Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
38 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Arnaud et Jean-Marie Larrieu tirent du Roman de Jim de Pierric Bailly une lumineuse adaptation scandée d’ellipses judicieusement ourlées, qui offrent à chaque avancée scénaristique une saisissante portée. L’émotion y est telle que devant cette histoire de paternité contrariée par le sort, on pleure toutes les larmes de son corps.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Voilà les frères des Pyrénées, peut-être pour la première fois assouplis, sensibles, sentimentaux, mélancoliques.
Elle
par Françoise Delbecq
Ce film d'une grande beauté, grâce notamment à la confrontation entre violence et douceur des sentiments, est interprété par Karim Leklou, immense acteur qui distille, de film en film, les délicates tonalités de son talent.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un mélodrame beau à pleurer, une joie en soi, avec un Karim Leklou magnifique. L’acteur de ce film fin qui sait si bien parler de la vie et des gens est une rareté.
Le Monde
par Ma. Mt
Les Larrieu, qui pratiquent un cinéma intégralement décentralisé, dressent ici un nouveau tableau de province dépourvu du moindre folklore, axé sur les gens modestes qui bricolent avec leur vie, cherchant en chacun, comme en chaque lieu, la singularité de l’ordinaire. Cela faisait longtemps que l’on n’avait pas vu un tel amour des personnages dans le cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
Adapté du roman de Pierric Bailly, Le Roman de Jim est un mélo ample et profond sur la paternité, où tous les personnages existent intensément.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Aymeric parvient à se créer une ligne de fuite, à prendre la tangente, à s’inventer un nouveau plan d’existence. Éternel mouvement des Larrieu, qui trouve ici l’une de ses plus belles exécutions.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
D’une grande force romanesque, le beau film des frères Larrieu déroule l’histoire d’une paternité atypique et fait jaillir l’émotion là où on ne l’attend pas.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Avec Le Roman de Jim, les frères Larrieu adaptent sur le grand écran le roman de Pierric Bailly, le tout avec pudeur, humour et délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Pascale Vergereau
Karim Leklou est bouleversant dans son rôle de beau-père déchu, au centre d'une histoire très contemporaine.
Télérama
par Guillemette Odicino
Afin de donner corps à la bonté bornée et éberluée d’Aymeric, ils ont trouvé en Karim Leklou l’interprète idéal, d’une tendresse littéralement foudroyante, dans l’amour comme dans la résignation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Karim Leklou est bouleversant de pudeur et délicatesse dans ce très beau film.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
La réussite du dernier long métrage des Larrieu se mesure paradoxalement à l’aune de la dépossession et de l’effacement d’un anti-héros qui se fait d’emblée le narrateur d’une geste passive et poissarde.
Closer
par Justine Boivin
Une émotion pure, un moment de cinéma dont on sort grandi.
Femme Actuelle
par La rédaction
Karim Leklou, notamment, porte le film sur ses épaules comme son personnage y baladerait le petit Jim. Touchant, juste, nuancé… On y croit !
Franceinfo Culture
par Matteu Maestracci
Sans doute parmi l'un des plus beaux films de l'année, Le roman de Jim a une autre qualité, celle d'évoquer sans détour des sujets d'aujourd'hui comme les nouvelles formes de parentalité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Franceinfo Culture
par Odile Morain
Comme dans la fameuse chanson d'Alain Souchon La Ballade de Jim, le film de Jean-Marie et Arnaud Larrieu nous emmène loin et offre un émouvant portrait d'un père à part entière.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Délaissant leur grain de folie habituel, les deux cinéastes filment ce parcours intime avec douceur et subtilité, sublimant les paysages du haut Jura dont la grandeur se met au diapason des sentiments de son héros.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par David Ezan
Les Larrieu ne trichent pas. Filmer un père qui voit son fils marcher, c’est s’accroupir avec lui et simplement regarder ; c’est prendre la mesure d’un évènement à la fois minuscule et extraordinaire. La formule décrit bien la mécanique de l’ensemble, cette manière humble qui bouleverse l’air de rien. Et puis l’anodin ce n’est pas l’insipide ; c’est même le sel d’une vie.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un mélo bouleversant sans être tire-larmes, bienveillant, mais pas naïf, qu’imprègnent une douce mélancolie et une tendresse enveloppante. Léger et grave à la fois, un peu à l’image de la vie, il séduit aussi par ses personnages attachants incarnés par d’épatants comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Florence Colombani
Le dernier film des frères Larrieu, qui explore le profond mystère du lien père-fils, est un bijou d’émotion contenue.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Les frères Larrieu signent le plus beau film de l'été avec cette adaptation d'un roman de Pierric Bailly. Incarnée par l'excellent Karim Leklou, cette fiction sur la paternité surprend et bouleverse.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
En allant vers le mélo, les Larrieu expérimentent un nouveau chemin de randonnée, et, avec un mélange de technique et de feeling, atteignent des sommets.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Emily Barnett
Une épopée familiale si troublante, frustrante et cruelle, mais aussi si juste.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Deux décennies d’un personnage effacé et résilient, et d’une femme, amoureuse, mais perdue. Sans jamais les juger, en les aimant malgré tout, le film est empreint de nostalgie et d’une infinie douceur qui vient soigner les maux du cœur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Vincent Thabourey
La direction d'acteurs est l'autre point fort de cette œuvre incandescente : Bertrand Belin, icône chic de la pop française, parvient à être crédible en auxiliaire de vie provincial ; Laetitia Dosh assume sans complexe son statut de briseuse de destins ; Sarah Giraudeau illumine le drame de l'intérieur ; et Karim Leklou, sur lequel repose le film, incarne le rôle d'Aymeric, un brave un type aux allures bonhomme, tout en rondeurs, dans une prestation à la masculinité impassible et généreuse.
Première
par Sylvestre Picard
Le Roman de Jim est une espèce de nouveau western : un film misant tout sur son héros, qui pense trouver sa voie dans l'Ouest, c'est-à-dire le monde (ou dans les rochers du Jura) tant qu'il gardera sa rectitude morale. En deux mots : très fort.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Les frères Larrieu émeuvent avec ce mélo sans emphase, sans effet, sans facilité. On sent leur grande confiance dans le récit et dans l’interprétation des comédiens, Karim Leklou en tête. Ils ont raison
Transfuge
par Mathieu Guetta
Les acteurs sont tous criant de vérité, de leur vérité que les frères Larrieu ont su capter.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un long-métrage qui colore le cœur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Le roman de Jim est un petit trésor de douceur et d’humanité. C’est un film dont on ressort grandi, apaisé, avec un regard plus compréhensif sur des malentendus ou des choix arbitraires qui peuvent parfois conduire au pire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Si leur quête du lâcher-prise trouve ses limites dans une direction d’acteurs trop approximative, leur manière de tout filmer au même niveau, les moments de bonheur comme ceux d’une grande cruauté, a quelque chose d’asiatique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Catherine Painset
On pourrait légèrement bâiller devant cette histoire de paternité portée à l’écran par Arnaud et Jean-Marie Larrieu, d’après un roman de Pierric Bailly. Mais la justesse, la solidité et le charme de la distribution (...) font oublier le manque de relief du film.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par É.S.
On ressent le passage du temps, le poids des regrets et des mensonges. Et la difficulté d'être père, biologique ou non.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télé 2 semaines
par Yoann Jenan
Le côté désuet, voire surréaliste des dialogues et des personnages désarçonne au début. Puis les frères Larrieu nous emportent, sur plus de 25 ans, dans cette émouvante odyssée romanesque et poétique autour de la paternité, portée par un Karim Leklou d'une justesse remarquable.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Une douceur traverse ce mélo sur l'amour paternel, mais aussi sur les êtres qui se perdent et se retrouvent. Mouchoirs indispensables.
Télé Loisirs
par S.O.
Velléités, mensonges et malentendus sont au cœur de cette adaptation, sur un ton doux-amer, du roman de Pierre Bailly, qui tire judicieusement parti des paysages du Haut-Jura. L'interprétation de Karim Leklou est, une fois de plus, remarquable.
Critikat.com
par Josué Morel
L'émotion qui pointe parfois est toujours teintée du regret de voir les Larrieu adopter une forme d’épure pudique, pour s’en remettre essentiellement à la seule force tranquille de leur scénario.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Bande à part
Arnaud et Jean-Marie Larrieu tirent du Roman de Jim de Pierric Bailly une lumineuse adaptation scandée d’ellipses judicieusement ourlées, qui offrent à chaque avancée scénaristique une saisissante portée. L’émotion y est telle que devant cette histoire de paternité contrariée par le sort, on pleure toutes les larmes de son corps.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Voilà les frères des Pyrénées, peut-être pour la première fois assouplis, sensibles, sentimentaux, mélancoliques.
Elle
Ce film d'une grande beauté, grâce notamment à la confrontation entre violence et douceur des sentiments, est interprété par Karim Leklou, immense acteur qui distille, de film en film, les délicates tonalités de son talent.
Le Dauphiné Libéré
Un mélodrame beau à pleurer, une joie en soi, avec un Karim Leklou magnifique. L’acteur de ce film fin qui sait si bien parler de la vie et des gens est une rareté.
Le Monde
Les Larrieu, qui pratiquent un cinéma intégralement décentralisé, dressent ici un nouveau tableau de province dépourvu du moindre folklore, axé sur les gens modestes qui bricolent avec leur vie, cherchant en chacun, comme en chaque lieu, la singularité de l’ordinaire. Cela faisait longtemps que l’on n’avait pas vu un tel amour des personnages dans le cinéma français.
Le Parisien
Adapté du roman de Pierric Bailly, Le Roman de Jim est un mélo ample et profond sur la paternité, où tous les personnages existent intensément.
Les Inrockuptibles
Aymeric parvient à se créer une ligne de fuite, à prendre la tangente, à s’inventer un nouveau plan d’existence. Éternel mouvement des Larrieu, qui trouve ici l’une de ses plus belles exécutions.
Libération
D’une grande force romanesque, le beau film des frères Larrieu déroule l’histoire d’une paternité atypique et fait jaillir l’émotion là où on ne l’attend pas.
Marianne
Avec Le Roman de Jim, les frères Larrieu adaptent sur le grand écran le roman de Pierric Bailly, le tout avec pudeur, humour et délicatesse.
Ouest France
Karim Leklou est bouleversant dans son rôle de beau-père déchu, au centre d'une histoire très contemporaine.
Télérama
Afin de donner corps à la bonté bornée et éberluée d’Aymeric, ils ont trouvé en Karim Leklou l’interprète idéal, d’une tendresse littéralement foudroyante, dans l’amour comme dans la résignation.
20 Minutes
Karim Leklou est bouleversant de pudeur et délicatesse dans ce très beau film.
Cahiers du Cinéma
La réussite du dernier long métrage des Larrieu se mesure paradoxalement à l’aune de la dépossession et de l’effacement d’un anti-héros qui se fait d’emblée le narrateur d’une geste passive et poissarde.
Closer
Une émotion pure, un moment de cinéma dont on sort grandi.
Femme Actuelle
Karim Leklou, notamment, porte le film sur ses épaules comme son personnage y baladerait le petit Jim. Touchant, juste, nuancé… On y croit !
Franceinfo Culture
Sans doute parmi l'un des plus beaux films de l'année, Le roman de Jim a une autre qualité, celle d'évoquer sans détour des sujets d'aujourd'hui comme les nouvelles formes de parentalité.
Franceinfo Culture
Comme dans la fameuse chanson d'Alain Souchon La Ballade de Jim, le film de Jean-Marie et Arnaud Larrieu nous emmène loin et offre un émouvant portrait d'un père à part entière.
La Croix
Délaissant leur grain de folie habituel, les deux cinéastes filment ce parcours intime avec douceur et subtilité, sublimant les paysages du haut Jura dont la grandeur se met au diapason des sentiments de son héros.
La Septième Obsession
Les Larrieu ne trichent pas. Filmer un père qui voit son fils marcher, c’est s’accroupir avec lui et simplement regarder ; c’est prendre la mesure d’un évènement à la fois minuscule et extraordinaire. La formule décrit bien la mécanique de l’ensemble, cette manière humble qui bouleverse l’air de rien. Et puis l’anodin ce n’est pas l’insipide ; c’est même le sel d’une vie.
Le Journal du Dimanche
Un mélo bouleversant sans être tire-larmes, bienveillant, mais pas naïf, qu’imprègnent une douce mélancolie et une tendresse enveloppante. Léger et grave à la fois, un peu à l’image de la vie, il séduit aussi par ses personnages attachants incarnés par d’épatants comédiens.
Le Point
Le dernier film des frères Larrieu, qui explore le profond mystère du lien père-fils, est un bijou d’émotion contenue.
Les Echos
Les frères Larrieu signent le plus beau film de l'été avec cette adaptation d'un roman de Pierric Bailly. Incarnée par l'excellent Karim Leklou, cette fiction sur la paternité surprend et bouleverse.
Les Fiches du Cinéma
En allant vers le mélo, les Larrieu expérimentent un nouveau chemin de randonnée, et, avec un mélange de technique et de feeling, atteignent des sommets.
Marie Claire
Une épopée familiale si troublante, frustrante et cruelle, mais aussi si juste.
Paris Match
Deux décennies d’un personnage effacé et résilient, et d’une femme, amoureuse, mais perdue. Sans jamais les juger, en les aimant malgré tout, le film est empreint de nostalgie et d’une infinie douceur qui vient soigner les maux du cœur.
Positif
La direction d'acteurs est l'autre point fort de cette œuvre incandescente : Bertrand Belin, icône chic de la pop française, parvient à être crédible en auxiliaire de vie provincial ; Laetitia Dosh assume sans complexe son statut de briseuse de destins ; Sarah Giraudeau illumine le drame de l'intérieur ; et Karim Leklou, sur lequel repose le film, incarne le rôle d'Aymeric, un brave un type aux allures bonhomme, tout en rondeurs, dans une prestation à la masculinité impassible et généreuse.
Première
Le Roman de Jim est une espèce de nouveau western : un film misant tout sur son héros, qui pense trouver sa voie dans l'Ouest, c'est-à-dire le monde (ou dans les rochers du Jura) tant qu'il gardera sa rectitude morale. En deux mots : très fort.
Sud Ouest
Les frères Larrieu émeuvent avec ce mélo sans emphase, sans effet, sans facilité. On sent leur grande confiance dans le récit et dans l’interprétation des comédiens, Karim Leklou en tête. Ils ont raison
Transfuge
Les acteurs sont tous criant de vérité, de leur vérité que les frères Larrieu ont su capter.
aVoir-aLire.com
Un long-métrage qui colore le cœur.
aVoir-aLire.com
Le roman de Jim est un petit trésor de douceur et d’humanité. C’est un film dont on ressort grandi, apaisé, avec un regard plus compréhensif sur des malentendus ou des choix arbitraires qui peuvent parfois conduire au pire.
L'Obs
Si leur quête du lâcher-prise trouve ses limites dans une direction d’acteurs trop approximative, leur manière de tout filmer au même niveau, les moments de bonheur comme ceux d’une grande cruauté, a quelque chose d’asiatique.
La Voix du Nord
On pourrait légèrement bâiller devant cette histoire de paternité portée à l’écran par Arnaud et Jean-Marie Larrieu, d’après un roman de Pierric Bailly. Mais la justesse, la solidité et le charme de la distribution (...) font oublier le manque de relief du film.
Le Figaro
On ressent le passage du temps, le poids des regrets et des mensonges. Et la difficulté d'être père, biologique ou non.
Télé 2 semaines
Le côté désuet, voire surréaliste des dialogues et des personnages désarçonne au début. Puis les frères Larrieu nous emportent, sur plus de 25 ans, dans cette émouvante odyssée romanesque et poétique autour de la paternité, portée par un Karim Leklou d'une justesse remarquable.
Télé 7 Jours
Une douceur traverse ce mélo sur l'amour paternel, mais aussi sur les êtres qui se perdent et se retrouvent. Mouchoirs indispensables.
Télé Loisirs
Velléités, mensonges et malentendus sont au cœur de cette adaptation, sur un ton doux-amer, du roman de Pierre Bailly, qui tire judicieusement parti des paysages du Haut-Jura. L'interprétation de Karim Leklou est, une fois de plus, remarquable.
Critikat.com
L'émotion qui pointe parfois est toujours teintée du regret de voir les Larrieu adopter une forme d’épure pudique, pour s’en remettre essentiellement à la seule force tranquille de leur scénario.