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    Imaginary
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    98 critiques spectateurs

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    RedArrow
    RedArrow

    1 665 abonnés 1 529 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 mars 2024
    Après le tandem infernal des poupées Annabelle & Megan, c'est au tour du tout mignon ours en peluche Chauncey de venir tenter d'imposer sa grosse papatte dans la collection de jouets maléfiques du cinéma d'épouvante contemporain. Mais bon, sous l'égide d'un duo au moins aussi diabolique pour chercher à éliminer nos neurones d'amateurs du genre, Jason Blum et son poulain Jeff Wadlow (responsable des morts cérébrales provoquées par les inénarrables "Action & Vérité" et "Nightmare Island"), le petit faible que l'on a pour Blumhouse et, parfois, la récompense de certaines bonnes surprises qui peuvent émaner de cette machine à cauchemars (littérale ou non) avait néanmoins beaucoup de mal à rivaliser avec le très fort pressentiment que notre regard allait finir aussi vide que celui de Chauncey au terme de la découverte de "Imaginary". Et, devinez quoi, on n'avait pas tort...

    Tout commence évidemment par un inévitable déménagement qui voit, cette fois, une auteure de livres pour enfants venir se réinstaller au sein de la maison de sa prime jeunesse dont elle ne garde que très peu de souvenirs.
    À la tête d'une famille recomposée où elle cherche encore à se faire une place, elle va très vite retrouver l'inspiration pour ses créations grâce à la cadette, fan des histoires de sa belle-mère et bientôt heureuse propriétaire de Chauncey, un ourson sorti de nulle part sans inquiéter personne et prenant une place d'ami imaginaire très importante auprès de sa jeune propriétaire.
    Tout le monde est apparemment très content d'entendre la petite fille parler avec une drôle de voix à son petit compagnon inanimé jusqu'à ce que, bien sûr, la situation prenne des proportions de plus en plus étranges...

    Vous l'aurez sans doute compris, toute la panoplie des conflits à résoudre d'une famille à construire est de sortie, de la façon la plus fainéante et moins subtile qu'il soit ! Une héroïne qui doit cicatriser de son passé pour obtenir un power up de "nouvelle mère", une fille aînée hostile à conquérir, une petite se réfugiant dans un monde pas si imaginaire en vue d'échapper à son trauma... On a vu ça des dizaines de fois, particulièrement chez bon nombre de Blumhouseries, et "Imaginary" nous les expose sans la moindre imagination durant une première heure qui s'y étale plus que de raison tout en étant incroyablement famélique en termes de scènes pensées comme flippantes (on en retiendra peut-être juste la séquence du jeune voisin idiot au possible).

    Et c'en est même un peu dommage car, s'il est très banal dans la composition de son univers surnaturel enfantin proposé et chargé de conduire à la guérison de ses protagonistes insipides, "Imaginary" n'est pas le plus honteux que l'on ait vu en la matière, en particulier venant de la part de Jeff Wadlow qui signe ici peut-être sa "moins pire" oeuvre chez Blumhouse, notamment lors d'une dernière partie qui a un certain potentiel, où l'on entrevoit quelques idées et apparitions susceptibles de se démarquer de la masse... Malheureusement, faute de talent, Wadlow trouve là encore le moyen d'en faire ressortir le minimum syndical à l'écran, se contentant de s'inspirer de références bien plus grandes qu'il ne pourra jamais l'être (au hasard, "Les Griffes de la Nuit" et "Ça") alors qu'un univers débridé de toute rationalité lui tendait les bras pour toutes les folies possibles.

    Pauvre Chauncey, tout dépeluché à cause de cette inexplicable confiance que Jason Blum garde pour un Jeff Wadlow qui ne semble jamais le lui rendre autrement (et surtout pas artistiquement) que par l'aberrante masse de billets verts rapportés encore par ses films au box-office. Non pas que l'ourson avait suffisamment d'atouts entre ses griffes pour être le héros d'un réel bon film mais, guidé par un autre dresseur de cauchemars, il y avait lieu d'imaginer quelque chose de plus efficace et amusant comme spectacle autour de lui. On en parlera autour d'un bon thé avec Chauncey plus tard... tout en grignotant les restes de Jeff Wadlow.
    Alice025
    Alice025

    1 667 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 mars 2024
    Une vraie perte de temps d'être allée voir ce film... Le scénario sur le thème d'un ami imaginaire aux mauvaises intentions est catastrophique et soporifique, rien ne va. La petite fille est une véritable tête à claques et la VF est un désastre. Rien ne fait peur, les pseudos twists dans la partie finale sont ridicules, j'ai passé mon temps à souffler et à regarder l'heure.
    Déjà que la plupart des films d'horreurs qui sortent au cinéma ne sont pas fameux, avec celui-ci on tombe encore plus bas.

    http://cinephile-critique.over-blog.com
    Jean N.
    Jean N.

    265 abonnés 599 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 mars 2024
    La nouvelle daube horrifique des productions Blumhouse (maitre daubier s'il en est !!) est bien navrante.
    Déjà mise en place d'une heure ou il ne se passe absolument rien :la famille recomposée , la maison d'enfance ,l'ado mal dans sa peau, l'ours en peluche pourave , l'ami imaginaire et blablabla ......................
    Et dans la dernière 1/2h là ça pompe à tout va !! Poltergeits,Insidious,Paranormal Activity, Esther et j'en passe !!!
    La petite Alice, tu te languis depuis le début ,que le Démon noir (à 2 balles) l'enlève et quelle nous casse plus les ... !!!
    Le TeddyBear en animatronic est à gerber et des jumpscares prévisibles viennent finir de remplir le cahier des charges de ce ratage abyssal; merci à Jeff Waldow pour ce navet !
    Pourtant le bien pourri " 5 Nigts at Freddy's "avait déjà bien commencé à plonger au fond du trou avec les animatronics à poils , mais là on descend encore un cran plus bas!!
    sunshine1
    sunshine1

    99 abonnés 442 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 mars 2024
    Une production blumhouse qui nous vends faussement et malheureusement un trailer qui donne sacrément envie peuplé de créatures terrifiante imaginé évidemment par un enfant. Il ne se passe strictement rien au bout de 1h15 de film , des longueurs a répétition pour nous faire comprendre la thématique d'un ami imaginaire , une peluche géante en animatronique ou costumé par un adulte qui ne fonctionne pas du tout et on se retrouve déjà a la fin du film . Une honte ce film comme pratiquement tout les films de jason Blum .
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 209 abonnés 7 512 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 mars 2024
    Lorsque Jessica retourne dans sa maison d’enfance, sa belle-fille se lie d’amitié avec Chauncey. Sauf que son attachement avec cet ours en peluche va prendre une tournure inquiétante…

    Deux mois plus tôt, on avait déjà eu droit à l’anémique et lénifiant Night Swim (2024), il n’y avait donc rien à espérer de la part de ce film, puisque c’est clairement devenu une habitude, les productions estampillées Blumhouse (Jason Blum) sont rarement gage de qualité. A la réalisation, on retrouve Jeff Wadlow, à qui l’on doit le merdier indigeste et bordélique qu’était Nightmare Island (2020).

    Le film traite à la fois des traumatismes liés à l’enfance et des amis imaginaires (via le “paracosme”, un monde chimérique). Si l’idée de départ pouvait s’avérer être intéressante, finalement, en écopant d’une classification “PG-13”, il n’y a absolument rien à en attendre, tant le film s’avère parfaitement inoffensif et aseptisé.

    L'écriture est fastidieuse (comment peuvent-ils avoir été 3 pour nous torché une histoire pareille ?) et ses personnages deviennent rapidement insupportables car engoncés dans leurs propres caricatures.

    Imaginary (2024) nous entraîne dans son sillage, celui d’avoir la garantie de pouvoir faire la sieste en paix pendant plus de 90min (en l’absence de jump-scare ou d’une quelconque tension), un conseil, prévoyez un bon oreiller.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    529 abonnés 952 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 mars 2024
    “Les gens s'attendent à ce que nous échouions. Notre mission est de dépasser leur attente” - George W Bush Jr.

    On aurait pu graver cette citation sur un monument dédié au très spirituel ex-président des USA (pourquoi pas à l'effigie d'un âne, d'un obus ou d'un bretzel ?). Au lieu de ça, il faut chercher les braves esprits s'étant mis en tête d'en faire leur leitmotiv. En 2020, j'ai eu les premiers signes avec l'escapade Nightmare Island. Un peu plus tard, je prenais le risque d'un Action ou Vérité sorti deux ans plus tôt. La révélation : on en tient un. Le producteur Jason Blum ne s'y est pas trompé, Jeff Wadlow est spécial. Le réalisateur idéal pour livrer une bande-annonce tapineuse et ensuite jouer les prudes pendant 1h30...en oubliant pas de vous rappeler l'addition à la sortie. Un gars précieux pour le business plan Blumhouse, qui ne prend pas cher et rapporte un joli magot au studio. Son petit break Netflix Le mauvais esprit d'Halloween passé, Jeff revient au bercail. Et si ce n'est pas aussi réussi que leurs précédentes collaborations, c'est indéniablement dans le même esprit. Mauvais donc.

    Le concept : faire d'un nounours en peluche, l'ami imaginaire par excellence, une machine à tuer.

    Inutile d'en dire plus. Non, vraiment. On n'appendra pas la mécanique à Blumhouse, et on ne la fait pas à Jeff Wadlow, également crédité au scénario (comme sur Nightmare Island et Action ou Vérité, miam). Le metteur en scène va gentiment replacer chaque poncif du cinéma horrifique : présence obscure au second plan à satiété, l'apparition/disparition en quelques secondes, innombrables travellings avec musique oppressante sur le petit ourson adoré, jump-scares en veux-tu-en-voilà. Le tout en évitant autant que possible l'hémoglobine, l'originalité et la cohérence. Évidemment, l'intrigue nous servira le stéréotype de la spécialiste expliquant ce qui arrive (et que le spectateur devance de 20 bonnes minutes) et dont le sort est réglé dans une acrobatie narrative pour le moins nébuleuse. Dommage que le jeune voisin ado n'occupe pas plus d'espace, il laissait augurer un bon potentiel dans la catégorie du second-rôle un peu crétin. Et Il serait indécent de vous dépeindre la grande variété des décors, notamment dans la partie imaginaire. À part ça, Jeff Wadlow est étrangement sage, parfois même appliqué au point d'ennuyer sévèrement. Il faut bien une heure pour que les choses dégénèrent. D'ordinaire, ça dérape au bout de 20 minutes avec lui. On a le côté fauché, on a quelques idées bien de chez lui mais Imaginary est somme toute trop classique pour du Wadlow. Qu'on se rassure, le niveau général est dans la droite lignée de ses précédents longs-métrages, et il y a encore de quoi se marrer (le design du monstre final, les possédés aux yeux de nounours). Sur bien des aspects, le film n'est pas une déception pour les fans de Wadlow (j'en suis). Mais il faut avouer que le cinéaste s'est un peu trop adouci en comparaison de ses légendaires nanars Blumhouse.
    Testa Ball
    Testa Ball

    5 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 mars 2024
    J'ai beaucoup aimé je ne comprend absolument pas mais vraiment absolument pas les notes infligés à ce film ! Je l'ai trouvé prenant du début à la fin, il y a de nouvelles idées, ce n'est pas du "pure" horreur je dirais que ça se partage entre film d'horreur et film fantastique. J'ai adoré !
    Nicothrash
    Nicothrash

    368 abonnés 3 025 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 mars 2024
    Si seulement Jeff Wadlow nous avait épargné cette insipide première heure qui empile tous les poncifs du genre sans grande imagination … Déjà l’idée de départ on la connaît, Chucky, Annabelle, Megan et Cie sont passé par là, mais pourquoi pas après tout, sauf que tous les jumpscares sont attendus et ça n’effraie pas du tout. Ce qui devient vite rageant c’est que Imaginary ne manque vraiment pas d’idées sur le papier, en témoignent les twists bien trouvés par la suite, seulement il faut se taper la longue mise en place pour commencer à se prendre au jeu. Et puis les personnages sont tout sauf attachants, pas aidés par un script faiblard. Pourtant ce n’est pas mal réalisé et la partie finale s’avère plutôt surprenante même si elle n’est pas sans rappeler Insidious. Ç’aurait pu être une bonne petite surprise mais le sursaut d’orgueil final est loin de faire oublier les errements du départ. Ça reste regardable si on en attend pas trop.
    S Pbc
    S Pbc

    16 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mars 2024
    Excellent film, je ne comprends pas les avis négatifs , ce film change de ce que l on al habitude de voir dans le genre,
    zafkiel
    zafkiel

    54 abonnés 904 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 mars 2024
    Encore du Blumhouse, encore du fantastique au lieu de l'horreur.
    Le fond de l'histoire est sympa (le monde de l'imagination de l'enfance et des créatures imaginaires). Ouais mais ça ne suffit pas pour sortir le film hors de l'eau. Pourquoi ?
    Car la partie finale est tellement rocambolesque que ça en devient risible. Pourtant y'avait du très bon avec les quelques rares apparitions floues en arrière-plan de-ci de-là, mais à vouloir trop en faire, le film tombe à plat et peut rentrer dans les rangs de la catégorie nanar.
    Avis à contre courant
    Avis à contre courant

    1 abonné 29 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mars 2024
    Je commence à être franchement agacée par cette population dite érudite et intello qui se permet à tout va de critiquer n’importe quel film d’horreur qui sort destiné à un public plus large et se trouve très spécialiste car il cite la maison de production ou le réalisateur. Ce film n’est vraiment pas si mal, il n’y a pas beaucoup de jumps scares précisément et joue plus sur les dialogues et les situations. L’histoire s’apparente plus à un récit fantastique qu’à de l’horreur à proprement parlé. Il est certain que les intégristes spectateurs qui adorent Cannibal Holicaust ou l’Exorciste ne vont pas trouver leur compte mais pour passer un bon moment avec une histoire originale (ce sujet de l’ami imaginaire d’un enfant n’avait jamais été abordé), ce film fait son travail.
    QuentinNvr
    QuentinNvr

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 mars 2024
    Agréablement surpris !
    Ça change des films d’horreur habituels, je ne comprend pas les avis négatifs… peut être que je suis un public facile.
    Quoi qu’il en soit je vous le conseille !
    Chriss adragna
    Chriss adragna

    6 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 mars 2024
    Quelle perte de temp!!!d’un ennui épouvantables
    Histoire médiocre,.Aucun jumpscare et acteur peu charismatique .
    Un conseil passez votre chemin.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 713 abonnés 12 426 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 juin 2024
    C'est pas la première fois qu'un ours en peluche fait des siennes dans un film d'horreur US censè être moderne! Et l'on imagine bien ce que James Wan en eût fait : une femme retourne avec sa famille composèe dans la maison de son enfance pour dècouvrir que l'ami imaginaire qu'elle a laissè derrière elle est bien rèel...On ne vous en dira pas davantage car comme souvent chez Jeff Wadlow, l'histoire n'a ni queue ni tête! Les comèdiens y sont stèrèotypès à mort et le concept mal exploitè pour ne pas dire ennuyeux à mourir! On peut tout au plus se laisser distraire dans le dernier quart d'heure à la « Poltergeist » car le reste - hors monde parallèle - ne vaut pas triplette avec une rèalisation qui abuse des lenteurs et des jumpscares! Rassurez-vous cher aficionado, c'est moins catastrophique que le nullissime "Nightmare Island" (2020) du même Wadlow...
    Shawn777
    Shawn777

    585 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 mars 2024
    Décidément, depuis quelques temps Blumhouse semble se reposer sur ses acquis en ne produisant que des films vraiment très faibles narrativement parlant ou juste ratés. Bon même si la boite de production de Jason Blum n'a pas fait que des succès, c'était quand même il y a encore quelques années un gage de qualité que d'aller un film Blumhouse : petits moyens mais grosses idées ! Alors que maintenant, c'est bien plus souvent petits moyens pour petites idées. Ce qui est bien dommage car on a alors plus une impression d'usine à films d'horreur ayant perdus toute identité et personnalité. Et c'est une nouvelle fois le cas pour ce film, réalisé par Jeff Wadlow, qui est très générique. C'est en effet l'histoire d'une petite fille qui trouve un ours dans sa nouvelle maison et ce dernier devient son ami imaginaire. Mais évidemment, les choses ne tournent pas rond et on va vite se rendre compte que l'ourson est maléfique. Bon, les gens comparent beaucoup le film à "Chucky", certes, il y a des similitudes mais après, je dirai que c'est plus propres aux films d'entité ou d'objets possédés qui abordent en général beaucoup les jouets pour enfants et en particulier les poupées. Ce n'est donc pas vraiment gênant, ce qu'il l'est en revanche, c'est que tout y est éminemment prévisible. Que ce soit les enchainements de situation ou la construction des personnages, on est face au film d'horreur absolument lambda qui n'est là que pour remplir un cahier des charges. Ainsi, on s’ennuie beaucoup car ce n'est pas les 3/4 jump-scares qui vont nous divertir pendant une heure quarante. Le dernier quart du film semble cependant se dégager de ce côté générique en proposant subitement le développement d'un univers visuel intéressant mais arrivant beaucoup trop tard dans le film (et puis surtout, c'est bien trop long pour ce que ça raconte, oui c'est beau mais encore faut-il meubler cet univers). "Imaginary" est donc, comme dit plus haut, un film d'horreur générique qui peine même à atteindre son but premier qui est de divertir.
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