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    Un enfant de Calabre
    Note moyenne
    3,3
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    5 critiques spectateurs

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    pietro bucca
    pietro bucca

    70 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 décembre 2012
    Film sympathique....De superbes paysages.....Bon ,faut pas venir pour l'action.....
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 185 abonnés 5 188 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 janvier 2021
    Certes il y a un enjeu, mais la réalisation est tellement laide. Effet téléfilm....
    Pareil pour l'interprétation. Le jeune n'est pas vraiment expressif. Il ne montre en tout cas rien de lui. Il est censé être meilleur que les autres mais il n'est pas combattif.
    On retrouve du Billy Elliot sorti à la même époque et largement mieux. Plus émouvant et plus rageur.
    Décevant pour un Comencini qui a fait avec l'incompris son chef-d'œuvre.
    Hotinhere
    Hotinhere

    569 abonnés 4 993 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 février 2021
    Un jeune paysan s'entraîne en cachette à la course à pied, derrière le regard désapprobateur de son père.
    Une fable rurale touchante et plein de tendresse sur les rêves d'enfant.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    123 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 septembre 2019
    Un Comencini rural, c’est vrai que ça surprend ! D’ailleurs, il fait bien de garder la télévision pour faire le lien avec Rome, car toutes les routes scénaristiques n’y mènent pas. Elle lui sert par la même occasion à reconstruire une mini-salle de cinéma autour de voisins, le genre d’infatuations fugaces d’un village italien pour l’image en noir & blanc sur laquelle l’athlète éthiopien Abébé Bikila gagne pieds nus le marathon olympique de 1960.

    Admiratif devant l’écran, le dénommé Mimi fait l’école buissonnière à la course, pieds nus lui aussi. Il défait ses lacets pour couper à travers ceux que forme sa route calabraise, plus rapide que le bus qui le conduit à l’école et dont il finit par rencontrer le chauffeur, un vieux rêveur boiteux qui complète le trilemme : un père désirant qu’il étudiât, une mère qu’il le suivît, et le vieux qu’il courût.

    Au détour d’un sentier ou d’un champ, Comencini place timidement une amourette qui fait pâle figure au regard du reste ; la joliette est pom-pom girl malgré elle & la pauvreté de son rôle annonce celle qui est à venir chez des protagonistes autrement plus riches au début, tels que le père, justement.

    Ces passions champêtres, auxquelles on ne croit jamais plus qu’aux invectives paternelles, atteignent le modeste paroxysme de leur beauté avec le conflit entre le père & le vieux, le pragmatique & l’utopiste, durant lequel une phrase est lâchée qui, à défaut d’être défendable, fait rêver :

    « Je lui raconte des mensonges magnifiques et tu le trompes avec la réalité. »

    L’essence du garçon de Calabre est là, dans l’univers qui régit son ascension des marches compétitives et l’accession depuis les courses locales à des trophées plus alléchants. L’intérêt n’est, par contre, pas du tout dans le reste de la veine sportive.

    Mimi est malmené, tiraillé, et l’impassibilité de son teint mat ne peut pas aller sans une explosion quelque part. Pourtant, il accède à la générosité soudaine de son père & aux qualifications pour les finales de Rome avec une facilité consternante, pas du tout à la hauteur de ce que les piques pseudo-réalistes sur la cruauté du sport – montrant que le regret est dans le succès aussi – pouvaient nous faire attendre.

    En sollicitant les jambes agitées de la jeunesse italienne, Comencini proposait au cinéma de retrouver le sens primaire de son mouvement. Il ne s’est pas gêné pour créer de beaux plans qui avancent comme sur des roulettes, mais ses trébuchements manquent d’adéquation.

    → https://septiemeartetdemi.com/
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 juin 2007
    Contraint de voir ce film après avoir été trainé au cinéma pour la "semaine du cinéma italie", je regrette franchement un bon blockbuster. C'est mauvais, mais au moins ca bouge. Ici tout n'est qu'ennui, ennui et re-ennui. Alors ok, les paysages sont jolis et les acteurs sont assez convainquant, mais le scénario est, comment dire, inexistant. En gros on a un garçon qui court, qui court, qui court...
    Bref, un film qui ravira surement les inconditionnels du cinéma italien, même si pour ma part je pense que celui ci n'a plus rien produit de bon depuis le grand Sergio Leone.
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