Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
De la conquête organise une plongée qui ne laisse pas l’histoire à sa place, et se refuse à susciter un sentiment de clôture ou de réparation.
Le Monde
par Cl. F.
Le film fait ainsi résonner le langage fleuri des généraux, des intendants, des écrivains et des théoriciens (Victor Hugo, Ernest Renan, Charles Fourier, Alexis de Tocqueville…), dont on ne découvrira le nom qu’au générique de fin. En une heure et quatorze minutes, Franssou Prenant livre une œuvre d’une densité rare.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Jacques Morice
Avec de modestes moyens, Franssou Prenant, monteuse, réalisatrice et actrice à ses heures (on se souvient d’elle dans Empty Quarter, de Raymond Depardon) a réussi là un travail précieux, tant d’un point de vue cinématographique qu’historique et pédagogique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Un documentaire dont la forme conceptuelle donne force au propos, mais qui aurait gagné en intérêt en diversifiant ses sujets de réflexion.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Nicolas Moreno
Dans cet ensemble un peu trop chargé, les informations sonores empiètent trop souvent sur les différentes prises de vues, à l’image de la séquence d’ouverture où un bateau accoste à Alger, et dont on ne peut sentir la respiration à cause de la voix off.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
De la conquête organise une plongée qui ne laisse pas l’histoire à sa place, et se refuse à susciter un sentiment de clôture ou de réparation.
Le Monde
Le film fait ainsi résonner le langage fleuri des généraux, des intendants, des écrivains et des théoriciens (Victor Hugo, Ernest Renan, Charles Fourier, Alexis de Tocqueville…), dont on ne découvrira le nom qu’au générique de fin. En une heure et quatorze minutes, Franssou Prenant livre une œuvre d’une densité rare.
Télérama
Avec de modestes moyens, Franssou Prenant, monteuse, réalisatrice et actrice à ses heures (on se souvient d’elle dans Empty Quarter, de Raymond Depardon) a réussi là un travail précieux, tant d’un point de vue cinématographique qu’historique et pédagogique.
Les Fiches du Cinéma
Un documentaire dont la forme conceptuelle donne force au propos, mais qui aurait gagné en intérêt en diversifiant ses sujets de réflexion.
Première
Dans cet ensemble un peu trop chargé, les informations sonores empiètent trop souvent sur les différentes prises de vues, à l’image de la séquence d’ouverture où un bateau accoste à Alger, et dont on ne peut sentir la respiration à cause de la voix off.