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C’est avec une réelle virtuosité que Simon Bouisson met le spectateur face à ses contradictions entre fascination pour la technologie et solidarité avec l’espèce humaine.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
La beauté des déplacements de la machine la rend encore plus implacable et terrifiante, et transcende ce qui aurait pu n’être qu’un thriller paranoïaque un brin trop classique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Or ici, il s’agit d’un drone : un œil-caméra qui nous fait épouser son point de vue. Mais c’est alors qu’Émilie – et nous avec elle – s’émancipe : elle refuse ce regard et décide de le combattre.
Pour son premier film, Simon Bouisson voit grand. Après avoir réalisé des séries, Stalk ou 36 15 Monique, le réalisateur de 39 ans s'investit dans le techno-thriller anxiogène, avec un « whodunit » numérique, ambitieux, malin voire assez effrayant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Écrit pour que le récit corresponde au forceps à la liste des intentions, Drone a toutefois de belles qualités de mise en scène et un style suffisamment assumé pour intriguer.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L’ambition de Simon Bouisson ne s’arrête pas à ce portrait réussi d’une jeune femme talentueuse et secrète. Elle se situe aussi du côté d’une forme visuelle élégante et référencée, bel écrin, en accord avec un scénario bifurquant vers le thriller traditionnel dès lors qu’un meurtre relance l’enjeu. "Drone" devient alors un jeu fascinant du chat et de la souris, de l’observateur et de l’observé qui n’est pas sans rappeler Alfred Hitchcock, mais surtout Brian De Palma, influence majeure du film.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
En nous plongeant immédiatement et sans ménagement dans le feu glaçant de cette fiction paranoïaque, Simon Bouisson nous inquiète et nous éprouve, en déployant dans un imparable mouvement exponentiel le piège de sa mise en scène et de son montage kaléidoscopique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Finalement, Drone parle aussi de la difficulté des femmes à être crues. On lui reprochera juste une résolution précipitée, qui ouvre des perspectives tout en nous laissant dans un état de frustration dommageable.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Malgré une exposition un peu longue, on se laisse embarquer par ce premier film inquiétant et aux plans vertigineux, qui convoque nos peurs primales dans l’écrin de la légende urbaine.
Cyclique et entêtant, Drone nous propulse au cœur d’une spirale et nous laisse dans un état d’étourdissement pas si souvent éprouvé que ça dans le cinéma de genre français.
S’il manque sans doute un peu de déglingue et tire à la ligne, Drone parvient à rencontrer cette gravité en poussant le scénario à son comble, de la cam girl à la final girl – cette survivante en sang et pantelante dans les films d’épouvante qui titube jusqu’au générique de fin, épuisée mais debout.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Certes ce thriller souffre d’une écriture moins convaincante de certains rôles secondaires (le prof incarné par Cédric Kahn, trop chargé en masculinité toxique) et sa résolution – quoique tout sauf basique – est un peu déceptive. Mais ce premier long vaut de détour.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le cinéma français ayant peu abordé le genre techno-thriller, accueillons ce premier film avec une bienveillante curiosité, même si sa finalité est forcément décevante.
Dans ces (més)aventures de la jolie Émilie (Marion Barbeau), le frisson est parfois un peu juvénile. Mais entre la Belle et la Bête technologique, le film offre aussi des scènes troublantes lorsque la machine volante se fait violente. Le thème du harcèlement subi par les femmes s’illustre alors à travers des images fantasques étonnantes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ce premier film manie un peu maladroitement de (louables) intentions féministes et use parfois d'un symbolisme chargé. Mais il n'en reste pas moins porté par un vrai sens du visuel.
Drone est un ingénieux thriller qui joue habilement avec les codes du fantastique et du film noir, même si hélas on reste sur notre faim dans les dernières séquences.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Conçu comme la métaphore d’une compénétration systématique des sphères intime et publique, d’une omniprésence des écrans dans nos vies, et celle, plus particulière, de la prédation du corps des femmes par le regard masculin, le drone autour duquel s’organise ce premier long métrage n’a rien de très surprenant.
Tout le monde comprendra que le regard du drone vient figurer le concept de male gaze théorisé par la féministe américaine Laura Mulvey, selon lequel, l’histoire du cinéma ne serait que le récit d’un regard masculin (celui des personnages et de réalisateurs) exerçant son emprise sur le corps des femmes. C’est ainsi que le terrain de jeu plein de promesses finit, hélas, par se rétracter en dissertation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
C’est avec une réelle virtuosité que Simon Bouisson met le spectateur face à ses contradictions entre fascination pour la technologie et solidarité avec l’espèce humaine.
Ecran Large
La beauté des déplacements de la machine la rend encore plus implacable et terrifiante, et transcende ce qui aurait pu n’être qu’un thriller paranoïaque un brin trop classique.
Elle
On tremble devant ce thriller paranoïaque vraiment réussi.
La Croix
Un thriller fort et dérangeant qui questionne les dérives voyeuristes de notre société.
La Septième Obsession
Or ici, il s’agit d’un drone : un œil-caméra qui nous fait épouser son point de vue. Mais c’est alors qu’Émilie – et nous avec elle – s’émancipe : elle refuse ce regard et décide de le combattre.
Le Figaro
Pour son premier film, Simon Bouisson voit grand. Après avoir réalisé des séries, Stalk ou 36 15 Monique, le réalisateur de 39 ans s'investit dans le techno-thriller anxiogène, avec un « whodunit » numérique, ambitieux, malin voire assez effrayant.
Le Parisien
Un thriller futuriste très habilement piloté.
Mad Movies
Un premier long métrage intrigant, où les plans de drones sont pour une fois utilisés à bon escient.
Rolling Stone
Un premier film prenant de bout en bout.
Télé 7 Jours
La danseuse Marion Barbeau confirme qu'elle est aussi une excellente actrice.
CinemaTeaser
Écrit pour que le récit corresponde au forceps à la liste des intentions, Drone a toutefois de belles qualités de mise en scène et un style suffisamment assumé pour intriguer.
Culturopoing.com
L’ambition de Simon Bouisson ne s’arrête pas à ce portrait réussi d’une jeune femme talentueuse et secrète. Elle se situe aussi du côté d’une forme visuelle élégante et référencée, bel écrin, en accord avec un scénario bifurquant vers le thriller traditionnel dès lors qu’un meurtre relance l’enjeu. "Drone" devient alors un jeu fascinant du chat et de la souris, de l’observateur et de l’observé qui n’est pas sans rappeler Alfred Hitchcock, mais surtout Brian De Palma, influence majeure du film.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Simon Bouisson maîtrise à la perfection son dispositif filmique. Chaque cadrage interroge la grande question du cinéma : le point de vue.
L'Obs
En nous plongeant immédiatement et sans ménagement dans le feu glaçant de cette fiction paranoïaque, Simon Bouisson nous inquiète et nous éprouve, en déployant dans un imparable mouvement exponentiel le piège de sa mise en scène et de son montage kaléidoscopique.
La Voix du Nord
Finalement, Drone parle aussi de la difficulté des femmes à être crues. On lui reprochera juste une résolution précipitée, qui ouvre des perspectives tout en nous laissant dans un état de frustration dommageable.
Le Dauphiné Libéré
C’est le premier cas de harcèlement sexuel virtuel à l’ère technologique.
Le Journal du Dimanche
Malgré une exposition un peu longue, on se laisse embarquer par ce premier film inquiétant et aux plans vertigineux, qui convoque nos peurs primales dans l’écrin de la légende urbaine.
Les Fiches du Cinéma
Un thriller aux indéniables qualités de mise en scène, mais qui souffre d’une écriture chargée et forcée.
Les Inrockuptibles
Cyclique et entêtant, Drone nous propulse au cœur d’une spirale et nous laisse dans un état d’étourdissement pas si souvent éprouvé que ça dans le cinéma de genre français.
Libération
S’il manque sans doute un peu de déglingue et tire à la ligne, Drone parvient à rencontrer cette gravité en poussant le scénario à son comble, de la cam girl à la final girl – cette survivante en sang et pantelante dans les films d’épouvante qui titube jusqu’au générique de fin, épuisée mais debout.
Première
Certes ce thriller souffre d’une écriture moins convaincante de certains rôles secondaires (le prof incarné par Cédric Kahn, trop chargé en masculinité toxique) et sa résolution – quoique tout sauf basique – est un peu déceptive. Mais ce premier long vaut de détour.
Télé 2 semaines
Le cinéma français ayant peu abordé le genre techno-thriller, accueillons ce premier film avec une bienveillante curiosité, même si sa finalité est forcément décevante.
Télérama
Dans ces (més)aventures de la jolie Émilie (Marion Barbeau), le frisson est parfois un peu juvénile. Mais entre la Belle et la Bête technologique, le film offre aussi des scènes troublantes lorsque la machine volante se fait violente. Le thème du harcèlement subi par les femmes s’illustre alors à travers des images fantasques étonnantes.
Voici
Ce premier film manie un peu maladroitement de (louables) intentions féministes et use parfois d'un symbolisme chargé. Mais il n'en reste pas moins porté par un vrai sens du visuel.
aVoir-aLire.com
Drone est un ingénieux thriller qui joue habilement avec les codes du fantastique et du film noir, même si hélas on reste sur notre faim dans les dernières séquences.
Cahiers du Cinéma
Conçu comme la métaphore d’une compénétration systématique des sphères intime et publique, d’une omniprésence des écrans dans nos vies, et celle, plus particulière, de la prédation du corps des femmes par le regard masculin, le drone autour duquel s’organise ce premier long métrage n’a rien de très surprenant.
Le Monde
Tout le monde comprendra que le regard du drone vient figurer le concept de male gaze théorisé par la féministe américaine Laura Mulvey, selon lequel, l’histoire du cinéma ne serait que le récit d’un regard masculin (celui des personnages et de réalisateurs) exerçant son emprise sur le corps des femmes. C’est ainsi que le terrain de jeu plein de promesses finit, hélas, par se rétracter en dissertation.