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Votre avis sur Le Roman de Jim ?
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Film très sensible sur l'amour filiale et les relations entre adultes...très beaux paysages également.
Vu en avant-première en présence de Karim Leclou.
Pas mal du tout. Quelques invraisemblances selon moi (mais qui suis-je 😉), mais ça passe.
Une histoire où les femmes ont aussi des choses à se reprocher...
Pas mal du tout. Quelques invraisemblances selon moi (mais qui suis-je 😉), mais ça passe.
Une histoire où les femmes ont aussi des choses à se reprocher...
FaRem
« J'attire les gens compliqués et les plans bizarres. » J'ajouterais les gens égoïstes, car Aymeric a beaucoup donné sans forcément recevoir la même chose en retour. On ne donne pas dans l'attente d'une réciprocité et Aymeric n'est pas comme ça, mais c'est un homme qui n'a pas eu beaucoup de chance dans ses rencontres. Une manière de voir les choses, car on peut toujours retenir le positif et je doute qu'il changerait beaucoup de choses s'il en avait l'occasion. "Le Roman de Jim", c'est donc un récit sur plusieurs années à travers différentes rencontres, dont sa relation avec Jim. Une histoire sensible et intime sur une fragile paternité, et surtout un beau portrait d'un homme incarné par un parfois déchirant et très expressif Karim Leklou qui est excellent. C'est simple, mais vraiment touchant. Un beau film !
Cinéphiles 44
Porté par un Karim Leklou particulièrement émouvant, "Le Roman de Jim" explore avec subtilité la construction identitaire et les liens familiaux, notamment à travers la figure du père en devenir. La complicité entre Leklou et Eol Personne, incarnant Jim enfant, s’impose comme l’un des points forts de cette fresque intimiste et touchante. Un film qui capte l’essence des relations humaines avec authenticité.
PLR
Un scénario adapté du roman éponyme chez un « petit » éditeur avide de dénicher des trésors littéraires dédaignés par les plus gros. Une excellente matière pour le cinéma aux mains de deux frères, réalisateurs et scénaristes, qui savent raconter des histoires à l’écran, de famille ici. Le style narratif est précis et direct. Le spectateur est tout de suite dans le bain, avec un utile petit temps d’avance sur le déroulé de la trame s’il connait le roman, ou même a seulement lu le synopsis ou vu la bande-annonce ou encore s’il se réfère au bouche à oreille et aux commentaires des principales critiques notamment. Le père d’un enfant c’est celui qui l’élève, qui l’accompagne, quelque chose que le spectateur admettra communément. Lorsque le père biologique fera valoir ses droits, avec le plein accord de la mère ici, le « père de Jim » (Karim Leclou) sera intérieurement broyé mais restera digne, ne faisant pas d’esclandre, ne revendiquant ouvertement rien. Les années passeront (l’intrigue se déroule sur 25 ans) menant à une charge émotionnelle très forte en guise de dénouement.
defleppard
Le Roman de Jim. Belle histoire d 'une paternité non prévue. Réalisation de qualité. Trois étoiles.
les Larieu, grands maîtres du film le plus humain possible ! Et QUEL FILM ! C'est beau, accrocheur, poignant, avec un acteur principal des plus doué !
Le roman de Jim est avant tout l’histoire d’Aymeric. Gentil garçon que l’on va suivre durant 25 ans ; sa vie ancrée dans le Jura est simple, il se contente volontiers d’une existence sans aspérité, sans accroc entouré de gens qu’il aime. « Juste quelqu’un de bien ». Il retrouve Florence, ancienne collègue de travail, alors enceinte de 6 mois ; une idylle se noue entre eux. Il va être le père du petit Jim (ah ! le voilà !) durant 7 ans, jusqu’au jour où le père biologique détruit par un drame de la vie va ressurgir dans le quotidien du trio. Florence souhaite l’aider à ne pas sombrer et créer un lien entre père et fils biologique et ce qui doit se passer va donc se produire. Ce gentil équilibre de gens gentils va exploser, sans violence ; car c’est un film dans lequel la gentillesse est le maitre mot. Bon, il y aura tout de même une trahison majeure révélée dans le dernier tiers du film ; mais à proprement parlé c’est un film sans salaud. Et c’est un des écueils du film ; le scénario n’offre que trop peu d’aspérités ; à l’image de la mise en scène, le scénario est aussi plat. Sur la construction de la paternité dans ce qui est un mélodrame, on aurait aimé un peu plus de matière, de densité, de prise de risque ; mais tout est sage, convenu. Et ceci provoque souvent de grandes maladresses dans la résolution de l’histoire sur la fin de film. Heureusement que la distribution est le Leklou du film ; et Karim en tête. Il est le fil rouge de l’histoire et nous émeut souvent et offre une interprétation d’une justesse touchante et ce à chaque étape de ses 25 ans de paternité atypique.
Ce film a le mérite de traiter avec beaucoup de pudeur et de délicatesse de nouvelles formes de paternité et traiter avec tendresse le parcours de vies bricolées. L’anodin est au centre de la première moitié, et c’est bien tous ces petits moments faisant une vie qui sont les touchants.
TOUT-UN-CINEMA.BLOGSPOT.COM
Ce film a le mérite de traiter avec beaucoup de pudeur et de délicatesse de nouvelles formes de paternité et traiter avec tendresse le parcours de vies bricolées. L’anodin est au centre de la première moitié, et c’est bien tous ces petits moments faisant une vie qui sont les touchants.
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Ce drame questionne le rôle de père avec une certaine justesse et une sensibilité indéniable, mais l'ensemble manque d'émotion à l'image de la performance d'un Karim Leklou atone et pas vraiment à l'aise dans le rôle. Ses acolytes, notamment féminines, font pâle figure, en particulier Laetitia Dosch qui semble à côté de la plaque tout le long. L'épilogue, en forme de non-résolution, laisse un goût d'inachevé. Dommage.
Le film est intéressant mais assez inégal. La fin m’a déçu car un peu étrange. Les actrices et les acteurs sont bons dans leur rôle sauf, à mon avis, le Jim adulte qui est fade et peu crédible
Un film touchant, Karim Leclou est parfait, on passe un moment agréable, ça aurait fait un joli téléfilm.
J'aurais peut-être préféré lire le roman dont est issu le film quoique c'est comme si les acteurs nous l'avaient lu eux-mêmes tant ils jouaient mal.
Roman de gare, réalisation très maladroite, mauvaise direction d'acteur.
J'aime beaucoup Laetitia Dosch mais dans ce film son jeu la rend souvent terriblement agaçante.
Karim Leklou s'en sort pas trop mal mais il est vraiment mal exploité et alors les rajeunissement / vieillissement sont des catastrophes absolue. Ridicule.
L'enfant a été bizarrement casté (fils ou neveu des réal ?) mais c'est peut-être celui qui joue le mieux.
Le chanteur Bertrand Belin est là, dommage qu'il n'ait rien préparé...
Noée Abita est une pépite mais elle ne fait que passer et semble comme nous se demander ce qu'elle fait là, on pourrait même penser qu'elle le montre à la fin, en fumant sa clope l'air d'attendre le générique de fin.
Même le nouveau né est mal choisi pour sa très courte scène, c'est effroyable, un bébé énorme alors qu'il est censé souffrir d'être trop frêle.
On marche sur la tête.
Bon, Sara Giraudeau assure, elle joue aussi bien qu'elle danse, une vraie respiration quand elle est là. Merci !
Bref, étrange sensation d'avoir assisté à un brouillon, une maquette, une sorte de lecture avant tournage... Déception, tout de suite, très vite, puis tout le long. C'est dommage, l'histoire est mignonne.
Roman de gare, réalisation très maladroite, mauvaise direction d'acteur.
J'aime beaucoup Laetitia Dosch mais dans ce film son jeu la rend souvent terriblement agaçante.
Karim Leklou s'en sort pas trop mal mais il est vraiment mal exploité et alors les rajeunissement / vieillissement sont des catastrophes absolue. Ridicule.
L'enfant a été bizarrement casté (fils ou neveu des réal ?) mais c'est peut-être celui qui joue le mieux.
Le chanteur Bertrand Belin est là, dommage qu'il n'ait rien préparé...
Noée Abita est une pépite mais elle ne fait que passer et semble comme nous se demander ce qu'elle fait là, on pourrait même penser qu'elle le montre à la fin, en fumant sa clope l'air d'attendre le générique de fin.
Même le nouveau né est mal choisi pour sa très courte scène, c'est effroyable, un bébé énorme alors qu'il est censé souffrir d'être trop frêle.
On marche sur la tête.
Bon, Sara Giraudeau assure, elle joue aussi bien qu'elle danse, une vraie respiration quand elle est là. Merci !
Bref, étrange sensation d'avoir assisté à un brouillon, une maquette, une sorte de lecture avant tournage... Déception, tout de suite, très vite, puis tout le long. C'est dommage, l'histoire est mignonne.
C'est rafraîchissant de découvrir une oeuvre (tiré d'un livre) qui va à contre courant des standards actuels éculés dans la représentation du personnage principal masculin. Aymeric interprèté par l'excellent Karim Leklou, nous propose à l'écran un homme gentil, empathique, sincère, vulnérable et que c'est rare ! Les personnages féminins ne sont pas en reste, avec Florence qui exprime pleinement ses désirs et par la suite Olivia qui se positionne en femme libre et assumée.
Cette histoire se déroulant sur plusieurs années, nous interroge sur la paternité mais aussi sur la nature des relations humaines complexes teinté d'amour et d'égoïsme.
Cette histoire se déroulant sur plusieurs années, nous interroge sur la paternité mais aussi sur la nature des relations humaines complexes teinté d'amour et d'égoïsme.
Histoire originale sur la paternité avec de bons sentiments qui se regarde sans déplaisir. Qu'est-ce qu'un père ? Le film nous questionne et nous remet certaines idées en place.
Quant aux images, le Jura rare à l'écran, est magnifiquement mis en valeur. A voir.
Quant aux images, le Jura rare à l'écran, est magnifiquement mis en valeur. A voir.
Un formidable acteur, qui tient le film sur ses épaules. Tout n'est pas parfait dans ce film (on a du mal à comprendre pourquoi il quitte femme et enfant notamment, le glissement des sentiments n'est pas assez apparent) mais le final est chouette.
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