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Un film où il fait bon rire.et pleurer. Le cinéma.français comme on l'aime .
Remarquable. A voir et à écouter aussi car" la musique est bonne "!
Remarquable. A voir et à écouter aussi car" la musique est bonne "!
J'ai eu peur que la bande annonce n'en dévoile trop, mais non. Il y a tant de sujets et de rebondissement qu'il reste beaucoup à découvrir. Deux talents identiques séparés, la désindustrialisation, la maladie. L'humour et le drame se mélangent intimement dans un film porté par deux acteurs formidables. Des applaudissements ont résonnés à la fin du film, ce n'est pas si fréquent.
Les 15 premières minutes du film - pour planter l’intrigue, ses enjeux et comprendre la personnalité de chacun - sont de la pure maîtrise ! Le film va droit au but, et j’ai aimé ça. Ça laisse plus de temps pour voir évoluer la relation Lottin/Lavernhe. Longue vie au roi Pierre Lottin au passage, quel acteur ! Une dernière scène en guise d’apothéose.
D'autres critiques sur le compte IG : lecinema.clement
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Un de mes top films de 2024. En Fanfare est l'équilibre parfait entre comédie et drame. A l'image d'une comédie anglaise à la Billy Elliot ! Le format d'1h30 est efficace et sa narration est sincère. Pas de pathos, pas d'excès de blagues lourdes. On se laisse porter avec un immense plaisir, le tout en fanfare ! A voir !
Absolument à voir. master class de réalisation et concision du scénario . Sur fond de lutte et déterminisme sociaux, , une très belle histoire d’amour fraternel . Une pépite dans un cinéma français un tantinet violent. Merci pour l’intelligence du propos.
Une Véritable Pépite. Emmanuel Courcol nous livre un Magnifique Feel Good Movie Euphorisant et Authentique dont on ressort le cœur léger.Porté par une Réalisation Fluide et Dynamique qui nous plonge dans une Ambiance Mélancolique et Chaleureuse qui est accompagné d'une Bande Originale efficace de Michel Petrossian qui est en parfaite symbiose avec l'univers musical du long métrage. Ensuite le Scénario est Audacieux et Captivant du début jusqu’à la dernière seconde tout en abordant avec Délicatesse de Thématiques très Profonds comme la Fraternité,la Solidarité,les Classes Sociaux et la Musique qui y sont magnifiquement représenter tout au long du film grâce a son Rythme rondement soutenu pendant 1h44. Ajouter a cela ,un Humour Réjouissant parsemé de Répliques Bien Senties en passant par une bonne dose de Tendresse et d’Émotion qui submerge littéralement a travers plusieurs scènes intimistes assez intense tout en n'oubliant pas d'y inclure quelques Scènes Musicales Vibrantes et Marquantes qui apportent leurs contribution au long métrage. Enfin le Casting est Fabuleux avec au sommet un Duo D'Acteurs Épatants et Sincère emmener par les remarquables Pierre Lotin et Benjamin Lavernhe qui incarnent avec justesse les rôles de Thibault et Jimmy deux frères distinguer que tout oppose tout en développant une relation fraternelle qui les changeront a tout jamais, Autour de nos Deux Frères attachants on retrouve une poignée de Seconds Rôles très Consistants composer notamment de Sarah Suco,Jacques Bonnaffé,Clémence Massart-Weit,Anne Loiret,Mathilde Courcol-Rozès,Yvon Martin,Isabelle Zanotti et Nicoals Ducron qui apportent leurs pierre a l’édifice a cette Distribution irréprochable. En Résumer, En Fanfare s'avére assurément comme l'une des Meilleures Comédies Dramatiques que l'ont ait vus depuis longtemps dans le Cinéma Français tout en confirmant au passage le talent prometteur de Emmanuel Courcol qui est a suivre de prés et dont ce dernier signe ici une Comédie Dramatique Sociale a la fois Bienveillant,Humaniste,Drôle et Émouvant dont on ressort totalement chamboulé émotionnellement et totalement enthousiasme par cette perle rare du Cinéma Français dont on redemande avec plaisir.
Un chef d'orchestre atteint d'une leucémie découvre qu'il a été adopté et qu'il a un frère. Ce dernier accepte une opération pour une greffe de moelle osseuse. En Fanfare est l'occasion de voir la rencontre entre deux acteurs talentueux: Benjamin Lavernhe et Pierre Lottin.
Vu ce film en avant première dans un cinéma associatif où les responsables ont eu la bonne idée d'inviter la fanfare locale pour un mini-concert avant le film. Quant au film, il est excellent. Un scénario avec de multiples rebondissements non convenus et une histoire touchante. Que dire du final sinon qu'il est magnifique.
Yves G.
Parce qu’il est brutalement frappé par une leucémie dont seule une greffe de moelle osseuse pourrait le sauver, un jeune et brillant chef d’orchestre (Benjamin Lavernhe) découvre qu’il a été adopté à sa naissance. Élevé dans une famille bourgeoise des Hauts-de-Seine, Thibaut apprend simultanément qu’il a un frère, Jimmy (Pierre Lottin) qui, lui, a été élevé dans les corons. Si tout en apparence sépare les deux frères biologiques, le même don pour la musique les rapproche.
Il y a deux façons de réagir aux feel good movies. La première – qui est souvent la mienne – est, comme Goebbels, de sortir mon revolver, d’en railler les facilités, de se méfier de la larme qu’ils veulent à tout prix faire couler. La seconde est de s’y laisser prendre.
Je l’avoue : je n’ai pas sorti mon revolver, j’ai versé ma larme et me suis laissé prendre à ce feel-good movie, lacrymal à souhait, débordant de bons sentiments. Il se déroule dans le bassin minier du Nord. On n’est pas à Bergues ; mais l’esprit de "Bienvenue chez les Ch’tis" n’est pas loin dans ce film qui joue sur la corde – si j’ose dire – du régionalisme.
Son scénario est particulièrement improbable. Mais le rythme enjoué avec lequel il est débité excuse ses outrances. La première moitié du film est particulièrement enthousiasmante ; la seconde l’est moins dont on a l’impression qu’Emmanuel Courcol et sa co-scénariste n’ont pas su y mettre un terme et y rajoutent une couche de pathos inutile et indigeste.
Le succès du film doit beaucoup à son interprétation. En tête, Benjamin Lavernhe, le gendre idéal du cinéma français – dont on peut espérer que l’interprétation de l’abbé Pierre ne soit pas mise à son passif depuis que les révélations s’accumulent sur le passé sulfureux du saint homme. Mais celui qui crève l’écran, c’est Pierre Lottin, dans le rôle taiseux du frère que le destin n’a pas favorisé, condamné à servir des nouilles à la cantine du collège alors que son don pour la musique le prédisposait à une carrière aussi brillante que celle de son frère. Un coup de chapeau aussi pour Sarah Suco qui, depuis bientôt quinze ans accumule les seconds rôles ("Discount", "La Belle Saison", "Orpheline", "Aurore", "Guy", "Place publique", "Les Invisibles"…) et mérite largement son nom en haut de l’affiche.
Il y a deux façons de réagir aux feel good movies. La première – qui est souvent la mienne – est, comme Goebbels, de sortir mon revolver, d’en railler les facilités, de se méfier de la larme qu’ils veulent à tout prix faire couler. La seconde est de s’y laisser prendre.
Je l’avoue : je n’ai pas sorti mon revolver, j’ai versé ma larme et me suis laissé prendre à ce feel-good movie, lacrymal à souhait, débordant de bons sentiments. Il se déroule dans le bassin minier du Nord. On n’est pas à Bergues ; mais l’esprit de "Bienvenue chez les Ch’tis" n’est pas loin dans ce film qui joue sur la corde – si j’ose dire – du régionalisme.
Son scénario est particulièrement improbable. Mais le rythme enjoué avec lequel il est débité excuse ses outrances. La première moitié du film est particulièrement enthousiasmante ; la seconde l’est moins dont on a l’impression qu’Emmanuel Courcol et sa co-scénariste n’ont pas su y mettre un terme et y rajoutent une couche de pathos inutile et indigeste.
Le succès du film doit beaucoup à son interprétation. En tête, Benjamin Lavernhe, le gendre idéal du cinéma français – dont on peut espérer que l’interprétation de l’abbé Pierre ne soit pas mise à son passif depuis que les révélations s’accumulent sur le passé sulfureux du saint homme. Mais celui qui crève l’écran, c’est Pierre Lottin, dans le rôle taiseux du frère que le destin n’a pas favorisé, condamné à servir des nouilles à la cantine du collège alors que son don pour la musique le prédisposait à une carrière aussi brillante que celle de son frère. Un coup de chapeau aussi pour Sarah Suco qui, depuis bientôt quinze ans accumule les seconds rôles ("Discount", "La Belle Saison", "Orpheline", "Aurore", "Guy", "Place publique", "Les Invisibles"…) et mérite largement son nom en haut de l’affiche.
Magnifique ce film ! Très émouvant. On ne sait plus si on rit ou si on pleure. Bravo à toute son équipe, aux duo d’acteurs époustouflant bien sûr mais aussi à Sarah Succo qui apporte toute son humanité. Et bravo au réalisateur et co-scénariste Emmanuel Courcol pour son travail d’orfèvre - et à toute l’équipe des autres co-scénaristes Irene Muscari, Marianne Tomersy, Oriane Bonduel pour avoir imagine et écrit cette belle partition. Pour petits et grands.
100 % réussi pour une très belle histoire dans le rythme vous emporte du début jusqu'à la fin avec derrière et des larmes mais surtout une façon de toucher la gentillesse de la nature humaine. Dans un monde qui nous frappe par sa brutalité, les acteurs, exceptionnels, nous rappelle que la solidarité peut être notre nature par défaut. Ça fait du bien !!
Un feel good movie intelligent,et sensible avec une touche sociale sans pathos. très réussi. Meriteriat un bouche à oreille exceptionnel pour la fin d'année.
Excellent film à voir en famille ou avec des amis.
Sous couvert d'un "feel good movie", En fanfare parle des deux France irréconciliables (vraiment ?) avec nuance et humour.
On passe deux excellentes heures à rire (beaucoup) et à pleurer (parfois).
Interprétation excellente des deux comédiens (on ne présente plus Benjamin Lavernes, mais c'est Pierre Lottin qui est incroyablement juste dans son rôle de chti bourru)
Palme (d'or ?) au scenario, beaucoup de surprises!
En synthèse: courez-y en cette fin d'année un peu grise
Sous couvert d'un "feel good movie", En fanfare parle des deux France irréconciliables (vraiment ?) avec nuance et humour.
On passe deux excellentes heures à rire (beaucoup) et à pleurer (parfois).
Interprétation excellente des deux comédiens (on ne présente plus Benjamin Lavernes, mais c'est Pierre Lottin qui est incroyablement juste dans son rôle de chti bourru)
Palme (d'or ?) au scenario, beaucoup de surprises!
En synthèse: courez-y en cette fin d'année un peu grise
Excellent film ! Ça faisait longtemps que je n'avais pas été voir un si bon film au cinéma.
spoiler:
"En fanfare" est un film touchant, inspirant et drôle, avec des acteurs brillants et une musique émouvante.
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