Avis : Imaginary - Page 3

J’ai beaucoup aimé , C’est un film un peu original qui nous plonge en 3e partie du film dans un univers qu’on avait pas forcément envisagé être immergé. À la différence de ces films où on entrevoient à peine le mal sans vraiment jamais vraiment l’expérimenté, ici on plonge dans le monde imaginaire et on y reste une bonne partie du film. Et c’est plutôt réussi.

Ce film n'est pas si mal que ça. Le début est assez simple et stéréotypé.(C'est entièrement voulu pour laisser le doute plané, à mon avis.. .) C'est donc une famille qui arrive dans une nouvelle maison, et l'on nous parle de poupée et de possession 😁

Je vois d'emblée que beaucoup de monde compare çe film à, Chucky ou Annabelle, ou même Five night's at Freddy's! Voir Dead Silence, car pour tous fans de films d'horreur qui connaît Annabelle (Je vois dans les critiques que c'est LE film de référence) ,on devrait savoir qu'à la base, James Wan a créé Dead Silence. Tout de même une poupée garçon !! Donc les comparaisons avec Annabelle sont basse et inutile. C'est une histoire de poupée, donc forcément ça ressemble au reste. Non je ne trouves pas.
Et ce n'est pas une histoire de poupée c'est une histoire d'ourson cette fois-ci. 🤭

Donc au début, l'histoire commençe tranquillement, on nous développe un peu les personnages. La belle-mère, la fille et la deuxième fille. Le père est un peu mis de côté car Il part en tournée pour le travail et il ne voit pas l'ourson imaginaire. Ce qui est très bien fait, car on ne sait pas que la belle-mère est la seule à le voir .
Les scénaristes font arrivés le rôle d'une vieille dame qui est plutôt bien jouée.On sent d'emblée que cette dame peut avoir un potentiel rôle dans le futur du film. Et enfaite, elle a belle et bien son rôle, sachant que c'était la baby sitter de la belle mère, elle connaît son histoire et un petit bout des événements étrange de son passé. Et on revoit cette actrice à la fin. Elle voulait enfaite retourner là-bas pour comprendre le monde imaginaire
L'histoire est aussi légèrement centrée sur le père de la belle mère. On voit qu'il connait en partie certains événements passés.

La moitiée du film devient intéressante avec l'histoire sur le passé de la belle mère, et l'histoire de son père est encor plus développée. Cela approfondie au passage un peu l'histoire de l'ourson.

Petite mention pour la scène du monologue de la belle mère au pied du lit de sa fille. La, il y a personne dans le lit à part l'ourson, pas mal

Au niveau de l'horreur, pour le moment c'est dou mais avec l'arrivée deLa liste du demon de l'ourson , on commence à ressentir l'horreur. Ce film n'est pas dans l'horreur des sursauts superficielles, ou des effets trop synthèse, c'est de l'horreur tourné vers le "sadisme" . Ce qui est plutot horreur psychologique et effrayent. Le démon demende à la fille de se faire du mal.
L'arrivée de la psychiatre au milieu du film est bien choisi, certes c'est stereotypé, mais çela évoque les "troubles psychologique de l'enfant", plus précisément, le paracosme.
La scène ou la psychiatre pose les quesions à la petite est mémorable et unique La petite a le visage face caméra et l'ourson est derrière. Ils échangent une conversation mais on voit que la petite ne parle pas, qu'il y a bien une autre voi et la psychiatre parle de ventriloque.(Référence:Ventriloque: James Wan: Dead Silence)
Le rôle de la belle mère devient alors plus important et le film s'accélère un peu.
On commance alors à entrer dans le monde de jamais, jamais.

Au 3/4 du film il y a une scène où la baby sitter de la belle-mère raconte l'histoire. C'est là le moment de la révélation, Les choses sont expliquées sur le démon et on comprend mieu le film. La connexion entre un ami imaginaire et un goss. Ça approfondi le scénario.

Les effets spéciaux sont bien fait, sauf quand on voit le monstre à la toute fin. Le monstre ours est pas trop mal fait non plus. Par contre, il est vrai que le dernier avec plusieurs yeux est mal fait. Ça enleve une demi étoile je dirais. Le monde imaginaire est plutôt bien.

Il y a un bon rebondissement à la fin.Quand ils sortent du monde alternatif, enfaîte, elle est restée bloquée à l'intérieur ....

Dans l'enssemble j'ai eu un peu de mal à me mettre dedans au début et puis finalement ça va. Ce n'est pas un film 5 étoiles mais il ne mérite pas 2 étoiles non plus.

4.5 car cette moyenne est minable pour ce film avec pourtant un scénario original, et un casting au couleurs mixte qui passent bien. Ça change.

Je re-regarderais pas forcément de suite mais pourquoi pas le faire découvrir à des pote en soiree tranquil. Je rejoins certains autres commentaires sur le fait que ce n'est pas du gore, et il n'y a pas de jump-scare a tout va. Mais ça ne me gene pas.

Ont ce croirait dans un conte de fée plutôt que dans un film d honneur 🤣🤣même les effets spéciaux sont nuls le scénario bidon. enfin une catastrophe ce film 🙄🙄

Ce qui est imaginaire ne peut pas faire de mal, ou pas... Jessica, auteure d'une série de livres pour enfants, emménage dans la maison où elle a grandi avec ses belles-filles Alice et Taylor, et leur père Jessica. L'occasion d'un nouveau départ pour eux qui ont un passé chargé... Alors qu'ils sont tous heureux de revoir sourire la petite dernière, ils ne s'imaginent pas que ça cache quelque chose de plus sinistre. Le mélange d'épouvante et de drame, que l'on entrevoit ici, m'a toujours plus et se marie bien, mais on ne croit jamais que cela pourrait être autre chose qu'une force sinistre. Pour le coup, "Imaginary" est un film d'horreur extrêmement paresseux et générique que ce soit au niveau du scénario ou de l'atmosphère. Il n'y a aucune volonté de créer du suspens ou des fausses pistes. L'histoire est creuse et artificielle malgré quelques éléments intéressants sur la perception de l'ami imaginaire en fonction des cultures. Quant à l'ambiance, je n'ai pas le souvenir d'un seul moment un tout petit peu angoissant. Ce n'est pas catastrophique ou désagréable à suivre, mais ce n'est pas vraiment pas terrible.

Imaginary n'est qu'un énième scenario sur le sujet archi exploité des rêves maléfiques et l'imagination débordante des enfants. Pourtant l'histoire accroche grâce à une bonne réalisation et des acteurs plutôt convaincants. Quelques belles surprises surviennent quand on ne s'y attend pas, dommage que la dernière partie du film bascule dans le fantastique et une certaine facilité scénaristique.

Film horrifique, coécrit et réalisé par Jeff Wadlow, Imaginary est un long-métrage extrêmement mauvais. L'histoire nous fait suivre Jessica, une femme qui retourne vivre dans sa maison d'enfance avec son compagnon et les deux enfants de celui-ci, une jeune fille et une adolescente. Seulement, très rapidement, Alice, la plus petite fille, découvre dans le sous-sol un ours en peluche auquel elle va s'attacher et le nommer Chauncey. Mais, petit à petit, le comportement d'Alice devient de plus en plus inquiétant et Jessica comprend alors que Chauncey est bien plus qu'un simple jouet. Ce scénario s'avère malheureusement être un véritable supplice à visionner pendant toute sa durée d'un peu plus d'une heure et demie. Pourtant, l'introduction est plutôt prometteuse et nous plonge immédiatement dans un climat d'horreur mais cela ne dure pas. Plus les minutes défilent et plus on s'ennuie ferme devant cette intrigue convenue au goût de déjà-vu avec cet ourson maléfique. La structure est toujours la même avec une fausse montée en tension et en suspens qui accouche d'une très courte séquence angoissante avant de retomber comme un soufflet. Et cet effet foireux se produit pendant une heure et quart comme une boucle interminable. Résultat, ça devient très vite lassant, soporifique et inintéressant. Il aurait fallu amputer le métrage d'une bonne demi-heure dans cette partie là pour le rendre plus digeste. Il faut attendre les vingt dernières minutes pour que le récit évolue enfin et qu'il se renouvelle. Mais cela est bien trop tard car le mal est fait depuis longtemps. De plus, les scènes horrifiques sont beaucoup trop courtes. On ne peut jamais réellement en profiter et ça lorgne beaucoup trop du côté fantastique. Et puis le sujet de la famille recomposée est abordé maladroitement. Une famille dont les membres sont très loin d'être attachants. Ils sont même carrément antipathiques et clichés, notamment les deux gamines. Des rôles interprétés par une distribution aucunement convaincante composée de DeWanda Wise, Betty Buckley, Tom Payne et Pyper Braun. Tous ces individus ne procurent absolument aucune émotion à travers leurs relations malgré les nombreuses tentatives. La faute notamment à des échanges soutenus par des dialogues explicatifs surlignant les choses pour palier l'exécrable écriture du script. Sur la forme, la réalisation du cinéaste américain se veut très quelconque. Sa mise en scène est plate et sans idées, en plus d'être incapable de produire une quelconque narration visuelle. En conséquence, aucun plan n'est marquant malgré les créatures effrayantes. Il faut dire que l'environnement est aussi très mal exploité et sans aucun cachet. Ces images fades sont accompagnées par une b.o. particulièrement générique dont on ne retiendra aucunes compositions. Celle-ci tente de nous effrayer en jouant avec son propos mais elle aussi fini par se noyer tant tout cela n'est qu'artificiel. Reste une fin attendue nullement inspirée venant mettre un terme à Imaginary, qui, en conclusion, est un film médiocre ne possédant aucune qualité.

Bon petit film prenant. L'histoire est bien menée. Quelques moment effrayants. C'est un film d'horreur tout à fait correct.

Voila un Film réalisé avec un bon cerveau et de l'intelligence , Je commence a le regardé de manière dubitatif et je me dis c'est du déja vu... seulement le meilleur est pour la seconde partie et la... sa devient intéressant... plus le film avance.. plus il est meilleur... Le scénario a etait travaillé pour nous offrir quelque chose de Propre, pour nous faire croire justement que tout est banal.. mais nous donner un sourire de joie arrivais a l'entract... et c'est la que j'apprécie cette mise en scene presque parfaite des acteurs du début a la fin du film.. meme si quelques impressions de timidité sont perceptibles avec une actrice comme la soeur ainée... manque de punch de sa part pour crevé l'écran... La toile de fond est belle... sobre et presque effrayante... quand je commence a me posé des questions sur le devenir de la scene en cours c'est que le film est bon...La photographie est vraiment soignée... le cadrage des scenes sont propres elles aussi.. d'une manière a attiré notre regard sur les murs..mais aussi les idées.. et notre imaginations;.. Bravo... bien joué au réalisateur et au producteur surtout...

Alice (comme Alice au Pays des Merveilles) a un problème avec son ami imaginaire, mais les scénaristes de ce film n'ont quant à eux rien à craindre, ils n'ont aucune imagination. L'affiche ressemble au premier Poltergeist, le scénario aussi, alternant ponctuellement avec quelques effets chipés à un Chucky, Five Nights at Freddy's (pour le nounours bourrin) ou tout autre énième film de jouet tueur avec la comptine enfantine qui va bien (on a l'impression de l'avoir vu mille fois, ce film...). Mais ce pot-pourri de tout ce que le cinéma de l'épouvante a déjà fait ne fonctionne jamais, d'abord par la pudeur incroyable des scènes "chocs" : on ne voit rien. Absolument rien. La main qui est égratignée ? Hors-champ. La mamie spoiler: qui se fait dégommer ? Hors-champ (avec un peu de liquide rouge sous la porte, pour dire qu'elle est morte...). L'ours qui se jette sur le petit ami ?
Ça dure une seconde, on ne comprend même pas ce qu'on a vu, et ça s'arrête (mais pourquoi il ne l'attaque pas vraiment ? Ça n'a aucun sens !). On a l'impression d'avoir 4 ans et demi, avec cet Imaginary qui refuse toute scène violente, et c'est éreintant (1h45 à tenir ? Sans une scène choc ? Eh beh...). On sauve quand même quelques minutes du film, celles du final, avec la
spoiler: marionnette moche du nounours à dents
, désarticulée, qui (quand la caméra veut bien arrêter de se secouer comme un cocotier pour donner plus de tension à sa scène) est plutôt effrayante et bien faite. On gratte donc quelques secondes de vrai monstre, et un twist pas trop mal en milieu de film, pour un Imaginary autrement sans aucune saveur, qui pense que vous avez 4 ans, et surtout sans aucune imagination.

Alors là c'est une farce... je suis rarement passé de deux états si différents pendant un même film ! Et oui car j'ai ADORE le début de cette histoire avec cette petite fille et son ami imaginaire car c'est intrigant, flippant et certains rebondissements sont vraiment excellents mais soudain la petite disparaît et là c'est FINI ! Mais vraiment ça change du tout au tout et ça devient insoutenable d'un coup ! L'histoire devient invraisemblable, les lieux sont à mourir de rire, les acteurs aussi & la fin frise le grotesque et j'en ri aujourd'hui mais hier, devant mon écran, j'étais en colère car je me demande encore comment j'ai pu déchanté au point !!! Pffff c'est la désillusion !

On pense d'abord à un film classique de maison hanté, d'objet hanté. Après avoir La main et Les cartes du mal, et après avoir vu Blue, j'ai pensé maintenant c'est au tour de l'ours en peluche. Finalement la seconde partie est + captivante à l'instant ou elles franchissent la porte. Quelques belles trouvailles. On pense aussi à The hole de Joe Dante. Belle petite surprise au final

Cette dernière production des studios Blumhouse n’est pas la purge annoncée çà et là ! Certes, la mise en place est très longue à s’installer et peu de personnages dégagent de la sympathie alors que d’autres sont carrément des faire-valoir (cf. le père quasi absent tout le métrage), mais la dernière demi-heure est assez sympathique je trouve. Entre l’univers de « Insidious » et celui de la franchise des « Freddy » avec ce monde imaginaire proche de celui des rêves où l’on peut faire ce que l’on veut, il y a de quoi être satisfait. Beaucoup plus en tout cas que devant le scénario un peu paresseux et le côté film d’épouvante dont on attend encore qu’il nous effraie ! Pas incroyable certes, mais pas non plus si désagréable à visionner !

Ce qui fait le plus défaut à Imaginary n’est autre que…l’imagination. Exception faite de l’ouverture fantasmée et de la clausule, qui projette notre héroïne dans un espace cauchemardesque duquel il faut extraire l’enfant ravi par sa peluche – plagiat évident de la saga Insidious –, le long métrage reste constamment à la surface, n’aborde l’exploration intérieure que par le biais de dialogues pompeux et explicitent, subordonnés à une hagiographie de la mère courage intégrée à une famille recomposée. Nous retrouvons là la signature de Jeff Wadlow, tâcheron spécialisé dans l’adaptation de dispositifs prétendument ludiques (le jeu action/vérité, la survie sur l’île fantastique, la confrontation de super-héros amateurs) qu’il exploite comme une pure stratégie commerciale dans une bande-annonce trompeuse puis qu’il dilue dans un film médiocre, dépourvu de mise en scène et de vision singulière.

Que se passe-t-il avec Blumhouse Productions qui enchaîne les mauvais films ?
Après la piscine hantée, c'est au tour de la peluche maléfique. Si quelques jump-scare marchent bien au début, le rythme retombe rapidement. Le scénario est totalement bancal. Finalement, on est plus effrayé par le comportement irresponsable de la belle-mère que par l'ami imaginaire. Le pire reste à venir. Quand le film entame son "second souffle", ça devient consternant. Le monde de l'imaginaire n'a aucun intérêt. Seule petite lumière dans ces ténèbres, la prestation des deux enfants qui donne un minimum d'épaisseur à ce film.

C'est un concept ennuyeux, l'ours est la chose la moins menaçante que j'ai jamais vue, l'intrigue existe à peine et c'est beaucoup trop long. Je dirais que c'est comiquement mauvais, mais cela impliquerait un genre de film "tellement mauvais que c'est bon". C'est presque insultant que Blumhouse puisse s'en tirer en transformant des films comme celui-ci en une sortie en salles. C'est la chose la plus paresseuse et la plus ennuyeuse que j'ai vue depuis des lustres, et il y a des gens quelque part à Hollywood qui en font des millions.