Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Circé Faure
La manière dont Fainéant·es interroge le sens politique de la vulnérabilité avoisine le questionnement que Judith Butler reprenait à Adorno en 2012 : "Comment mener une vie bonne dans une vie mauvaise ?" S’il n’apporte pas de solution confortable, le fou rire absurde de Djoul et de son père autour du mot "travail" déjoue les réponses hâtives.
Culturopoing.com
par Alexandre Lebrac
Embarquant son spectateur au cœur d’un mode de vie alternatif fait de fêtes et de système D, Fainéant.e.s s’impose ainsi comme un vibrant hymne à la liberté portée par deux personnages hors normes et fiers de l’être, qu’on ne comprend pas toujours, mais dont l’amitié plus forte que tout ne peut qu’émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Des filles à la Varda, sans toit, ni loi.
Franceinfo Culture
par Mohamed Berkani
Fainéant.es, un film authentique, tendre et violent sur l’amitié, la sororité et la liberté. Éblouissant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Pablo Patarin
Une création émouvante où la fiction assume sa proximité avec le documentaire.
L'Obs
par Isabelle Danel
Fainéant·es est un magnifique voyage parmi les travailleurs saisonniers, les punks à chien, les je-m’en-foutistes et les fêtards invétérés. Une plongée humaniste et joyeuse qui nous dessille les yeux et nous ouvre le cœur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Les héroïnes de Dridi, Nina et Djoul, sont comme des petites sœurs des deux héros de Sur la route de Jack Kerouac, Sal Paradise et Dean Moriarty.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une ode dionysiaque et vibrante à la liberté et à l’amour.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Dans un geste fort de mise en scène politique, Karim Dridi montre sans angélisme ceux que le cinéma laisse d’habitude hors cadre, deux femmes tendance punk à chien incarnées par des actrices inconnues qui s’embarquent dans un road-trip au son de tôle et d’accordéon.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Cécile Mury
Ce très beau film ne fait pas exception, road-movie à la fois solaire et violent, doux et heurté, double portrait de femmes insolentes, attachantes, vibrantes, dignes, drôles, inoubliables.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
À travers l’itinéraire buissonnier que forment les vies de Nina et Djoul, le cinéaste nous laisse libres de saisir l’étendue ambiguë de leur lien, dans un bricolage précaire, mais émouvant de vrai et de faux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Pierre Eisenreich
Karim Dridi transcende la fiction pour la rendre totalement documentaire.
Télé Loisirs
par S.O.
Habitué à filmer les individus en marge, Karim Dridi brosse un portrait sans jugement de ces "punks à chien" peu vus au cinéma, interprétés par des acteurs criants de vérité. On aurait préféré qu'il le fasse avec un récit moins flottant.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un périple hors des sentiers battus pour célébrer la liberté et le droit à la différence.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par M. Jo.
Si la personnalité des deux actrices éclabousse l’écran, le road-movie aurait gagné à être aussi fou et subversif que ses héroïnes – et pourquoi pas, à tenter un remake contemporain des Valseuses.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Marianne
par Olivier De Bruyn
Ce portrait de deux jeunes femmes hors norme s’abîme dans les poncifs vociférants. Karim Dridi a été bien plus convaincant par le passé.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La rédaction
Un road-movie qui se perd dans une écriture de personnages trop caricaturaux pour qu'on s'attache autant à elles que l'ambitionne Karim Dridi.
Première
par Nicolas Moreno
Dommage que la dimension politique de ces destins n’embrase jamais la mise en scène pour se cantonner à quelques symboles : un doigt jeté à un flic ou un slogan antiraciste sur un pull…
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
La manière dont Fainéant·es interroge le sens politique de la vulnérabilité avoisine le questionnement que Judith Butler reprenait à Adorno en 2012 : "Comment mener une vie bonne dans une vie mauvaise ?" S’il n’apporte pas de solution confortable, le fou rire absurde de Djoul et de son père autour du mot "travail" déjoue les réponses hâtives.
Culturopoing.com
Embarquant son spectateur au cœur d’un mode de vie alternatif fait de fêtes et de système D, Fainéant.e.s s’impose ainsi comme un vibrant hymne à la liberté portée par deux personnages hors normes et fiers de l’être, qu’on ne comprend pas toujours, mais dont l’amitié plus forte que tout ne peut qu’émouvoir.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Des filles à la Varda, sans toit, ni loi.
Franceinfo Culture
Fainéant.es, un film authentique, tendre et violent sur l’amitié, la sororité et la liberté. Éblouissant.
L'Humanité
Une création émouvante où la fiction assume sa proximité avec le documentaire.
L'Obs
Fainéant·es est un magnifique voyage parmi les travailleurs saisonniers, les punks à chien, les je-m’en-foutistes et les fêtards invétérés. Une plongée humaniste et joyeuse qui nous dessille les yeux et nous ouvre le cœur.
Le Dauphiné Libéré
Les héroïnes de Dridi, Nina et Djoul, sont comme des petites sœurs des deux héros de Sur la route de Jack Kerouac, Sal Paradise et Dean Moriarty.
Les Fiches du Cinéma
Une ode dionysiaque et vibrante à la liberté et à l’amour.
Libération
Dans un geste fort de mise en scène politique, Karim Dridi montre sans angélisme ceux que le cinéma laisse d’habitude hors cadre, deux femmes tendance punk à chien incarnées par des actrices inconnues qui s’embarquent dans un road-trip au son de tôle et d’accordéon.
Télérama
Ce très beau film ne fait pas exception, road-movie à la fois solaire et violent, doux et heurté, double portrait de femmes insolentes, attachantes, vibrantes, dignes, drôles, inoubliables.
Les Inrockuptibles
À travers l’itinéraire buissonnier que forment les vies de Nina et Djoul, le cinéaste nous laisse libres de saisir l’étendue ambiguë de leur lien, dans un bricolage précaire, mais émouvant de vrai et de faux.
Positif
Karim Dridi transcende la fiction pour la rendre totalement documentaire.
Télé Loisirs
Habitué à filmer les individus en marge, Karim Dridi brosse un portrait sans jugement de ces "punks à chien" peu vus au cinéma, interprétés par des acteurs criants de vérité. On aurait préféré qu'il le fasse avec un récit moins flottant.
aVoir-aLire.com
Un périple hors des sentiers battus pour célébrer la liberté et le droit à la différence.
Le Monde
Si la personnalité des deux actrices éclabousse l’écran, le road-movie aurait gagné à être aussi fou et subversif que ses héroïnes – et pourquoi pas, à tenter un remake contemporain des Valseuses.
Marianne
Ce portrait de deux jeunes femmes hors norme s’abîme dans les poncifs vociférants. Karim Dridi a été bien plus convaincant par le passé.
Ouest France
Un road-movie qui se perd dans une écriture de personnages trop caricaturaux pour qu'on s'attache autant à elles que l'ambitionne Karim Dridi.
Première
Dommage que la dimension politique de ces destins n’embrase jamais la mise en scène pour se cantonner à quelques symboles : un doigt jeté à un flic ou un slogan antiraciste sur un pull…