N’attendez pas trop de la fin du monde : Critique presse
N’attendez pas trop de la fin du monde
Note moyenne
4,1
15 titres de presse
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Culturopoing.com
L'Humanité
L'Obs
Le Monde
Libération
Première
Transfuge
Télé Loisirs
Télérama
aVoir-aLire.com
Paris Match
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Radu Jude propose un nouvel OVNI cinématographique, une charge acerbe aussi sublime sur le fond que dans ses choix de mise en scène d’une grande ingéniosité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Robin Vaz
Radu Jude nous offre l’un des grands films politiques de l’année. Rarement un film aura donné à voir tout le cynisme et l’ignominie du capitalisme néolibéral de manière si saisissante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Hervé Aubron
N’attendez pas... est plein comme un œuf, il faut avoir de l’estomac : il s’agit bien, après tout, de saisir un âge de la nausée et de la saturation. Le cinéma n’échappe pas, chez Jude, à la pollution générale, à cette impureté massive, qui n’est plus seulement une option théorique, est devenue une expérience quotidienne, biologique et mentale.
Critikat.com
par Josué Morel
L’esthétique de Radu Jude télescope des influences diverses pour inventer une forme qui pourtant ne ressemble déjà à aucune autre, à la fois gloutonne, acerbe et bizarrement racée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Thibault Vicq
Radu Jude conçoit un petit précis de film subversif, portrait au vitriol de notre époque, elle-même infiltrée d’une dissidence qui la rend porteuse d’espoir.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Samuel Gleyze-Esteban
Avec N’attendez pas trop de la fin du monde, Radu Jude ménage l’ordure et la poésie et dans une odyssée urbaine qui mêle joyeusement les formats et les langages filmiques.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Cette version amphétaminée d’« Alice au pays des merveilles » est simplement jouissive.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Ma. Mt.
Jouant l’examen par le montage, misant sur le choc comparatif des images, Radu Jude s’affirme ainsi comme l’un des rares disciples crédibles d’un Jean-Luc Godard.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Luc Chessel
"N’attendez pas trop de la fin du monde" [...] sait et dit, à la façon des vrais films, que le cinéma reste à inventer, qu’il n’existera toujours pas tant qu’il n’aura pas à nouveau trouvé mille ruses tactiques pour se vautrer à la hauteur, se hisser à la bassesse de son temps et ses formes monstres, chaque fois à rejoindre et refaire, grotesque, subtil, épique, stupide : perversement documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Lucie Chiquer
Magistral. Politisée en son cœur, cette comédie grinçante a l’élégance de rester à distance, comme pour mieux permettre l’introspection. Radu Jude n’a peur de rien, et surtout pas de laisser son film parler de lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Séverine Danflous
Avec malice, le cinéaste roumain rend hommage à l'art du collage dans la veine d'un Isidore Isou, d'un Godard ou d'un Debord, pour forcer les images à réintégrer leur pouvoir contestataire. Il nous rappelle leur puissance politique, dénonçant l'ubérisation d'une société privée des droits élémentaires du travail.
Télé Loisirs
par Camille Brun
Mêlant les formats d'images, le noir et blanc et la couleur, cette tornade cinématographique s'avère aussi inattendue que fascinante.
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Cette critique de nos sociétés phagocytées par les réseaux sociaux et les écrans, signée Radu Jude, impressionne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Facétieux, cynique et franchement original, N’attendez pas trop de la fin du monde témoigne une nouvelle fois du talent incroyable de Radu Jude. Une pépite du cinéma roumain.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Paris Match
par Yannick Vely
Une réflexion drolatique sur le pouvoir de l'image ou comment le capitalisme impose sa vérité comme un nouveau totalitarisme.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Les Fiches du Cinéma
Radu Jude propose un nouvel OVNI cinématographique, une charge acerbe aussi sublime sur le fond que dans ses choix de mise en scène d’une grande ingéniosité.
Les Inrockuptibles
Radu Jude nous offre l’un des grands films politiques de l’année. Rarement un film aura donné à voir tout le cynisme et l’ignominie du capitalisme néolibéral de manière si saisissante.
Cahiers du Cinéma
N’attendez pas... est plein comme un œuf, il faut avoir de l’estomac : il s’agit bien, après tout, de saisir un âge de la nausée et de la saturation. Le cinéma n’échappe pas, chez Jude, à la pollution générale, à cette impureté massive, qui n’est plus seulement une option théorique, est devenue une expérience quotidienne, biologique et mentale.
Critikat.com
L’esthétique de Radu Jude télescope des influences diverses pour inventer une forme qui pourtant ne ressemble déjà à aucune autre, à la fois gloutonne, acerbe et bizarrement racée.
Culturopoing.com
Radu Jude conçoit un petit précis de film subversif, portrait au vitriol de notre époque, elle-même infiltrée d’une dissidence qui la rend porteuse d’espoir.
L'Humanité
Avec N’attendez pas trop de la fin du monde, Radu Jude ménage l’ordure et la poésie et dans une odyssée urbaine qui mêle joyeusement les formats et les langages filmiques.
L'Obs
Cette version amphétaminée d’« Alice au pays des merveilles » est simplement jouissive.
Le Monde
Jouant l’examen par le montage, misant sur le choc comparatif des images, Radu Jude s’affirme ainsi comme l’un des rares disciples crédibles d’un Jean-Luc Godard.
Libération
"N’attendez pas trop de la fin du monde" [...] sait et dit, à la façon des vrais films, que le cinéma reste à inventer, qu’il n’existera toujours pas tant qu’il n’aura pas à nouveau trouvé mille ruses tactiques pour se vautrer à la hauteur, se hisser à la bassesse de son temps et ses formes monstres, chaque fois à rejoindre et refaire, grotesque, subtil, épique, stupide : perversement documentaire.
Première
Magistral. Politisée en son cœur, cette comédie grinçante a l’élégance de rester à distance, comme pour mieux permettre l’introspection. Radu Jude n’a peur de rien, et surtout pas de laisser son film parler de lui-même.
Transfuge
Avec malice, le cinéaste roumain rend hommage à l'art du collage dans la veine d'un Isidore Isou, d'un Godard ou d'un Debord, pour forcer les images à réintégrer leur pouvoir contestataire. Il nous rappelle leur puissance politique, dénonçant l'ubérisation d'une société privée des droits élémentaires du travail.
Télé Loisirs
Mêlant les formats d'images, le noir et blanc et la couleur, cette tornade cinématographique s'avère aussi inattendue que fascinante.
Télérama
Cette critique de nos sociétés phagocytées par les réseaux sociaux et les écrans, signée Radu Jude, impressionne.
aVoir-aLire.com
Facétieux, cynique et franchement original, N’attendez pas trop de la fin du monde témoigne une nouvelle fois du talent incroyable de Radu Jude. Une pépite du cinéma roumain.
Paris Match
Une réflexion drolatique sur le pouvoir de l'image ou comment le capitalisme impose sa vérité comme un nouveau totalitarisme.