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    Le Roman de Jim
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    249 critiques spectateurs

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    Simoun
    Simoun

    5 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 août 2024
    Le rythme était un peu bizarre au début, mais malgré ça, on arrive à s'attacher rapidement aux personnages et à les suivre avec émotion. Les acteurs sont géniaux !
    marie
    marie

    2 abonnés 81 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 août 2024
    Bouleversant

    Ce film m’a mis les larmes aux yeux. il est d’une intense sincérité et l’histoire entre ce fils et son (ses) pères est tellement émouvante. Bravo à tous les acteurs et au réalisateur. Également, il y a une très très belle bande-son.
    JM38
    JM38

    10 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 août 2024
    Durant tout le film j’ai eu l’impression d’être face à un mélange d’improvisations à la fois dans le texte et aussi le jeu d’acteur, et de scènes écrites au ciselé. Ceci aboutit à des ruptures de rythme accentuées par le morcellement de la vie d’Aymeric sur plus d’une vingtaine d’années. La dernière partie est la plus réussie, ceci notamment du fait d’un jeu d’acteurs et d’un rythme plus linéaires, où les émotions des personnages transparaissent et touchent le spectateur. L’apparition de Sara Giraudeau dans cette dernière partie n’est pas anodine dans sa réussite. Son interprétation d’Olivia mêlant légèreté et énergie tout en retenue transcendent chacune de ses scènes. Karim Leklou qui joue Aymeric livre une répartition dense, devant sans arrêt jongler entre l’impression de ne pas être à sa place dans cette famille recomposée et le désir profond d’être un père pour Jim.
    Fenêtre sur salle
    Fenêtre sur salle

    44 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 août 2024
    Enfin un film qui m'a donné l'envie de retourner au cinéma cet été ! Et je n'ai pas regretté d'être allé voir cette belle adaption du roman de Pierric Bailly par les frères Larrieu, qui nous proposent un mélo sans artifices, sur la paternité.

    Si l'on peut effectivement être agacé par l'extrême passivité du personnage d'Aymeric, d'une résilience qui, certes, force l'admiration ; mais un peu trop bonne pâte et que l'on aimerait voir davantage se révolter face aux épreuves qu'il doit traverser et aux coups qui lui sont portés, force est de reconnaître que Karim Leklou trouve là un de ses plus beaux rôles, qui devrait, sans nul doute, lui offrir une nomination dans la catégorie Meilleur Acteur à la prochaine cérémonie des César.

    Et même si dans quelques scènes, les dialogues sonnent un peu faux ou tombent à plat, l'on finit par se laisser totalement submerger par l'émotion qui se dégage de cette histoire qui se déroule sur plus de 25 ans. Un récit plein de mélancolie, sentiment renforcé par les paysages du Haut-Jura et la ville de Saint-Claude dont la situation encaissée accentue encore l'impression d'étouffement et l'absences de perspectives joyeuses.

    La mise en scène est très élégante et surprenamment sobre pour les frères Larrieu, que l'on a rarement vus aussi sentimentaux. Leur caméra, toujours placée à bonne distance, parvient à saisir avec beaucoup de pudeur tout ce qui se joue autour cette question de la parentalité, lorsque le modèle familial sort des sentiers battus.

    Sara Giraudeau illumine le film. Laetitia Dosch et Bertand Belin, qui incarnent des personnages dont les réactions peuvent déconcerter ou agacer, sont incroyables de naturel. Le talent de ces trois acteurs se conjuguent à la très belle performance de Karim Leklou pour produire ce beau mélo, sans pathos, qui pourra autant laisser certains spectateurs sur le bord de la route que totalement embarquer les autres.

    Ma page ciné instagram : fenetre_sur_salle
    marine C.
    marine C.

    2 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 août 2024
    Une splendeur d’humanité.
    Karim Leklou est définitivement un immense acteur et Laëtitia Dosch généreuse et subtile confirme, qu’elle aussi, atteint les sommets de son art. Elle fait partie du cercle si restreint des grandes actrices de ce siècle . (On attend avec impatience la sortie de son film Le procès du chien, pour découvrir qu’elle est aussi une cinéaste d’immense talent).
    Chef d’œuvre assuré , Le Roman de Jim est sans doute le plus grand film des frères Larrieu.
    Schub
    Schub

    3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 août 2024
    Ce film est bouleversant de tendresse, Karim Leklou excellent ! Un film d’une grande pureté.
    Je recommande
    Laure Lnrts
    Laure Lnrts

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 août 2024
    La vie, simple et compliquée, douce et violente. Prendre le risque d’aimer, de donner très belle histoire!
    KATTY 44
    KATTY 44

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 août 2024
    un film magnifique ,,les acteurs jouent juste ,, on en sort un peu meurtri ,,ne laisse pas indifférent ,,une histoire sur la paternité
    Nathalie N
    Nathalie N

    4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 août 2024
    Tres beau film et bon jeu d’acteurs. Il devrait s’appeler plutôt le Roman d’Aymeric car c’est d’abord son histoire, ou il pourrait s’appeler tout simplement La gentillesse, car c’est son histoire aussi.
    Santor
    Santor

    3 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 août 2024
    Avec « Le roman de Jim », les frères Larrieu signent leur plus beau film, un mélo à vous faire pleurer tellement le rôle d’Aymeric joué par Karim Leklou est d’une bonté et d’une gentillesse inouïe.
    C’est un film sur la paternité ou plutôt la beau paternité et l’éternelle question : qui est le vrai père entre celui qui a conçu et celui qui a élevé et aimé.
    Le film s’étale sur presque 30 ans, dans le Haut Jura avec des magnifiques vues de Saint Claude et de la montagne tout au long des saisons,
    On y voit l’enfance de Jim et sa tendre relation avec Aymeric, une vraie paternité.
    Puis aux 7 ans de Jim, Christophe son géniteur revient et s’en suit jusqu’aux 10 ans de Jim une étrange relation entre la mère et les 2 pères, relation plus ou moins acceptée par Jim, trop bon quand d’autres diraient trop con.
    S’en suit alors la partie la plus mélo du film qui s’étale sur 12 ans et une fin déchirante.
    Un très beau film porté par Karim Leklou et dans sa 2ème partie par Sara Giraudeau et mention au petit Eol Personne qui joue le rôle de Jim entre 7 et 10 ans.
    Jipéhel
    Jipéhel

    52 abonnés 242 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 août 2024
    Portrait d’un « gentil ».

    Je suis les frères Arnaud et Jean-Marie Larrieu depuis 2008 et Le voyage aux Pyrénées. Depuis, ils m’ont toujours enchanté avec leur manière bien à eux de regarder et filmer notre monde et ses habitants. Pour ces 101 minutes, alors que tous leurs films se situaient dans les Pyrénées, leur région natale, ils ont changé de massif pour nous transporter dans le Jura. Aymeric retrouve Florence, une ancienne collègue de travail, au hasard d’une soirée à Saint-Claude dans le Haut-Jura. Elle est enceinte de six mois et célibataire. Quand Jim nait, Aymeric est là. Ils passent de belles années ensemble, jusqu'au jour où Christophe, le père naturel de Jim, débarque... Ça pourrait être le début d’un mélo, c’est aussi le début d’une odyssée de la paternité. C’est sans doute leur meilleur film à ce jour. C’est aussi mon plus beau moment de cinéma depuis longtemps.
    Il s’agit de l’adaptation du livre éponyme de Pierric Bailly sorti en mars 2021. C’est l’auteur lui-même, qui a fait parvenir son roman aux frères Larrieu parce qu’il appréciait beaucoup leurs films et pensait qu’ils pourraient le transposer à l’écran. Et comment ! Avant de se lancer dans ce film, les Larrieu travaillaient sur un western, le mélo n’étant a priori pas vraiment leur genre de prédilection. Sans effets de manche, les cinéastes savent porter l’émotion à son comble devant cette histoire de paternité contrariée. Cette façon de si bien parler de la vie et des gens est une rareté. On y croit de bout en bout parce que les personnages existent intensément. Pudeur, humour et délicatesse sont les maîtres mots de ce chez d’œuvre d’émotion pure. Et cette fois-ci, la voix off – procédé que je n’apprécie guère d’habitude – ajoute à l’émotion. Un des plus beaux films de l’année.
    Une fois de plus, les larrieu prouve que ce sont d’excellents directeurs d’acteurs et d’actrices. Ils ont une manière bien à eux de les faire jouer, mais à chaque fois, c’est un ravissement. Karim Leklou, excellent encore une fois, a un physique atypique et une présence quasi expressionniste, tel un acteur de l’époque du muet. Un acteur qui n’en finit pas de monter. Laetitia Dosch et Sara Giraudeau sont formidables comme jamais. Bertrand Belin, avant de « faire » l’acteur, est surtout musicien et c’est lui qui signe la bande son du film. Ajoutons Noée Abita qui, à 25 ans a déjà une copieuse filmographie – commencée en 2017 avec Ava -, dans laquelle il n’y a rien à jeter, preuve qu’elle sait choisir ses rôles et les « deux Jim », Eol Personne et Andranic Manet. Vous avez compris… incontournable. Faites un triomphe à ce « roman de Jim » des Frères Larrieu qui, pour la 1ère fois abandonne leur grain de folie coutumier, prouvant que l’anodin n’est pas forcément l’insipide. Bravo !!!
    Nisrine A
    Nisrine A

    24 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 août 2024
    Ce « petit » film est la bonne surprise de cette fin d’été. Sans être dans l’expansion et toute en délicatesse, l’histoire d’Aymeric, un « gentil » nous touche dans notre plus profonde humanité. Aymeric a aimé et élevé un enfant comme s’il était le sien pendant 7 ans jusqu’à la trahison de la mère et le réveil opportuniste du « vrai » père. Mais qu’est-ce qui fait le père ? Qu’est-ce qui fait le (re)père pour un enfant dans une telle constellation (de plus en plus fréquente aujourd’hui) ? C’est l’adaptation d’un roman de Pierric BAILLY, auteur jurassien passionné par le thème de la famille que je ne connaissais pas et que j’ai hâte de découvrir via ses autres œuvres (on m’a vivement conseillé « les enfants des autres »). A voir !
    Emile C.
    Emile C.

    2 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 août 2024
    Un homme bon, Aymeric, s'attache comme un père à un enfant qui n'est pas de lui, puis doit subir le retour du père biologique, et le comportement calamiteux de la mère.Ce film est un travail remarquable sur la paternité. L'évolution de l'histoire est très bien menée. Curieusement le couple calamiteux est confié (volontairement ?) à des acteurs qui jouent parfois assez mal. Alors que les autres, Karim Leklou, Sara Giraudeau, et les jeunes acteurs qui jouent le fils, sont très bons. Un film intelligent à recommander vivement.
    Jmartine
    Jmartine

    161 abonnés 664 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 août 2024
    Disons-le tout de suite, je n’ai pas vraiment aimé « le Roman de Jim » présenté comme le mélo de l’été, un mélo ample et profond sur la paternité…qui met en lumière des gens modestes qui bricolent avec leur vie, cherchant en chacun, comme en chaque lieu, la singularité de l’ordinaire…. Aymeric, vrai gentil un peu perdu, qui vit de petits boulots, peu combatif face aux obstacles qui se dressent sur sa route, retrouve une connaissance, Florence, ancienne collègue du supermarché. Elle est enceinte de six mois, il assiste à l’accouchement, et en gars sympa, surtout en homme amoureux, Aymeric s’installe avec Florence et devient le père de Jim, dont le géniteur s’est évanoui dans la nature… Aymeric est en quelque sorte spectateur de sa vie, ce qui transparaît au travers de son goût pour la photographie. Les frères Larrieu mettent d’ailleurs brillamment en scène ses clichés en négatif. Il cumule les pellicules, témoin de ce et ceux qui l’entoure, mais pressent bien, au fond, que viendra le jour où il devra raconter son histoire…
    Plusieurs années plus tard, débarque un certain Christophe, endeuillé puisque venant de perdre sa femme et ses deux filles dans un accident de la route…Christophe est en fait le père biologique de Jim, et Florence fait tout pour qu’il retrouve sa place, quitte à brusquer voire à briser Aymeric et Jim, un père et un fils qui se sont choisis…et des liens qui ne sont pas forcément fondés sur les liens du sang…
    Adaptant un roman de Pierric Bailly les frères Arnaud et Jean-Marie Larrieu tissent un récit délicat qui glisse sans à-coups sur plus de vingt ans, grâce à des ellipses travaillées et un continuum musical harmonieux… voulant "insuffler de la douceur à la fois dans l'attachement et dans l'arrachement" en filmant le temps qui passe, une idée "profondément en rapport avec le mélo ». Karim Leklou incarne Aymeric avec sa force tranquille, cette bonhomie étrange, presque inquiétante, qui n’esquive pas les émotions mais décale un peu les choses, qui prend des coups sentimentaux avec une capacité incroyable à les encaisser… Face à lui, Eol Personne, qui joue Jim enfant est tout autant bouleversant… On ne niera pas qu’on a failli lâcher une petite larme…ou que l’on a été sensible aux bouffées d’émotion…mais que l’on a tout autant légèrement bâillé devant cette histoire de paternité au charme désuet…
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    25 abonnés 2 113 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 août 2024
    Le roman de Jim est en fait le roman d'Aymeric dont le film, nécessairement elliptique, raconte la vie sur près de trente ans. Les vallons du Jura sont comme les hauts et les bas qui forment l'existence de ce jeune homme qui semble ne se rebeller jamais.
    Le parcours du gentil Aymeric prend d'abord un tour plaisant et badin avant que l'enjeu du sujet des frères Larrieu ne se dévoile: l'attachement réciproque d'Aymeric pour son fils putatif, Jim, au moment où le père biologique fait son apparition, quelques années plus tard, dans le foyer. Insensiblement, le film perd de sa fantaisie pour attacher de la gravité aux personnages.
    Il y a ici la matière pour faire un commun mélodrame des familles. Je ne connais pas le roman qu'adapte la fratrie Larrieu; ces derniers introduisent de belles émotions et une forme de suspense psychologique qui les détournent du pathos. Encore que le dénouement, entre métaphore et prosaïsme, m'a paru un peu facile, surtout de la part de cinéastes qui nous ont habitués à plus de singularité ou d'étrangeté. Ils signent ici un film plus balisé que leurs oeuvres habituelles.
    Le film peut néanmoins s'appuyer sur la composition tout en retenue et en résignation de Karim Leklou et, secondairement, dans le rôle de la mère de Jim, sur la toujours fantasque, impudique et charmante Laetitia Dosch.
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