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Votre avis sur Le Prix du danger ?
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Un film avec un scénario très bon,le remake américain avec sharzy est moins bon
Un film visionnaire sur la télé realité et ses dérives( ici un jeu de mise à mort humaine).L discours des "mechants" producteurs télé est un peu trop appuyé et demonstratif.De même l'absence des politiques est gênante pour rendre ce film très bon.
Bonne satire, Picolli est exécrable!
Frédéric M.
Film vieillissant bien qui a donné des idées à Running man. Film annoncant la télé réalité et ce qu'elle pourrat devenir à l'extreme. Une très bonne interprétation, de bonnes questions sont posées... Une histoire pris d'un bon suspense. A voir !
Boisset nous crée la télé réalité en avance, sans se douter que la vérité n'est pas très loin. Piccoli est monstrueusement génial, Lanvin comm d'hab et un discours politique engagé pour un film en avance sur son temps.
GENIAL. Un film sur ce que ne seront jamais les jeux de télé-réalité, enfin on ne sait jamais.
pierrre s.
Critiquable sur la forme, Le prix du danger, est parfait sur le fond. Un film très intelligeant et en avance sur son époque.
C'est sur ça change de running man, même s'il est tout de même peu crédible qu'une société accepte un jour ce genre de procédé :-/ En tout cas ce film vaut le détour, et plus dans l'esprit du livre je pense.
AMCHI
Certes Le Prix du danger a un peu vieilli et l'action met trop de temps à prendre place mais il faut reconnaître que ce film d'Yves Boisset garde toujours de son efficacité et surtout son ton cynique est appréciable (totalement absent de Hunger games par exemple). Le casting comme souvent le cas chez Boisset est de qualité avec notamment un Piccoli qui semble s'amuser comme un fou en présentateur TV ; la 1ère partie du Prix du danger décrit en partie l'univers du film et surtout ce jeu télévisée ou la mort est devenu un divertissement, la 2nde partie fait place au jeu et si les scènes d'action ne sont pas spectaculaires par contre le rythme soutenu et sans temps mort nous fait passer un bon moment. La fin est cynique comme le reste du film.
Un film réellement intéressant, mais c'est vrai qu'il a mal vieilli. Et puis gros défaut dès les premières minutes du film : les poursuivants du "héros" lui tirent dessus alors que la foule est agglutinée tout autour, ce qui décrédibilise d'entrée l'histoire (merci les balles perdues !). Il aurait mieux vallu dans ce cas faire un vrai film comique. Or les dialogues sont excellement bien écrits mais "sérieux" (cf. la discussion autour de la table pour évoquer les aspects juridiques, etc). Au final, je suis un peu déçu par le résultat. Boisset aurait pu être plus innovant dans la mise en scène, qui est ultra-classique. J'ai trouvé les acteurs assez moyens, mis à part Michel Piccoli qui est irrésistible.
"Le Prix du danger", film d'anticipation franco-yougoslave réalisé par Yves Boisset et sorti en 1983.
Un film critique des médias, ce qui ne leur a pas beaucoup plus à sa sortie. Pourtant, même si on ne tue pas encore en direct prime-time, le film annonce l'arrivée de la télé-réalité, les bidonnages, la bêtise, la dictature des annonceurs et plus généralement le lynchage médiatique auquel nous assistons régulièrement aujourd'hui.
Une critique de la société du spectacle. Un film qui était bel et bien visionnaire.
Le scénario est librement inspiré de la nouvelle de Robert Sheckley "The prize of Péril" parue en 1958.
En 1987 Paul Michael Glaser réalise " Running Man" en s'inspirant du roman de Stephen King publié en 1982.
La ressemblance avec " Le prix du danger ", amena Yves Boisset à déposer plainte pour plagiat,
Une très bonne distribution, avec Gérard Lanvin, Michel Piccoli, Bruno Cremer, Marie-France Pisier et Jean-Claude Dreyfus. Patrick Dewaere devait prendre le rôle de François Jacquemard, mais il se suicida avant le tournage.
Réalisation de qualité, tourné à Paris et à Belgrade. Un film d'action, sans temps morts. Belle prestation de Michel Piccoli.
"Le prix du danger" est diffusé à la télévision en 1987 dans les excellents "dossiers de l'écran" suivi du débat portant sur "la télévision de demain"...Et bien voilà nous y sommes !
Un film critique des médias, ce qui ne leur a pas beaucoup plus à sa sortie. Pourtant, même si on ne tue pas encore en direct prime-time, le film annonce l'arrivée de la télé-réalité, les bidonnages, la bêtise, la dictature des annonceurs et plus généralement le lynchage médiatique auquel nous assistons régulièrement aujourd'hui.
Une critique de la société du spectacle. Un film qui était bel et bien visionnaire.
Le scénario est librement inspiré de la nouvelle de Robert Sheckley "The prize of Péril" parue en 1958.
En 1987 Paul Michael Glaser réalise " Running Man" en s'inspirant du roman de Stephen King publié en 1982.
La ressemblance avec " Le prix du danger ", amena Yves Boisset à déposer plainte pour plagiat,
Une très bonne distribution, avec Gérard Lanvin, Michel Piccoli, Bruno Cremer, Marie-France Pisier et Jean-Claude Dreyfus. Patrick Dewaere devait prendre le rôle de François Jacquemard, mais il se suicida avant le tournage.
Réalisation de qualité, tourné à Paris et à Belgrade. Un film d'action, sans temps morts. Belle prestation de Michel Piccoli.
"Le prix du danger" est diffusé à la télévision en 1987 dans les excellents "dossiers de l'écran" suivi du débat portant sur "la télévision de demain"...Et bien voilà nous y sommes !
Une farce caricaturale désopilante complètement ratée sur le danger bien réel de voir basculer un jour encore lointain nos sympathiques et indolores jeux actuels vers les extrêmes suite à un audimat porté disparu.
Ici tout est risible, surfait et plat. Une vraisemblance bien pale malgré quelques étincelles révélatrices de ces comportements embusqués ou en pleine lumière, calculateurs, procéduriers ou transcendés appartenant à ces métiers basés sur le racolage visuel destiné à un troupeau aussi versatile que conditionné.
Un film décevant mais révélateur d'une dérive assassine encore endormie.
Ici tout est risible, surfait et plat. Une vraisemblance bien pale malgré quelques étincelles révélatrices de ces comportements embusqués ou en pleine lumière, calculateurs, procéduriers ou transcendés appartenant à ces métiers basés sur le racolage visuel destiné à un troupeau aussi versatile que conditionné.
Un film décevant mais révélateur d'une dérive assassine encore endormie.
Redzing
Un film qui a pris un sacré coup de vieux (on dirait qu'il a été fait en 75) et dont le scénario (surtout la fin) est un peu tiré par les cheveux. Mais tout son intérêt est qu'il montre l'univers de la téléréalité, et on remarque qu'aujourd'hui on est assez proche du film (une telle anticipation est rare pour les films de cette époque). Ainsi, il passe en revue ce qui nous parait normal à l'heure actuelle : éliminatoires sadiques, publicités omniprésentes, ou encore animateur cynique et manipulateur à souhait (avec un excellent Michel Piccoli).
une excellente idée de scénario dans lequel Gerard Lanvin fais bonne figure !!!
film qui a quelque peu vieilli mais qui est encore trés efficace.quel visionaire ce yves boisset.mention particuliere a michel piccoli qui est excellent en présentateur.un film a savourer avec plaisir
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