Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le choc des cultures est l’un des thèmes principaux de ce beau film.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Romain Duris retrouve enfin un rôle à la hauteur du grand acteur qu’il a toujours été. Avec une immense sensibilité, le scénario de Guillaume Senez ("Nos batailles"), cosigné avec Jean Denizot, nous entraîne avec son personnage sur le chemin d’une certaine forme de réconciliation.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Derrière la caméra, Guillaume Senez et sa cheffe-opératrice Elin Kirschfink scrutent les regards intenses, constamment aux aguets, de Romain Duris dans son rétroviseur, dosent l’ombre et la lumière, l’immobilité et le mouvement – donc l’espoir en marche – qu’induisent les séquences en voiture, et se font ainsi les explorateurs de nos vies chahutées par tant de paradoxes.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Une part manquante transcende ses handicaps de « film-sujet » grâce à la mise en scène très élégante de Guillaume Senez – les courses en taxi lui permettant de filmer extensivement la ville – mais aussi à la performance sensible et habitée de Romain Duris, troublant de naturel lorsqu’il parle japonais.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans un Japon conservateur, Guillaume Senez met à l’épreuve un père étranger en quête de sa fille enlevée par sa mère, qui a tous les droits. Romain Duris, chauffeur de taxi à Tokyo, sobre et d’une tendresse déchirante.
Elle
par Françoise Delbecq
Un très beau film sur l'errance urbaine et la détermination, porté par Romain Duris, bouleversant dans ce rôle de père courage.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Une émouvante balade dans Tokyo.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Avec "Une part manquante", Guillaume Senez nourrit une œuvre très personnelle, centrée sur des histoires intimes autour de la question de la famille, inscrites dans une peinture plus large de la société et du monde.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Romain Duris est sobre et d’une tendresse déchirante.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Une histoire de paternité traitée sans mélodrame.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film magnifique, déchirant, ponctué de notes de légèreté.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Un beau mélo sous les néons de Tokyo, porté par Romain Duris en VO japonaise.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Mis en scène avec sobriété et incarné par un Romain Duris funambule qui évolue sur le fil entre fragilité à fleur de peau et volonté obsessionnelle, le film confirme que les histoires de familles fracturées inspirent Guillaume Senez et son acteur préféré.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Dominique Martinez
Inspiré de faits réels, "Une part manquante" aurait pu prendre la forme d'un documentaire ou d'un film-dossier. Guillaume Senez fait le contraire. Dans ce sujet saturé d'affect, il trouve une nouvelle fois l'occasion d'une plongée sensible dans la paternité contemporaine.
Sud Ouest
par Stéphane C. Jonathan
Une œuvre poignante et délicate, qui expose une loi japonaise ici méconnue.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
L'Obs
par Guillaume Loison
Ce côté « Dossier de l’écran » donne à l’entreprise les atours d’un tendre remake de « Midnight Express » réajusté aux particularités de l’empire du Soleil-Levant : mêmes personnages édifiants, même dénonciation du pire en territoire exotique. Oui mais voilà, Romain Duris, formidable en père courage, transcende sa partition – et parfois le film – avec une grâce souveraine.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le réalisateur Guillaume Senez interroge une fois encore la parentalité, retrouve Romain Duris, son acteur de Nos batailles, et, derrière le classicisme pudique de la mise en scène, lui permet de tutoyer des sommets. Poignant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par J. Ma.
On appréciera ici la finesse de la narration, qui, délivrée du pathos et de l’enchaînement causal, nous fait comprendre à retardement que ce type était un mort-vivant, coulé dans la gangue des us et coutumes nippones pour y supporter le deuil de sa fille disparue et l’emmurement de son amour orphelin.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Guillaume Senez retrouve, après "Nos batailles", Romain Duris pour un joli film sur la parentalité et un fossé culturel déchirant les familles au-delà du genre et des frontières.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Guillaume Senez s'empare de son sujet avec délicatesse et retrouve, six ans après « Nos batailles », Romain Duris. Extrêmement touchant dans la peau d’un gaijin qui va soudainement retrouver l’espoir.
La critique complète est disponible sur le site Nice-Matin
Télé Loisirs
par M.L.
Après un début laborieusement explicatif, l'émotion l'emporte.
Télérama
par Cécile Mury
Une déambulation sensible doublée d’une réflexion sur la paternité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Version Femina
par Hadrien Machart
Dans le décor cinégénique de la capitale nippone, le réalisateur fait de l’énergie virevoltante de son acteur le métronome d’une histoire tragique, où Judith Chemla et la petite Mei Cirne-Masuki viennent apporter leur lumière au film, le rendant malgré tout solaire.
La critique complète est disponible sur le site Version Femina
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un drame évanescent où l’émotion tarde à jaillir mais qui vaut pour l’impeccable duo Romain Duris/Mei Cirne-Masuki.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Mathilde Grasset
La mise en scène, vissée sur les visages, guettant le moment où ils craqueront, donne l’impression d’avoir fait du surgissement de l’émotion tout son programme, et d’avoir trouvé pour l’accomplir l’acteur idoine (…).
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Avec “Une part manquante”, Guillaume Senez donne une suite charmante à “Nos batailles”, mais peine à convaincre totalement. Un mélo où la charge émotionnelle peine à exister.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
L’aspect le plus intéressant de cette histoire, à savoir comment la relation va se nouer entre cet homme et cette jeune fille qui ne se connaissent plus, est réduit à quelques scènes tire-larmes d’un bout à l’autre de l’habitacle [...], au point que l’on a du mal à saisir autour de quoi a gravité l’envie de faire ce film (plutôt qu’un podcast sur le sujet).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pascale Vergereau
Une plongée intéressante dans la société japonaise qui n'évite pas l'écueil du mélo.
Première
par Nicolas Moreno
Il y a dans le geste de Senez un mélange de rugosité et de délicatesse qui tue dans l’oeuf toute facilité larmoyante, avant que tout se délite dans une dernière ligne droite maladroite en totale contradiction avec ce qui précède.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Le choc des cultures est l’un des thèmes principaux de ce beau film.
Abus de Ciné
Romain Duris retrouve enfin un rôle à la hauteur du grand acteur qu’il a toujours été. Avec une immense sensibilité, le scénario de Guillaume Senez ("Nos batailles"), cosigné avec Jean Denizot, nous entraîne avec son personnage sur le chemin d’une certaine forme de réconciliation.
Bande à part
Derrière la caméra, Guillaume Senez et sa cheffe-opératrice Elin Kirschfink scrutent les regards intenses, constamment aux aguets, de Romain Duris dans son rétroviseur, dosent l’ombre et la lumière, l’immobilité et le mouvement – donc l’espoir en marche – qu’induisent les séquences en voiture, et se font ainsi les explorateurs de nos vies chahutées par tant de paradoxes.
CinemaTeaser
Une part manquante transcende ses handicaps de « film-sujet » grâce à la mise en scène très élégante de Guillaume Senez – les courses en taxi lui permettant de filmer extensivement la ville – mais aussi à la performance sensible et habitée de Romain Duris, troublant de naturel lorsqu’il parle japonais.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans un Japon conservateur, Guillaume Senez met à l’épreuve un père étranger en quête de sa fille enlevée par sa mère, qui a tous les droits. Romain Duris, chauffeur de taxi à Tokyo, sobre et d’une tendresse déchirante.
Elle
Un très beau film sur l'errance urbaine et la détermination, porté par Romain Duris, bouleversant dans ce rôle de père courage.
Femme Actuelle
Une émouvante balade dans Tokyo.
Franceinfo Culture
Avec "Une part manquante", Guillaume Senez nourrit une œuvre très personnelle, centrée sur des histoires intimes autour de la question de la famille, inscrites dans une peinture plus large de la société et du monde.
Le Dauphiné Libéré
Romain Duris est sobre et d’une tendresse déchirante.
Le Figaro
Une histoire de paternité traitée sans mélodrame.
Le Parisien
Un film magnifique, déchirant, ponctué de notes de légèreté.
Les Echos
Un beau mélo sous les néons de Tokyo, porté par Romain Duris en VO japonaise.
Marianne
Mis en scène avec sobriété et incarné par un Romain Duris funambule qui évolue sur le fil entre fragilité à fleur de peau et volonté obsessionnelle, le film confirme que les histoires de familles fracturées inspirent Guillaume Senez et son acteur préféré.
Positif
Inspiré de faits réels, "Une part manquante" aurait pu prendre la forme d'un documentaire ou d'un film-dossier. Guillaume Senez fait le contraire. Dans ce sujet saturé d'affect, il trouve une nouvelle fois l'occasion d'une plongée sensible dans la paternité contemporaine.
Sud Ouest
Une œuvre poignante et délicate, qui expose une loi japonaise ici méconnue.
L'Obs
Ce côté « Dossier de l’écran » donne à l’entreprise les atours d’un tendre remake de « Midnight Express » réajusté aux particularités de l’empire du Soleil-Levant : mêmes personnages édifiants, même dénonciation du pire en territoire exotique. Oui mais voilà, Romain Duris, formidable en père courage, transcende sa partition – et parfois le film – avec une grâce souveraine.
La Voix du Nord
Le réalisateur Guillaume Senez interroge une fois encore la parentalité, retrouve Romain Duris, son acteur de Nos batailles, et, derrière le classicisme pudique de la mise en scène, lui permet de tutoyer des sommets. Poignant.
Le Monde
On appréciera ici la finesse de la narration, qui, délivrée du pathos et de l’enchaînement causal, nous fait comprendre à retardement que ce type était un mort-vivant, coulé dans la gangue des us et coutumes nippones pour y supporter le deuil de sa fille disparue et l’emmurement de son amour orphelin.
Les Fiches du Cinéma
Guillaume Senez retrouve, après "Nos batailles", Romain Duris pour un joli film sur la parentalité et un fossé culturel déchirant les familles au-delà du genre et des frontières.
Nice-Matin
Guillaume Senez s'empare de son sujet avec délicatesse et retrouve, six ans après « Nos batailles », Romain Duris. Extrêmement touchant dans la peau d’un gaijin qui va soudainement retrouver l’espoir.
Télé Loisirs
Après un début laborieusement explicatif, l'émotion l'emporte.
Télérama
Une déambulation sensible doublée d’une réflexion sur la paternité.
Version Femina
Dans le décor cinégénique de la capitale nippone, le réalisateur fait de l’énergie virevoltante de son acteur le métronome d’une histoire tragique, où Judith Chemla et la petite Mei Cirne-Masuki viennent apporter leur lumière au film, le rendant malgré tout solaire.
aVoir-aLire.com
Un drame évanescent où l’émotion tarde à jaillir mais qui vaut pour l’impeccable duo Romain Duris/Mei Cirne-Masuki.
Cahiers du Cinéma
La mise en scène, vissée sur les visages, guettant le moment où ils craqueront, donne l’impression d’avoir fait du surgissement de l’émotion tout son programme, et d’avoir trouvé pour l’accomplir l’acteur idoine (…).
Les Inrockuptibles
Avec “Une part manquante”, Guillaume Senez donne une suite charmante à “Nos batailles”, mais peine à convaincre totalement. Un mélo où la charge émotionnelle peine à exister.
Libération
L’aspect le plus intéressant de cette histoire, à savoir comment la relation va se nouer entre cet homme et cette jeune fille qui ne se connaissent plus, est réduit à quelques scènes tire-larmes d’un bout à l’autre de l’habitacle [...], au point que l’on a du mal à saisir autour de quoi a gravité l’envie de faire ce film (plutôt qu’un podcast sur le sujet).
Ouest France
Une plongée intéressante dans la société japonaise qui n'évite pas l'écueil du mélo.
Première
Il y a dans le geste de Senez un mélange de rugosité et de délicatesse qui tue dans l’oeuf toute facilité larmoyante, avant que tout se délite dans une dernière ligne droite maladroite en totale contradiction avec ce qui précède.