Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un joli film, lumineux et tendu.
Femme Actuelle
par La Rédaction
On ne saurait trop recommander ce portrait de femme, où l’humour et la gravité se mêlent en permanence, comme dans la vie.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Morgan Simon, dans son portrait de mère et de femme, insuffle de la douceur dans la douleur.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Tout n’est pas réussi, mais ce lumineux conte social n’en est pas moins touchant et attachant.
Le Parisien
par Catherine Balle
Un drame inattendu, élégant et très touchant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Morgan Simon dépeint les relations toxiques entre une quinquagénaire borderline et son fils. Malgré un argument propice à toutes les complaisances, son film est une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ouest France
par Pascale Vergereau
Valeria Bruni Tedeschi ne surprend pas beaucoup, mais reste assez touchante (...).
Public
par Emilie Fontaine
Un duo aussi explosif que touchant.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un portrait de mère, de femme, au milieu du théâtre de la vie où enfin, les malentendus et les stéréotypes s’estompent au bénéfice d’une société du vivre ensemble. « Une vie rêvée » est magnifié par deux grandes comédiennes : Valéria Bruni-Tedeschi et Lubna Azabal.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Un peu long, le film est néanmoins déployé dans une mise en scène organique plutôt réussie, avec un beau travail sur les cadres et sur la lumière. Valeria Bruni-Tedeschi, bouleversante de justesse, prend à bras-le-corps ce personnage de femme pauvre et perdue, sacrificielle mais vivante, portée par le rêve, en lui insufflant une fantaisie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Sur fond de déclassement, un portrait sur un fil ténu qui se veut réaliste et positif, pour écrire de nouveaux possibles.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Clément Colliaux
Entre chronique familiale et drame social, le film de Morgan Simon sur la relation toxique d’une mère et son ado ingrat ne décolle pas.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Dans ce huis clos de cité qui finit par craquer, les curseurs émotionnels sont toujours hauts, mais justes, sur fond de magie de Noël.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Positif
par Frédéric Mercier
"Compte tes blessures" était un premier long métrage impoli, le second troque l’impolitesse pour l’impudeur avec un volontarisme frondeur et une sincérité un peu intimidante d’où émergent quelques fulgurances à la limite du fantastique.
Première
par Thierry Chèze
On pourrait reprocher à Simon d’arpenter des sillons déjà beaucoup explorés par le cinéma français. Mais il réussit à s’en échapper en introduisant un troisième personnage venant bousculer le duo. La patronne du bar du quartier de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Hélène Marzolf
On peut trouver l’issue de l’histoire un peu angélique, mais le regard porté sur cette femme par le réalisateur – qui dit s’être inspiré de sa propre mère – est aussi une déclaration d’amour sincère et pleine de panache. Une ode aux renouveaux tardifs et à la solidarité des laissés-pour-compte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Robin Vaz
L’émotion reste à distance : impossible de voir Nicole derrière l’actrice grimée en chômeuse, qui joue jusqu'à l'absurde avec un ensemble de marqueurs sociaux archétypaux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Isabelle Danel
Entre chronique sociale et conte de Noël avec bonne fée déguisée en patronne de bar (Lubna Azabal, parfaite), le cœur de ce film autobiographique balance sans jamais trouver son ton.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Cet étouffant portrait d’une mère à la dérive porté par Valeria Bruni-Tedeschi prend un tour lumineux dans sa toute dernière partie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par J. Ma.
On partait sur un film social moyennement subtil, on aboutit à quelque chose de plus surprenant : un improbable conte de fées, dans lequel l’auteur rend un impertinent hommage à sa propre mère.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Sud Ouest
par La Rédaction
Par cette romance, on sent la volonté du réalisateur de montrer qu’une éclaircie peut survenir à tout moment, mais l’ensemble est si naïf que l’on peine à être concerné par ce conte aussi lourd que morose…
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
S’il n’est pas exempt de défauts, ce mélo familial un peu foutraque les compense par son évidente sincérité, un regard bienveillant sur son héroïne gratinée.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un joli film, lumineux et tendu.
Femme Actuelle
On ne saurait trop recommander ce portrait de femme, où l’humour et la gravité se mêlent en permanence, comme dans la vie.
Le Dauphiné Libéré
Morgan Simon, dans son portrait de mère et de femme, insuffle de la douceur dans la douleur.
Le Journal du Dimanche
Tout n’est pas réussi, mais ce lumineux conte social n’en est pas moins touchant et attachant.
Le Parisien
Un drame inattendu, élégant et très touchant.
Les Echos
Morgan Simon dépeint les relations toxiques entre une quinquagénaire borderline et son fils. Malgré un argument propice à toutes les complaisances, son film est une réussite.
Ouest France
Valeria Bruni Tedeschi ne surprend pas beaucoup, mais reste assez touchante (...).
Public
Un duo aussi explosif que touchant.
aVoir-aLire.com
Un portrait de mère, de femme, au milieu du théâtre de la vie où enfin, les malentendus et les stéréotypes s’estompent au bénéfice d’une société du vivre ensemble. « Une vie rêvée » est magnifié par deux grandes comédiennes : Valéria Bruni-Tedeschi et Lubna Azabal.
Franceinfo Culture
Un peu long, le film est néanmoins déployé dans une mise en scène organique plutôt réussie, avec un beau travail sur les cadres et sur la lumière. Valeria Bruni-Tedeschi, bouleversante de justesse, prend à bras-le-corps ce personnage de femme pauvre et perdue, sacrificielle mais vivante, portée par le rêve, en lui insufflant une fantaisie.
Les Fiches du Cinéma
Sur fond de déclassement, un portrait sur un fil ténu qui se veut réaliste et positif, pour écrire de nouveaux possibles.
Libération
Entre chronique familiale et drame social, le film de Morgan Simon sur la relation toxique d’une mère et son ado ingrat ne décolle pas.
Marie Claire
Dans ce huis clos de cité qui finit par craquer, les curseurs émotionnels sont toujours hauts, mais justes, sur fond de magie de Noël.
Positif
"Compte tes blessures" était un premier long métrage impoli, le second troque l’impolitesse pour l’impudeur avec un volontarisme frondeur et une sincérité un peu intimidante d’où émergent quelques fulgurances à la limite du fantastique.
Première
On pourrait reprocher à Simon d’arpenter des sillons déjà beaucoup explorés par le cinéma français. Mais il réussit à s’en échapper en introduisant un troisième personnage venant bousculer le duo. La patronne du bar du quartier de son héroïne.
Télérama
On peut trouver l’issue de l’histoire un peu angélique, mais le regard porté sur cette femme par le réalisateur – qui dit s’être inspiré de sa propre mère – est aussi une déclaration d’amour sincère et pleine de panache. Une ode aux renouveaux tardifs et à la solidarité des laissés-pour-compte.
Critikat.com
L’émotion reste à distance : impossible de voir Nicole derrière l’actrice grimée en chômeuse, qui joue jusqu'à l'absurde avec un ensemble de marqueurs sociaux archétypaux.
L'Obs
Entre chronique sociale et conte de Noël avec bonne fée déguisée en patronne de bar (Lubna Azabal, parfaite), le cœur de ce film autobiographique balance sans jamais trouver son ton.
La Croix
Cet étouffant portrait d’une mère à la dérive porté par Valeria Bruni-Tedeschi prend un tour lumineux dans sa toute dernière partie.
Le Monde
On partait sur un film social moyennement subtil, on aboutit à quelque chose de plus surprenant : un improbable conte de fées, dans lequel l’auteur rend un impertinent hommage à sa propre mère.
Sud Ouest
Par cette romance, on sent la volonté du réalisateur de montrer qu’une éclaircie peut survenir à tout moment, mais l’ensemble est si naïf que l’on peine à être concerné par ce conte aussi lourd que morose…
Télé 7 Jours
S’il n’est pas exempt de défauts, ce mélo familial un peu foutraque les compense par son évidente sincérité, un regard bienveillant sur son héroïne gratinée.