Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
37 critiques presse
Ouest France
par Michel Troadec
Ce biopic se regarde avec bonheur tellement on se retrouve plongé dans une époque à suivre l'ascension d'un artiste qui a gagné le haut de l'affiche.
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Un hommage superbe et puissant.
Bande à part
par Michel Cieutat
L’évocation du parcours très accidenté du plus célèbre chanteur français sur le plan international est une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La Rédaction
Les fans de la première heure pourront être frustrés par certains raccourcis – nécessaires tant sa vie a été riche – et autres omissions qui s’imposaient pour proposer un récit d’un peu plus de deux heures. Ce long métrage se découvre toutefois avec un plaisir immense pour ceux qui apprécient l’artiste et ses chansons, avec des moments d’émotion intenses au gré de ses échecs et de ses réussites.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Closer
par J.B.
Musical et grisant.
Elle
par Françoise Delbecq
Tahar Rahim est "for me formidable".
Femme Actuelle
par La Rédaction
Le résultat se révèle particulièrement convaincant dans les scènes émouvantes : Tahar Rahim rend bien la tension entre la pudeur, le masque social et les douleurs rentrées.
L'Obs
par Isabelle Danel
Pour leur troisième long-métrage après « Patients » et « la Vie scolaire », Mehdi Idir et Grand Corps Malade déploient les grands moyens et en font parfois trop en termes de mise en scène façon looping et caméra tournante. Mais leur regard sur l’homme et l’icône Aznavour a le mérite d’être admiratif sans être hagiographique et les chansons, dont quelques chefs-d’œuvre, font le reste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Nathalie Lacube
Mehdi Idir et Grand Corps Malade reconstituent avec souffle la vie de Charles Aznavour. Monsieur Aznavour est porté par un brillant trio d’acteurs et fait entendre à nouveau des chansons inoubliables.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Catherine Balle
Un long métrage riche, émouvant et rythmé.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Les réalisateurs Grand Corps Malade et Mehdi Idir ont opté pour un récit linéaire, rythmé par ses plus beaux titres. Dans le rôle-titre, Tahar Rahim campe un Aznavour vibrant. Une belle performance.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Si le film n'échappe pas toujours aux pièges de l'hagiographie, il est riche d'enseignements sur la vie et la carrière du chanteur populaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Malgré ses défauts hagiographiques et ses omissions, ce biopic émouvant ne manque pas d’atouts et évoque certains aspects méconnus de la carrière et de la vie de Charles Aznavour.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Benjamin Locoge
Un biopic réussi.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
C'est aussi bluffant qu'émouvant.
Télé Loisirs
par Mathilde Aubry
Le résultat est réussi, porté par la performance habitée de Tahar Rahim, très crédible, ainsi que celle de Bastien Bouillon et de Marie-Julie Baup, excellents seconds rôles.
Version Femina
par Anne Michelet
L’atout majeur de ce film est Tahar Rahim, totalement bluffant dans la peau de Charles Aznavour, dont il a adopté le phrasé haché, la gestuelle des mains sur scène, et dont il chante même les titres. Chapeau, l'artiste !
Voici
par Daniel Bois
La puissance de jeu de Tahar Rahim, qui n'oublie jamais la subtilité, emporte tout.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le film, de facture classique, ne cherche pas à trop angéliser la star
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
L’acteur le plus transformiste du cinéma français donne du relief à un portrait à distance d’Aznavour, froid personnage, ambitieux et égocentrique.
Diverto
par La Rédaction
Si le film manque parfois d’aspérités et de zones d’ombre, voilà quand même le portrait passionnant d’un artiste unique, compositeur de génie et entrepreneur têtu, bien décidé à poursuivre sa bonne étoile et en quête éternelle de reconnaissance
La critique complète est disponible sur le site Diverto
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Si toute cette histoire nous est racontée de manière linéaire (en chapitres successifs), sans grande audace dans la mise en scène, la performance de Tahar Rahim pour ressembler au chanteur, son travail pour saisir ses mimiques et sa gestuelle, est en revanche remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Konbini
par Adrien Delage
Un biopic un peu sage et très (trop) académique dans sa structure narrative, qui peut toutefois compter sur la prestation bluffante de Tahar Rahim, saisissant, et des seconds rôles surprenants dont Marie-Julie Baup, impériale dans la peau d’Édith Piaf.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
En haut de l’affiche, l’intense Tahar Rahim : il ne joue pas Charles Aznavour, il l’est et le respire, jusqu’à sa voix sosie.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Mehdi Idir et Grand Corps Malade retracent la vie et la carrière de l’interprète de J’me voyais déjà. Sans écorner le mythe.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Tahar Rahim incarne de manière fascinante le chanteur dans le biopic de Mehdi Idir et Grand Corps Malade.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Un biopic riche en moyens, mais sans réel point de vue, très (trop ?) respectueux du personnage. Reste la prestation de Tahar Rahim, impressionnant.
Nice-Matin
par M. Faure
Même si le film choisit une trame très classique, très linéaire et chronologique, il permet de mesurer le parcours du jeune Charles Aznavour. Il y a des longueurs mais il demeure la performance exceptionnelle de Tahar Rahim. Un rôle qui va placer l’acteur sur la voie du César du meilleur acteur, tout simplement.
La critique complète est disponible sur le site Nice-Matin
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Monsieur Aznavour, par son goût de la performance d’acteurs, de la reconstitution historique et de la couleur locale française, s’efforce de suivre son sillage. Il lui manque pourtant cruellement le tragique et le morbide que Dahan a vus chez Piaf.
Critikat.com
par Bastien Gens
Mehdi Idir et Grand Corps Malade cherchent à s’effacer derrière la puissance évocatrice des chansons d’Aznavour, au risque d’une mise en scène anonyme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Grand Corps Malade et Mehdi Idir signent un biopic très classique, voire trop, qui permet cependant à Tahar Rahim de livrer une performance mémorable dans le rôle de Charles Aznavour.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par L.P.
D’une réalisation sans audace, ce fastidieux portrait, qui manque cruellement d’angle et de point de vue, réussit à ne rien nous apprendre.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Illustratif et académique, un biopic techniquement soigné et qui se laisse regarder (et surtout écouter) mais n’apporte rien au genre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le film manque cruellement de distance critique sur le personnage peut-être involontairement antipathique qu’il construit : une star qui ne croit en rien, instrumentalise ses propres malheurs, ceux de ses proches, ceux même d’inconnu·es, au seul motif d’une quête avide et absolument sacrificielle de succès.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm et Didier Péron
Dans un biopic sinistre où s’enchaînent les tubes et les séquences attendues, Grand Corps malade et Mehdi Idir échouent à restituer le lyrisme du chanteur, dépeint en obsédé de la réussite.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thomas Baurez
Si La Môme d’Olivier Dahan dont la référence pèse des tonnes, avait su faire de Piaf une sorte de poupée désarticulée et braillarde, étouffée sous des tonnes d’artifices, notre Aznavour sans une once d’aspérité psychologique apparaît bien falot.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
Une fois ouvert, le robinet à épisodes véridiques ne se referme plus. N’en découle que peu d’émotion, sans parler de la perplexité suscitée par la performance de Tahar Rahim, dont le maquillage et la gestuelle rappellent à chaque plan qu’il est Tahar Rahim imitant Aznavour.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
Ce biopic se regarde avec bonheur tellement on se retrouve plongé dans une époque à suivre l'ascension d'un artiste qui a gagné le haut de l'affiche.
Public
Un hommage superbe et puissant.
Bande à part
L’évocation du parcours très accidenté du plus célèbre chanteur français sur le plan international est une réussite.
CNews
Les fans de la première heure pourront être frustrés par certains raccourcis – nécessaires tant sa vie a été riche – et autres omissions qui s’imposaient pour proposer un récit d’un peu plus de deux heures. Ce long métrage se découvre toutefois avec un plaisir immense pour ceux qui apprécient l’artiste et ses chansons, avec des moments d’émotion intenses au gré de ses échecs et de ses réussites.
Closer
Musical et grisant.
Elle
Tahar Rahim est "for me formidable".
Femme Actuelle
Le résultat se révèle particulièrement convaincant dans les scènes émouvantes : Tahar Rahim rend bien la tension entre la pudeur, le masque social et les douleurs rentrées.
L'Obs
Pour leur troisième long-métrage après « Patients » et « la Vie scolaire », Mehdi Idir et Grand Corps Malade déploient les grands moyens et en font parfois trop en termes de mise en scène façon looping et caméra tournante. Mais leur regard sur l’homme et l’icône Aznavour a le mérite d’être admiratif sans être hagiographique et les chansons, dont quelques chefs-d’œuvre, font le reste.
La Croix
Mehdi Idir et Grand Corps Malade reconstituent avec souffle la vie de Charles Aznavour. Monsieur Aznavour est porté par un brillant trio d’acteurs et fait entendre à nouveau des chansons inoubliables.
Le Parisien
Un long métrage riche, émouvant et rythmé.
Le Point
Les réalisateurs Grand Corps Malade et Mehdi Idir ont opté pour un récit linéaire, rythmé par ses plus beaux titres. Dans le rôle-titre, Tahar Rahim campe un Aznavour vibrant. Une belle performance.
Les Echos
Si le film n'échappe pas toujours aux pièges de l'hagiographie, il est riche d'enseignements sur la vie et la carrière du chanteur populaire.
Marianne
Malgré ses défauts hagiographiques et ses omissions, ce biopic émouvant ne manque pas d’atouts et évoque certains aspects méconnus de la carrière et de la vie de Charles Aznavour.
Paris Match
Un biopic réussi.
Télé 7 Jours
C'est aussi bluffant qu'émouvant.
Télé Loisirs
Le résultat est réussi, porté par la performance habitée de Tahar Rahim, très crédible, ainsi que celle de Bastien Bouillon et de Marie-Julie Baup, excellents seconds rôles.
Version Femina
L’atout majeur de ce film est Tahar Rahim, totalement bluffant dans la peau de Charles Aznavour, dont il a adopté le phrasé haché, la gestuelle des mains sur scène, et dont il chante même les titres. Chapeau, l'artiste !
Voici
La puissance de jeu de Tahar Rahim, qui n'oublie jamais la subtilité, emporte tout.
20 Minutes
Le film, de facture classique, ne cherche pas à trop angéliser la star
Dernières Nouvelles d'Alsace
L’acteur le plus transformiste du cinéma français donne du relief à un portrait à distance d’Aznavour, froid personnage, ambitieux et égocentrique.
Diverto
Si le film manque parfois d’aspérités et de zones d’ombre, voilà quand même le portrait passionnant d’un artiste unique, compositeur de génie et entrepreneur têtu, bien décidé à poursuivre sa bonne étoile et en quête éternelle de reconnaissance
Franceinfo Culture
Si toute cette histoire nous est racontée de manière linéaire (en chapitres successifs), sans grande audace dans la mise en scène, la performance de Tahar Rahim pour ressembler au chanteur, son travail pour saisir ses mimiques et sa gestuelle, est en revanche remarquable.
Konbini
Un biopic un peu sage et très (trop) académique dans sa structure narrative, qui peut toutefois compter sur la prestation bluffante de Tahar Rahim, saisissant, et des seconds rôles surprenants dont Marie-Julie Baup, impériale dans la peau d’Édith Piaf.
Le Dauphiné Libéré
En haut de l’affiche, l’intense Tahar Rahim : il ne joue pas Charles Aznavour, il l’est et le respire, jusqu’à sa voix sosie.
Le Figaro
Mehdi Idir et Grand Corps Malade retracent la vie et la carrière de l’interprète de J’me voyais déjà. Sans écorner le mythe.
Le Monde
Tahar Rahim incarne de manière fascinante le chanteur dans le biopic de Mehdi Idir et Grand Corps Malade.
Les Fiches du Cinéma
Un biopic riche en moyens, mais sans réel point de vue, très (trop ?) respectueux du personnage. Reste la prestation de Tahar Rahim, impressionnant.
Nice-Matin
Même si le film choisit une trame très classique, très linéaire et chronologique, il permet de mesurer le parcours du jeune Charles Aznavour. Il y a des longueurs mais il demeure la performance exceptionnelle de Tahar Rahim. Un rôle qui va placer l’acteur sur la voie du César du meilleur acteur, tout simplement.
Cahiers du Cinéma
Monsieur Aznavour, par son goût de la performance d’acteurs, de la reconstitution historique et de la couleur locale française, s’efforce de suivre son sillage. Il lui manque pourtant cruellement le tragique et le morbide que Dahan a vus chez Piaf.
Critikat.com
Mehdi Idir et Grand Corps Malade cherchent à s’effacer derrière la puissance évocatrice des chansons d’Aznavour, au risque d’une mise en scène anonyme.
La Voix du Nord
Grand Corps Malade et Mehdi Idir signent un biopic très classique, voire trop, qui permet cependant à Tahar Rahim de livrer une performance mémorable dans le rôle de Charles Aznavour.
Le Journal du Dimanche
D’une réalisation sans audace, ce fastidieux portrait, qui manque cruellement d’angle et de point de vue, réussit à ne rien nous apprendre.
aVoir-aLire.com
Illustratif et académique, un biopic techniquement soigné et qui se laisse regarder (et surtout écouter) mais n’apporte rien au genre.
Les Inrockuptibles
Le film manque cruellement de distance critique sur le personnage peut-être involontairement antipathique qu’il construit : une star qui ne croit en rien, instrumentalise ses propres malheurs, ceux de ses proches, ceux même d’inconnu·es, au seul motif d’une quête avide et absolument sacrificielle de succès.
Libération
Dans un biopic sinistre où s’enchaînent les tubes et les séquences attendues, Grand Corps malade et Mehdi Idir échouent à restituer le lyrisme du chanteur, dépeint en obsédé de la réussite.
Première
Si La Môme d’Olivier Dahan dont la référence pèse des tonnes, avait su faire de Piaf une sorte de poupée désarticulée et braillarde, étouffée sous des tonnes d’artifices, notre Aznavour sans une once d’aspérité psychologique apparaît bien falot.
Télérama
Une fois ouvert, le robinet à épisodes véridiques ne se referme plus. N’en découle que peu d’émotion, sans parler de la perplexité suscitée par la performance de Tahar Rahim, dont le maquillage et la gestuelle rappellent à chaque plan qu’il est Tahar Rahim imitant Aznavour.