Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
[L'] alchimie [entre Laure Calamy et Charles Peccia-Galletto] constitue un atout majeur de cette petite bulle de délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Laure Calamy excelle une nouvelle fois dans ce rôle hautement explosif, coincé entre une mère en maison de repos, un mari qui a refait sa vie, et un fils avec lequel le conflit couve, nous offrant trois scènes mémorables, particulièrement fortes en émotion.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le scénario est beau, le film poignant, qui sans cesse attrape le bras ou le cœur, débordant d’un sentiment d’empathie à son endroit.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Femme Actuelle
par La rédaction
Une belle chronique familiale.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Bien écrit, ce premier film aborde la question du handicap sans en faire ni un spectacle ni un sujet, mais plutôt, et c'est heureux, mais comme faisant tout simplement partie de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un film empreint d’une profonde humanité, où chaque souffle semble murmurer : « changeons, aimons, vivons. »
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un portrait subtil et émouvant qui séduit autant par son regard que par la justesse de son écriture.
Le Parisien
par Catherine Balle
Le film brosse le portrait très sensible et touchant de cette héroïne du quotidien qui n’est pas seulement une « mère courage », mais a ses moments d’égarement et ses pétages de plombs.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Avec un sens aigu de la psychologie, "Mon inséparable" a cette vertu d’aller chercher loin dans la palette des sentiments pour observer leurs infimes nuances et regarder, comme rarement, la honte et la culpabilité comme composantes partielles d’un amour filial.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Pascale Vergereau
Ce premier film d'Anne-Sophie Bailly traite délicatement du syndrome du nid vide.
Première
par Thierry Chèze
Un grand premier film où Laure Calamy impressionne une fois encore face au non moins épatant Charles Peccia-Galletto, prénommé au César de la révélation.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Un récit délicat, émouvant, formidablement incarné par Laure Calamy, Charles Peccia-Galletto et Julie Froger.
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Plus subtil que la tendance psychologisante du récit et des dialogues, le travail du cadre restitue avec justesse le trop loin/trop proche de tout lien à un enfant devenu adulte – dont la spécificité du handicap ne serait que l’hyperbole.
La Croix
par Céline Rouden
Dans ce très joli premier film, Anne-Sophie Bailly aborde avec sensibilité un sujet encore tabou, celui de la sexualité des personnes handicapées.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
La tonalité dramatique se révèle parfois pesante, mais la force du propos et de l’interprétation emporte notre adhésion.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Echos
par Olivier De Bruyn
A la limite de la performance, l'actrice impressionne, certes, mais sa prestation est si ostentatoire qu'elle ne sert pas toujours les intérêts de ce film émouvant, mais bancal.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Anne-Sophie Bailly signe un premier long métrage prometteur, bien que trop balisé, sur le handicap et l’amour filial.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
La comédienne de "À plein temps" et "Annie colère" nous en « met plein la vue » sous les traits de Mona, mais sa performance est si ostentatoire qu’elle finit par nuire au film.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télé Loisirs
par Camille Brun
[...] un naturalisme presque cliché dans un certain cinéma d'auteur contemporain. Heureusement, les comédiens sont formidables [...].
Télérama
par Jérémie Couston
Miraculeusement, le mélodrame strictement compassionnel annoncé est évité. Le tact d’Anne-Sophie Bailly y est pour beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Le portrait sensible d’une femme tiraillée entre cet instinct qui la pousse depuis toujours à protéger ce fils jugé différent et son désir de lui accorder son autonomie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Si louable soit-il, avec "Mon inséparable" le spectateur reste bien trop souvent au fond de la piscine.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le sentiment qu'on en retire est un peu celui d'une succession de scènes à faire dont les divers protagonistes [...] ont pour principale fonction de servir sur un plateau d'argent le portrait en souffrance et en gloire de cette femme et de cette mère-courage.
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Pour ses débuts, la cinéaste ne prend guère de risque et propose une mise en scène proprette qui se concentre essentiellement sur les acteurs. De la même manière, son script est beaucoup trop balisé pour convaincre.
Version Femina
par Hadrien Machart
Sur une question délicate et essentielle, Anne-Sophie Bailly a construit un drame qui aurait mérité un scénario un peu plus musclé. On reste néanmoins porté par l'énergie de Laure Calamy et la force de jeu de Charles Peccia Galletto.
La critique complète est disponible sur le site Version Femina
20 Minutes
[L'] alchimie [entre Laure Calamy et Charles Peccia-Galletto] constitue un atout majeur de cette petite bulle de délicatesse.
Abus de Ciné
Laure Calamy excelle une nouvelle fois dans ce rôle hautement explosif, coincé entre une mère en maison de repos, un mari qui a refait sa vie, et un fils avec lequel le conflit couve, nous offrant trois scènes mémorables, particulièrement fortes en émotion.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le scénario est beau, le film poignant, qui sans cesse attrape le bras ou le cœur, débordant d’un sentiment d’empathie à son endroit.
Femme Actuelle
Une belle chronique familiale.
Franceinfo Culture
Bien écrit, ce premier film aborde la question du handicap sans en faire ni un spectacle ni un sujet, mais plutôt, et c'est heureux, mais comme faisant tout simplement partie de la vie.
Le Dauphiné Libéré
Un film empreint d’une profonde humanité, où chaque souffle semble murmurer : « changeons, aimons, vivons. »
Le Journal du Dimanche
Un portrait subtil et émouvant qui séduit autant par son regard que par la justesse de son écriture.
Le Parisien
Le film brosse le portrait très sensible et touchant de cette héroïne du quotidien qui n’est pas seulement une « mère courage », mais a ses moments d’égarement et ses pétages de plombs.
Les Inrockuptibles
Avec un sens aigu de la psychologie, "Mon inséparable" a cette vertu d’aller chercher loin dans la palette des sentiments pour observer leurs infimes nuances et regarder, comme rarement, la honte et la culpabilité comme composantes partielles d’un amour filial.
Ouest France
Ce premier film d'Anne-Sophie Bailly traite délicatement du syndrome du nid vide.
Première
Un grand premier film où Laure Calamy impressionne une fois encore face au non moins épatant Charles Peccia-Galletto, prénommé au César de la révélation.
Sud Ouest
Un récit délicat, émouvant, formidablement incarné par Laure Calamy, Charles Peccia-Galletto et Julie Froger.
Cahiers du Cinéma
Plus subtil que la tendance psychologisante du récit et des dialogues, le travail du cadre restitue avec justesse le trop loin/trop proche de tout lien à un enfant devenu adulte – dont la spécificité du handicap ne serait que l’hyperbole.
La Croix
Dans ce très joli premier film, Anne-Sophie Bailly aborde avec sensibilité un sujet encore tabou, celui de la sexualité des personnes handicapées.
La Voix du Nord
La tonalité dramatique se révèle parfois pesante, mais la force du propos et de l’interprétation emporte notre adhésion.
Les Echos
A la limite de la performance, l'actrice impressionne, certes, mais sa prestation est si ostentatoire qu'elle ne sert pas toujours les intérêts de ce film émouvant, mais bancal.
Les Fiches du Cinéma
Anne-Sophie Bailly signe un premier long métrage prometteur, bien que trop balisé, sur le handicap et l’amour filial.
Marianne
La comédienne de "À plein temps" et "Annie colère" nous en « met plein la vue » sous les traits de Mona, mais sa performance est si ostentatoire qu’elle finit par nuire au film.
Télé Loisirs
[...] un naturalisme presque cliché dans un certain cinéma d'auteur contemporain. Heureusement, les comédiens sont formidables [...].
Télérama
Miraculeusement, le mélodrame strictement compassionnel annoncé est évité. Le tact d’Anne-Sophie Bailly y est pour beaucoup.
aVoir-aLire.com
Le portrait sensible d’une femme tiraillée entre cet instinct qui la pousse depuis toujours à protéger ce fils jugé différent et son désir de lui accorder son autonomie.
Le Figaro
Si louable soit-il, avec "Mon inséparable" le spectateur reste bien trop souvent au fond de la piscine.
Le Monde
Le sentiment qu'on en retire est un peu celui d'une succession de scènes à faire dont les divers protagonistes [...] ont pour principale fonction de servir sur un plateau d'argent le portrait en souffrance et en gloire de cette femme et de cette mère-courage.
Nice-Matin
Pour ses débuts, la cinéaste ne prend guère de risque et propose une mise en scène proprette qui se concentre essentiellement sur les acteurs. De la même manière, son script est beaucoup trop balisé pour convaincre.
Version Femina
Sur une question délicate et essentielle, Anne-Sophie Bailly a construit un drame qui aurait mérité un scénario un peu plus musclé. On reste néanmoins porté par l'énergie de Laure Calamy et la force de jeu de Charles Peccia Galletto.