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Joelle Champeyroux
1 abonné
4 critiques
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5,0
Publiée le 20 mars 2023
Bravooooo des émotions ,des rires, des larmes, un film brulant de justesse et Necessaire!! Le casting est Fabuleux!!! Foncez-y ce film restera gravé dans l'histoire!
Je viens de voir le 2 au cinéma "LeSaint-Michel", après m'être régalée du 1. Ce film à sketches fait un bien fou, abreuvés que nous sommes de fausse bienveillance et de fausse tolérance. Là on se moque, on y va franco, on appuie là où ça fait mal. Il y avait après le film un débat avec Laurent Firode, un acteur et une actrice. Ce qui a beaucoup été évoqué par les participants c'est la maltraitance institutionnelle des malades que leurs proches n'ont pu approcher (qu'ils soient très âgés et près de la mort n'a rien changé). On voit donc qu'un film où on se libère par le rire, peut aborder par ce biais des sujets intimes et graves. Le film a été tourné dans l'appartement du réalisateur, il a coûté 1.000 € (je n'ai pas oublié de zéro), les acteurs ont-ils joué bénévolement ? Attention : Le monde d'après 1et 2 se partagent les séances de 18h30 pendant la semaine et encore pas tous les soirs ! Exclusivité du "Sain-Michel", hélas
Très bon film, comique mais pas que cela, de la réflexion sur plusieurs sujets. Un réalisateur et des acteurs accéssibles, sympathiques. Un grand bravo et merci
Très bon film comme le 1er d’ailleurs, finesse et humour du début jusqu’à la fin avec des comédiens excellents, des dialogues d’une drôlerie et d’une intelligence remarquable. Pour finir avec une dernier réplique »tu me fous le Didier » à mourir de rire. Bon pour le moral le meilleur médicament.👍👏
Dans la continuité du premier volet. Nous poursuivons avec plaisir notre voyage en absurdie à travers une nouvelle série de situations hilarantes. On regrettera seulement la mise en scène un peu trop minimaliste de certains sketchs mais compliqué d'en vouloir à Laurent Firode qui n'a bénéficié d'aucune subvention pour ce film.
Salle pleine de spectateurs heureux de se retrouver au cinéma: rires, applaudissements, émotion. Le film repose sur des dialogues satiriques sur le monde actuel, de l'auto-dérision, servi par une ribambelle d'acteurs enthousiastes à découvrir; de vrais talents à suivre ! Un bon moment pour respirer !
Je viens de voir ce film...Le 1 c'était du fou rire, celui-là on rit mais pas seulement, fait couler des larmes surtout la scène...concenant l'enfant...( je dis pas laquelle pour ne pas gâcher l'émotion)- en miroir complètement avec cette scène, ça me fait réaliser qu'on a été tous victimes ( les 2 camps) et le trauma de notre est encore là ...merci pour ce partage avec l'équipe du fim au café, ça fait trop du bien d'avoir pu partir à 23h et non au couvre feux de 19h....merci encore
Jubilatoire! Le film est composé de 15 saynètes, 15 photographies de notre société tourmentée à la fois par les décisions sanitaires et arbitraires du gouvernement au moment de la crise due au Covid, l’écologisme le plus arriéré, le féminisme le plus abêti et le wokisme le plus hargneusement destructeur. Les dialogues savoureusement drôles empruntent aux discours des porte-parole gouvernementaux et aux propos de Sandrine Rousseau autant qu’à la novlangue de l’idéologie woke – comme si ce monde d’après avait fini par gober toutes les âneries en cours et ne pouvait plus échapper aux idées débilitantes sur le genre considéré comme une « construction sociale et patriarcale », sur « l’appropriation culturelle », le « transgenrisme » et la « déconstruction des hommes », entre autres absurdités idéologiques. Il existe deux façons de combattre le wokisme, toutes les deux honorables et indispensables. La première consiste à le prendre au sérieux. La seconde consiste à s’en moquer comme d’une absurdité évidente, un objet débile qui ne peut être que tourné en dérision. L’éclat de rire devant une affiche du planning familial exhibant un « homme enceint » ou proclamant que « le sexe est un construit social » et que « le pénis est un pénis, pas un organe sexuel mâle », doit briller comme un éclair de vérité et de bon sens. Le rire est une torpille contre la bêtise parce qu’il est « le dédain et la compréhension mêlés » (Flaubert) – l’idéologue abruti par son idéologie est désarmé par la spontanéité d’un éclat de rire révélant une intelligence intuitive mille fois supérieure à la sienne, préfabriquée et abêtie.
Après la découverte, la réussite surprise du Monde d’après, comme un éclair dans un ciel d’été, voici la suite. Le premier volet consistait surtout en une critique acerbe mais pleine d’humour de la politique sanitaire qui nous a été imposée, ce deuxième film s’avère plus dense, plus long, et d’un champ plus large en s’attaquant aux délires wokistes qui traversent notre société. Sans méchanceté, jamais, mais avec ironie et un ton piquant, Le Monde d’après 2 enchaine comme le premier les sketchs, sans temps mort, sans faiblesse, avec une troupe d’acteurs talentueux, c’est en permanence une fête de l’esprit. On rit beaucoup ! Laurent Firode est un peu notre Woody Allen national, scrutateur psychologique hors pair, édifiant et léger à la fois. Un immense bravo, ne manquez pas ce film.
Excellente comédie , qui donne une véritable bouffée d'oxygène , pouvoir rire librement de l'incohérence , l'absurdité de notre société actuelle , avec d'excellents comédiens inconnus , qui nous ressemblent , ça fait du bien ! 1h30 ou l'on peut rire ensemble sans tabous ni retenues de notre société ! Bravo et Merci !