caméra intime, toujours respectueuse, jamais indiscrète, la réalisatrice nous met dans les pompes d’une jeune fille qui a compris, à la dure, son statut de femme, sa force et sa fragilité, en une semaine à l’étranger alors qu’elle était juste venue pour s’amuser.
Culturopoing.com
Dominé par l'interprétation de Mia McKenna-Bruce, dont le visage réussit de manière remarquable à jouer la dissimulation d’émotions bouillonnantes [...] "How to have sex" est un film réaliste et, au vu de certaines mentalités délétères et persistantes, plus que nécessaire, pourvu que l’on puisse lire entre les lignes.
Ecran Large
Pour son premier long-métrage en tant que réalisatrice et en retournant judicieusement l'image d'Épinal du Spring break, Molly Manning Walker parvient à caractériser un dangereux rite de passage adolescent qui ne dit pas son nom.
Elle
Un film radical et bouleversant.
GQ
"How To Have Sex" – qui pose un regard à la fois doux et révolutionnaire sur les questions du désir et du consentement, et les traumatisantes zones grises qui leur sont inhérentes – signale en fanfare la naissance d’une future grande cinéaste : Molly Manning Walker.
La Septième Obsession
Un chef-d'œuvre désenchanté.
Le Figaro
Plaire, séduire et coucher: Molly Manning Walker signe un film franc sur les injonctions auxquelles sont confrontés les adolescents.
Le Journal du Dimanche
La réalisatrice britannique subvertit le genre codifié et très américain du teen movie [...]. Son intelligence consiste à filmer ce microcosme en ébullition dans lequel se noue un drame en exposant les faits bruts, et sans juger les personnages emportés malgré eux dans un tourbillon vertigineux.
Le Parisien
Si le film est si réussi et a un tel impact sur les spectateurs, c’est parce que sa réalisatrice se distingue par le cheminement qu’elle fait suivre à son récit et à ses héroïnes.
Les Echos
La jeune cinéaste londonienne filme finalement moins le sexe, qu'une silhouette dans la nuit, et ce sentiment inquiétant de solitude dans la foule affamée. Un premier long-métrage mordant.
Les Fiches du Cinéma
Sous ses airs de simple teen movie trash, cet étonnant premier film révèle, dans ses thèmes et son langage, une approche plus fraîche et contemporaine qu’attendu.
Les Inrockuptibles
Jamais didactique et sans tomber dans le simple examen psychologique ou moral, "How to Have Sex" montre à quel point la première relation sexuelle est un acte traversé par des considérations et des affects éminemment politiques.
Paris Match
L’intelligence de Molly Manning Walker est d’éviter le film à thèse pour montrer l’envers du décor d’un samedi soir sur terre, où les cœurs sont brisés et l’innocence perdue à jamais.
Télé 2 semaines
Un véritable coup de poing.
Télérama
Intelligent et émouvant, le premier long métrage de Molly Manning Walker pose un regard empathique sur sa jeune héroïne flouée.
Voici
Une chronique désenchantée, mais qui parvient par sa distance empathique à éviter l'écueil du voyeurisme comme celui du pathos victimaire. Une réussite.
aVoir-aLire.com
Dense, bigarrée et sensible, How to Have Sex est une œuvre de cinéma autant universelle que générationnelle sur une jeunesse d’hier et d’aujourd’hui qui cherche à échapper à l’impasse du désenchantement.
Critikat.com
D'abord un peu convenu, le film gagne en épaisseur lorsqu'il se recentre sur le personnage de Tara.
Franceinfo Culture
Dans ce premier film, Molly Manning Walker questionne le désir et le consentement.
L'Obs
Plus subtil dans ses intentions que dans son écriture, ce premier film, couronné du prix Un Certain Regard à Cannes, n’est jamais aussi fort que lorsqu’il s’arrime au visage de Tara (Mia McKenna-Bruce), dont les désillusions la révèlent à elle-même.
La Croix
Après une introduction sur le mode « sea, sex and sun », ce film aborde avec finesse l’ambiguë question du consentement et des zones grises qui l’entourent.
Le Monde
Rien de très original, mais How to Have Sex, premier long-métrage de la Britannique Molly Manning Walker, récompensé du prix Un certain regard à Cannes, réussit une plongée quasi ethnographique dans un monde étrangement formaté (très hétérocentré) de la fête à échelle industrielle.
Marie Claire
Ça se trémousse et ça rigole pas mal dans le premier film de l'Anglaise Molly Manning Walker [...]. Mais gare aux prédateurs... Le film se pare alors d'une belle gravité.
Première
Si la première partie emprunte des chemins convenus (les teufs, l'alcool, les néons des clubs, le désir qui monte et les corps à moitié nus qui se reniflent), How to Have Sex prend une toute autre ampleur quand le film aborde enfin son vrai sujet et s'intéresse de façon subtilement lucide au consentement et aux zones grises.
Cahiers du Cinéma
L’opacité inhérente à l’expérience de la jeune femme se trouve réduite à une binarité insupportablement transparente.
Libération
Molly Manning Walker filme la virée d’adolescentes façon spring break glauque, et en tire un conte d’avertissement sur le consentement desservi par sa construction approximative.
Transfuge
Inutile de chercher la caméra dans ce navet de Molly Manning Walker. Elle ne filme jamais, elle enregistre un scénario avec des personnages schématisés [...].