Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Dans un film à sketches intimiste où, sous prétexte de réalisme et de références au covid, le cinéaste roumain Cristi Puiu brouille les pistes, les liens et les repères, traduisant la confusion et le désarroi de l’année 2020.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par X. L.
Un film réalisé en majeure partie en plans-séquences, subtilement dialogué et magistralement interprété.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Fabien Baumann
En 2020 ou MMXX, comme vous voudrez, c’est pire. Le quatrième volet, coup de force du film qui justifie et sa durée et l’agacement qu’il provoque, met la modernité bucarestoise mondialisée face à ses aveuglements.
aVoir-aLire.com
par Anaëlle Paccard
Quatre instants de vie suspendus, comme extraits d’un arrière-plan de crise sanitaire. Cristi Puiu parvient une fois de plus à nous embarquer dans le quotidien réaliste de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Cl. F.
Ajoutez d’autres histoires bien perchées et vous obtiendrez un tableau bizarre et sombre, qui peine parfois à dépasser le stade de la sidération.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
MMXX, dont le titre latin semble renvoyer le COVID-19 à une plaie figée sur la frise, dépeint, en quatre saynètes virtuoses, la déliquescence de notre monde. Mais, parti sur les chapeaux de roue, il troque sa mission prophylactique pour une misanthropie facile.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Jacques Morice
À l’hôpital, dans une cuisine, dans le cabinet d’une psychanalyste… Quatre confessions déconcertantes, quatre histoires absurdes, à l’humour corrosif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Hervé Aubron
L’arbitraire de la composition est d’autant moins négociable que que les transitions entre séquences sont décoratives [...] c’est fort dommage, car s’entrevoit tout de même ce que Puiu avait en tête : un film sur l’excès de paroles qui ne serait pas du tout choral, buissonnant, mais asséché, cloisonné, compartimenté [...]. »
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Hormis une première partie particulièrement mordante et jubilatoire, on peine à se passionner pour ces vignettes covidées, assez inégales, étrangement académiques et qui manquent d’un angle véritablement saillant pour les conduire au-delà de la simple documentation d’une époque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Reste une fable à fragmentation, à la fois conceptuelle et hyperréaliste (c’est-à-dire misanthrope), qui n’aidera pas plus qu’autre chose à conjurer ni apaiser l’état post-traumatique persistant et enfoui laissé sur toutes choses ici-bas par l’année de son titre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thomas Baurez
A chaque fois, la mise en scène, à la précision démoniaque, rend compte d’une inquiétude. Autant de palabres ne font pas pour autant une épopée, fût-elle immobile. Cristi Puiu cinéaste philosophe, prend une nouvelle fois les habits de l’entomologiste d’une espèce humaine menacée et pas franchement glorieuse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ouest France
par La Rédaction
Cristi Puiu se prend les pieds dans le tapis (...) trop cérébral pour ne pas susciter l'ennui.
L'Humanité
Dans un film à sketches intimiste où, sous prétexte de réalisme et de références au covid, le cinéaste roumain Cristi Puiu brouille les pistes, les liens et les repères, traduisant la confusion et le désarroi de l’année 2020.
L'Obs
Un film réalisé en majeure partie en plans-séquences, subtilement dialogué et magistralement interprété.
Positif
En 2020 ou MMXX, comme vous voudrez, c’est pire. Le quatrième volet, coup de force du film qui justifie et sa durée et l’agacement qu’il provoque, met la modernité bucarestoise mondialisée face à ses aveuglements.
aVoir-aLire.com
Quatre instants de vie suspendus, comme extraits d’un arrière-plan de crise sanitaire. Cristi Puiu parvient une fois de plus à nous embarquer dans le quotidien réaliste de ses personnages.
Le Monde
Ajoutez d’autres histoires bien perchées et vous obtiendrez un tableau bizarre et sombre, qui peine parfois à dépasser le stade de la sidération.
Les Fiches du Cinéma
MMXX, dont le titre latin semble renvoyer le COVID-19 à une plaie figée sur la frise, dépeint, en quatre saynètes virtuoses, la déliquescence de notre monde. Mais, parti sur les chapeaux de roue, il troque sa mission prophylactique pour une misanthropie facile.
Télérama
À l’hôpital, dans une cuisine, dans le cabinet d’une psychanalyste… Quatre confessions déconcertantes, quatre histoires absurdes, à l’humour corrosif.
Cahiers du Cinéma
L’arbitraire de la composition est d’autant moins négociable que que les transitions entre séquences sont décoratives [...] c’est fort dommage, car s’entrevoit tout de même ce que Puiu avait en tête : un film sur l’excès de paroles qui ne serait pas du tout choral, buissonnant, mais asséché, cloisonné, compartimenté [...]. »
Les Inrockuptibles
Hormis une première partie particulièrement mordante et jubilatoire, on peine à se passionner pour ces vignettes covidées, assez inégales, étrangement académiques et qui manquent d’un angle véritablement saillant pour les conduire au-delà de la simple documentation d’une époque.
Libération
Reste une fable à fragmentation, à la fois conceptuelle et hyperréaliste (c’est-à-dire misanthrope), qui n’aidera pas plus qu’autre chose à conjurer ni apaiser l’état post-traumatique persistant et enfoui laissé sur toutes choses ici-bas par l’année de son titre.
Première
A chaque fois, la mise en scène, à la précision démoniaque, rend compte d’une inquiétude. Autant de palabres ne font pas pour autant une épopée, fût-elle immobile. Cristi Puiu cinéaste philosophe, prend une nouvelle fois les habits de l’entomologiste d’une espèce humaine menacée et pas franchement glorieuse.
Ouest France
Cristi Puiu se prend les pieds dans le tapis (...) trop cérébral pour ne pas susciter l'ennui.