Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Première
par Manon Bellahcene
Le design poussiéreux de l’ourson parvient à faire son effet poupée maléfique, comme satisfaite de torturer le spectateur par son cache-cache psychologique. Mais encore aurait-il fallu que cette nouvelle production Blumhouse exploite un imaginaire original…
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
Le film s’emballe sans nécessité dans son dernier quart d’heure, passant du quotidien à une course-poursuite dans des décors fantasmés qui n’apportent rien. Comme quoi, mieux vaut parfois en rester à une modestie qui peut être plus efficace dans l’inquiétude en sourdine.
Le Parisien
par Michel Valentin
Une peluche hantée et maléfique, le sujet est osé et nécessite une intrigue bien ficelée. C’est hélas loin d’être le cas ici, le film enfilant tous les poncifs possibles – Jessica a connu un traumatisme étant enfant, elle est détestée par la plus âgée de ses belles filles, Max est un homme absent du foyer – avec une constance désarmante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Il n’y a pas grand-chose à sauver dans ce film d’épouvante qui ne fait jamais vraiment peur, la faute à un scénario bourré d’invraisemblances et peu audacieux. Quant aux acteurs, le seul à sauver reste l’ours en peluche, quand il bouge la tête.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Gilles Esposito
Nouvelle production Blumhouse, "Imaginary" est [...] terriblement formatée.
Ecran Large
par La rédaction
En vrai précurseur du "high concept", [Jason Blum est] passé au "low concept".
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Première
Le design poussiéreux de l’ourson parvient à faire son effet poupée maléfique, comme satisfaite de torturer le spectateur par son cache-cache psychologique. Mais encore aurait-il fallu que cette nouvelle production Blumhouse exploite un imaginaire original…
L'Ecran Fantastique
Le film s’emballe sans nécessité dans son dernier quart d’heure, passant du quotidien à une course-poursuite dans des décors fantasmés qui n’apportent rien. Comme quoi, mieux vaut parfois en rester à une modestie qui peut être plus efficace dans l’inquiétude en sourdine.
Le Parisien
Une peluche hantée et maléfique, le sujet est osé et nécessite une intrigue bien ficelée. C’est hélas loin d’être le cas ici, le film enfilant tous les poncifs possibles – Jessica a connu un traumatisme étant enfant, elle est détestée par la plus âgée de ses belles filles, Max est un homme absent du foyer – avec une constance désarmante.
Les Fiches du Cinéma
Il n’y a pas grand-chose à sauver dans ce film d’épouvante qui ne fait jamais vraiment peur, la faute à un scénario bourré d’invraisemblances et peu audacieux. Quant aux acteurs, le seul à sauver reste l’ours en peluche, quand il bouge la tête.
Mad Movies
Nouvelle production Blumhouse, "Imaginary" est [...] terriblement formatée.
Ecran Large
En vrai précurseur du "high concept", [Jason Blum est] passé au "low concept".