AlloCiné
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Votre avis sur Imaginary ?
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J'ai bien aimé ce film. Je m'attendais vraiment rien de ce film encore moins venant d'une peluche (c'est vraiment pas ce qui me fait peur) mais le film a su me faire des frayeur avec certaines scènes.
Une grosse déception..... Malgré qques moments de suspense trop rares et trop courts, ce film n'a absolument RIEN d'un film NI d'horreur NI d'épouvante, il s'agit surtout d'une espèce de conte allégorique, pseudo fantastique, où les ersatz de symboles sont de lointains stéréotypes, relevant bien souvent du grotesque hélas (genre vieux monstres pour enfants)..... Bref, le prix d'une séance et 1h30 de perdus, en raison notamment du classement aguicheur mais surtout FAUX du genre du film !!.....
J'ai été captivée du début à la fin par ce film d'horreur fascinant qui m'a transportée dans un univers à la fois enfantin et épouvantable. L'histoire est si bien construite, mêlant habilement l'imaginaire à la terreur, que j'ai été totalement absorbée dès les premières minutes. Les effets spéciaux sont remarquablement travaillés, ajoutant une dimension supplémentaire à cette expérience cinématographique déjà intense.
Je suis sincèrement étonnée par les commentaires et les notes négatives que ce film a pu recevoir. Pour ma part, je l'ai trouvé extraordinaire à bien des égards. Dans un paysage cinématographique où les films d'horreur peinent parfois à susciter une véritable angoisse, celui-ci se démarque par son originalité et son pouvoir d'évocation.
En tant que spectatrice exigeante, je peux affirmer que ce film répond aux attentes les plus élevées. Il offre une histoire recherchée, des personnages intrigants et des moments de suspense parfaitement exécutés. Je le recommande vivement à toutes les amatrices de frissons et d'aventures cinématographiques hors du commun.
Je suis sincèrement étonnée par les commentaires et les notes négatives que ce film a pu recevoir. Pour ma part, je l'ai trouvé extraordinaire à bien des égards. Dans un paysage cinématographique où les films d'horreur peinent parfois à susciter une véritable angoisse, celui-ci se démarque par son originalité et son pouvoir d'évocation.
En tant que spectatrice exigeante, je peux affirmer que ce film répond aux attentes les plus élevées. Il offre une histoire recherchée, des personnages intrigants et des moments de suspense parfaitement exécutés. Je le recommande vivement à toutes les amatrices de frissons et d'aventures cinématographiques hors du commun.
Très bonne intrigue. Le suspens est bien maintenu malgré que les effets spéciaux sont parfois un peu stéréotypés des films d’horreur. Je recommande!!
🎬 RENGER 📼
Lorsque Jessica retourne dans sa maison d’enfance, sa belle-fille se lie d’amitié avec Chauncey. Sauf que son attachement avec cet ours en peluche va prendre une tournure inquiétante…
Deux mois plus tôt, on avait déjà eu droit à l’anémique et lénifiant Night Swim (2024), il n’y avait donc rien à espérer de la part de ce film, puisque c’est clairement devenu une habitude, les productions estampillées Blumhouse (Jason Blum) sont rarement gage de qualité. A la réalisation, on retrouve Jeff Wadlow, à qui l’on doit le merdier indigeste et bordélique qu’était Nightmare Island (2020).
Le film traite à la fois des traumatismes liés à l’enfance et des amis imaginaires (via le “paracosme”, un monde chimérique). Si l’idée de départ pouvait s’avérer être intéressante, finalement, en écopant d’une classification “PG-13”, il n’y a absolument rien à en attendre, tant le film s’avère parfaitement inoffensif et aseptisé.
L'écriture est fastidieuse (comment peuvent-ils avoir été 3 pour nous torché une histoire pareille ?) et ses personnages deviennent rapidement insupportables car engoncés dans leurs propres caricatures.
Imaginary (2024) nous entraîne dans son sillage, celui d’avoir la garantie de pouvoir faire la sieste en paix pendant plus de 90min (en l’absence de jump-scare ou d’une quelconque tension), un conseil, prévoyez un bon oreiller.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Deux mois plus tôt, on avait déjà eu droit à l’anémique et lénifiant Night Swim (2024), il n’y avait donc rien à espérer de la part de ce film, puisque c’est clairement devenu une habitude, les productions estampillées Blumhouse (Jason Blum) sont rarement gage de qualité. A la réalisation, on retrouve Jeff Wadlow, à qui l’on doit le merdier indigeste et bordélique qu’était Nightmare Island (2020).
Le film traite à la fois des traumatismes liés à l’enfance et des amis imaginaires (via le “paracosme”, un monde chimérique). Si l’idée de départ pouvait s’avérer être intéressante, finalement, en écopant d’une classification “PG-13”, il n’y a absolument rien à en attendre, tant le film s’avère parfaitement inoffensif et aseptisé.
L'écriture est fastidieuse (comment peuvent-ils avoir été 3 pour nous torché une histoire pareille ?) et ses personnages deviennent rapidement insupportables car engoncés dans leurs propres caricatures.
Imaginary (2024) nous entraîne dans son sillage, celui d’avoir la garantie de pouvoir faire la sieste en paix pendant plus de 90min (en l’absence de jump-scare ou d’une quelconque tension), un conseil, prévoyez un bon oreiller.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Quel dommage , une idée originale à la base mais un scénario qui ne suit pas , des effets spéciaux médiocres et des acteurs adultes peu convaincants . ajoutez à ça une fin de film qui se cherche , à tel point que la lumière était revenu dans la salle avant le point final de cette mésaventure bien peu horrifique .
Dire que c un film avec un réalisateur est une honte vraiment des tik tok horreur font plus peur un film ennuyeux qui raconte rien pendant 1h40 j'ai perdu 1h40 et 14€ de place de cinéma honteux
Bon bon bon, l'idée de cette ami imaginaire repose sur cette ours qui va petit à petit devenir plus que préoccupant enfin qui devrait agiter le film. Mais le soucis est qu'il rate quasi 90% des scènes qui devrait faire flipper, soit il suggère mal ou quand il faudrait un peu de gore et bien non on reste beaucoup beaucoup trop sage. Pourtant il y avait matière a faire quelque chose de pas mal, le monde imaginaire (trop vite bâclée) et la surprise avec l'ours (j'avoue pas vu venir ce coup) dommage...c'est raté...
NOTE : 3/10
NOTE : 3/10
Il y a de l'idée .... Mais ca ne prend pas. L'idée de base est originale mais le scénario aurait pu être bien meilleur. Je pense que la VF est très mauvaise, certainement mieux en VO. Un peu trop de jump scare a mon gout, ca donne l'image d'un film d'horreur un peu cliché. Malgré cela, je ne peux pas dire que je me suis ennuyée, mais ce film ne m'a clairement pas marqué.
Convenu, pop-corn avec des personnages creux, le film rate malheureusement tout ce qu'il entreprend. En effet, les bonnes idées que Imaginary a, sont au mieux sous exploitées comme la scène de cache-cache sous la couette ou le Twist en milieu de film. Le pire étant le monde parallèle qui est vraiment loupé ! Dommage. De plus le film est beaucoup trop sage et ne fait malheureusement pas assez peur...
blumhouse, pourquoi.. j'ai pas envie de passer des plombes à expliquer en quoi c'est naze mais c'est vraiment hyper naze. et pourtant j'ai bien aimer action ou veritée et même nightmare island. histoire bête, pas toujours censée et feignante, effet visuels assez cheap, les effets pratique font carton à fond. les acteurs sont paumée et 4 personnages sur 6 ne servent à absolument RIEN dans le film. et ca fait vraiment pas peur, c'est risible défois carrément. idem pour la fin qui est pas terrible aussi. ya a peine de quoi se marrer avec des potes, à éviter.
Film catastrophique ! A évitez un film d'horreur pour enfants !
Sans âme j'ai quitté la salle avant la fin c'était un supplice
Sans âme j'ai quitté la salle avant la fin c'était un supplice
J’ai beaucoup aimé , C’est un film un peu original qui nous plonge en 3e partie du film dans un univers qu’on avait pas forcément envisagé être immergé. À la différence de ces films où on entrevoient à peine le mal sans vraiment jamais vraiment l’expérimenté, ici on plonge dans le monde imaginaire et on y reste une bonne partie du film. Et c’est plutôt réussi.
Un nouveau film d'horreur Blumhouse toujours avec les même histoires, la même manière de filmer, aucun tension, les personnages toujours aussi vides et un scénario toujours ultra prévisible.
Imaginary: Ours de Malheur ou Peluche du Diable?
Dans "Imaginary", Jeff Wadlow nous offre un retour dans le monde terrifiant des jouets de l'enfance, mais cette fois, l'ours en peluche n'est pas là pour des câlins et des bisous. Alice, la belle-fille un peu trop proche de son nounours, nous entraîne dans une aventure où les rires se transforment en cris.
Wadlow semble jouer au cache-cache avec nos nerfs, mais malheureusement, les jumpscares ressemblent plus à des chatouilles qu'à des véritables frayeurs. On se retrouve à regarder le cadran de notre montre plus souvent que l'écran, en attendant désespérément le début du vrai frisson.
Les protagonistes sont aussi plats qu'une feuille de papier, mais c'est Alice qui vole la vedette avec son attachement malsain pour Chauncey. On se demande parfois si elle préfère l'ours en peluche ou son propre cerveau, car ses décisions sont aussi prévisibles qu'un épisode de "Scooby-Doo".
Juste quand on pense que le film va se crasher comme un vaisseau spatial sans carburant, Wadlow nous offre quelques pirouettes scénaristiques dignes d'un épisode de "Black Mirror". Malheureusement, ces révélations arrivent trop tard pour sauver le navire de l'ennui.
"Imaginary" aurait pu être un chef-d'œuvre de l'horreur moderne, mais il se perd dans les méandres d'une mise en place interminable et des personnages aussi charismatiques qu'une boîte de conserve. Cependant, pour les amateurs de jumpscares sans saveur, c'est toujours mieux qu'une soirée avec Jar Jar Binks.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Dans "Imaginary", Jeff Wadlow nous offre un retour dans le monde terrifiant des jouets de l'enfance, mais cette fois, l'ours en peluche n'est pas là pour des câlins et des bisous. Alice, la belle-fille un peu trop proche de son nounours, nous entraîne dans une aventure où les rires se transforment en cris.
Wadlow semble jouer au cache-cache avec nos nerfs, mais malheureusement, les jumpscares ressemblent plus à des chatouilles qu'à des véritables frayeurs. On se retrouve à regarder le cadran de notre montre plus souvent que l'écran, en attendant désespérément le début du vrai frisson.
Les protagonistes sont aussi plats qu'une feuille de papier, mais c'est Alice qui vole la vedette avec son attachement malsain pour Chauncey. On se demande parfois si elle préfère l'ours en peluche ou son propre cerveau, car ses décisions sont aussi prévisibles qu'un épisode de "Scooby-Doo".
Juste quand on pense que le film va se crasher comme un vaisseau spatial sans carburant, Wadlow nous offre quelques pirouettes scénaristiques dignes d'un épisode de "Black Mirror". Malheureusement, ces révélations arrivent trop tard pour sauver le navire de l'ennui.
"Imaginary" aurait pu être un chef-d'œuvre de l'horreur moderne, mais il se perd dans les méandres d'une mise en place interminable et des personnages aussi charismatiques qu'une boîte de conserve. Cependant, pour les amateurs de jumpscares sans saveur, c'est toujours mieux qu'une soirée avec Jar Jar Binks.
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