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Un Romero rare sans zombies mais avec des motards médiévaux! Ce "Knightriders" est non seulement une oeuvre à part dans la filmographie de George Romero, mais aussi dans le cinéma américain en général. Une histoire basée sur les codes d'honneur de la chevalerie, l'amitié et le sens de la communauté, une atmosphère intemporelle associée à la désuétude des comportements font de ce film peu connu tourné en 1981 (entre "Zombie" et "Creepshow") un portrait original, réaliste mais un peu longuet de chevaliers des temps modernes, d'hommes et de femmes vivant comme au temps du roi Arthur dans l'Amérique du début des années 80, se livrant à des spectacles itinérants principalement constitués de joutes motorisées. Romero décrit avec tendresse et même respect leur mode de vie, leurs amours, leurs querelles . On notera la présence de Stephen King dans un petit rôle de spectateur plouc, ainsi que celles de Tom Savini et de Ken Foree, déjà présents dans "Zombie".
L'ordre des chevaliers motards ne manque pas de panaché charmant, le moyen-âge entre dans une certitude moderne, comme une arène camping spectacle de char à moteur, des gladiateurs chevaleresques, n'oublions pas les chevalières féminines subtiles et ces combats de joute qui font vroum vroum.
Honneur au Roi et Reine de la forêt, une ambiance accompagnée de belles mélodies jouées d'un instrument populairement adoucissant, à vous de voir ce chef-d'œuvre classe.
Les amateurs de chair et de vin dégoulinant à volonté devront repassés, une pause détente cool pour le maître sans ses petits monstres au splash plongeon.
Honneur au Roi et Reine de la forêt, une ambiance accompagnée de belles mélodies jouées d'un instrument populairement adoucissant, à vous de voir ce chef-d'œuvre classe.
Les amateurs de chair et de vin dégoulinant à volonté devront repassés, une pause détente cool pour le maître sans ses petits monstres au splash plongeon.
Du cinema comme on en fait plus, cultissime et nullissime a la fois. 2h25 quand meme, sur une histoire de motards vivant comme des chevaliers. Surement le film de Romero le plus poetique.
AMCHI
Ce n'est pas un grand film mais il est réellement original de plus il bénéficie de la présence du toujours excellent Ed Harris.
Quelques années après Zombie, Romero tourne ce petit film méconnu. C'est l'histoire d'une petite troupe de nomades qui vivent de leurs représentations de joutes motorisés. La particularité de cette troupe est de vivre selon les codes d'honneur de la chevalerie, l'amitié et le sens de la communauté. Cela donne une atmosphère anachronique de chevaliers des temps modernes vivant comme au temps du roi Arthur dans l'Amérique des années 80. S'en suit une aventure médiéval moderne avec course au pouvoir, trahison, amour et querelles.
Ed Harris y incarne le Roi, fer de lance de cette troupe et guide spirituel.
Original et inattendu, ce film est rafraîchissant, parfois lent, c'est vrai, mais l'on se prend à aimer cette troupe pour leur fougue, leur soif de liberté.
Ed Harris y incarne le Roi, fer de lance de cette troupe et guide spirituel.
Original et inattendu, ce film est rafraîchissant, parfois lent, c'est vrai, mais l'on se prend à aimer cette troupe pour leur fougue, leur soif de liberté.
Pendant une grande partie de Knightriders il n'y a pas vraiment d'histoire Il y a de longues scènes où tous les personnages sont en ectase sans raison. Il y a trop de longues scènes de tournois trop parce que malgré le caractère impressionnant des cascades elles sont filmées et montées de telle sorte que toute tension dramatique est perdue pour le spectateur. Lorsqu'une intrigue est tentée elle n'est généralement pas très bien expliquée. Les personnages vont et viennent sans beaucoup d'explications et il y a des personnages majeurs dans l'histoire dont on ne sait jamais rien. Il y a des moments où l'histoire devient un peu plus intéressante et cohérente mais ils sont trop rares et toute la bonne volonté qu'ils engendrent est généralement démolie dans les deux scènes suivantes. Le montage est l'un des pires que j'ai jamais vu dans un film dit majeur. De nombreuses scènes semblent avoir été assemblées au hasard comme si le monteur avait littéralement jeté des plans en l'air dans la salle de montage et les avait réassemblé au fur et à mesure qu'il les comprenait. Le jeu de tous les acteurs est uniformément mauvais. La seule personne que j'ai appréciée est Stephen King et il n'a fait qu'un caméo de 90 secondes au total à l'écran. Ed Harris surjoue de façon ridicule. Tom Savini est trop souvent maladroit. Romero a apparemment dit à tout le monde de jouer le film aussi sérieusement qu'une crise cardiaque (seul King n'a pas écouté) et cela a pour effet de rendre chaque personnage ennuyeux ainsi que de rendre l'histoire intrinsèquement absurde avec des personnages apparemment fous mais qui ne sont pas drôle...
Bon film à budget moyen, qui est assez classique par rapport au cinéma de cette époque-là. Il se distingue par les thèmes abordés (moto, moyen-âge et marginaux).
Bonne photographie et interprétation, avec notamment un solide Ed Harris dans un de ses premiers rôles.
Mention spéciale à la musique et aux cascades.
Vu en 2024.
Bonne photographie et interprétation, avec notamment un solide Ed Harris dans un de ses premiers rôles.
Mention spéciale à la musique et aux cascades.
Vu en 2024.
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