Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Elle
par François Forestier
Un nouveau rôle de héros social pour Vincent Lindon, et un hommage aux profs qui changent une vie.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Le film aborde avec sensibilité la question du deuil, de la filiation et de la transmission, avec en arrière-plan la question sociale de l'accueil des Roms, de leurs conditions de vie, de la violence qui s'exerce parfois sur les enfants, traitée ici avec justesse, sans caricature, et sans pathos.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Comment aider un jeune homme qui échappe aux cases de la société française ? La question sous-tend le film de Nicolas Boukhrief, qui réussit, avec une grande simplicité, à décrire une situation de détresse révélant notre gigantesque besoin de solidarité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Philippe Lemoine
Une mise en scène sobre, sans pathos.
Voici
par La Rédaction
L'énergie est désespérée, mais d'une belle justesse.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un récit intime serré, dépourvu de toute prétention morale, sans jugement sur l'intégration ou la désintégration, privilégiant avant tout les personnages, leur humanité, leurs émotions - la caméra captant chaque expression.
L'Obs
par Nicolas Schaller
A la réalisation, Nicolas Boukhrief (« le Convoyeur ») se plie avec une modestie bienvenue aux contraintes du « Lindon movie », trouve dans le visage buté de Stefan Virgil Stoica une version moderne de « l’Enfant sauvage » et la clé de son film dans un beau geste : celui d’une main qui jauge et réconforte.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le jeune Stefan Virgil Stoica émeut en ado sauvageon, loin de l'éclat de l'enfance.
Le Figaro
par Valérie Beck
Enseignant désabusé et démissionnaire, Vincent Lindon retrouve le feu sacré au contact d’un jeune garçon qu’il va prendre sous son aile. Malheureusement, le nouveau thriller social réalisé par Nicolas Boukhrief manque de surprises.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit d'apprentissage [...] au scénario cousu de fil blanc mais transcendé par la performance de Vincent Lindon [...].
Le Parisien
par Catherine Balle
Nicolas Boukrief signe un drame touchant, très humain, sans grande surprise mais sans aucune fausse note.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Dans ce registre, Vincent Lindon trouve le ton adapté, intense et sobre, face au jeune Stefan Virgil Stoica, rebelle qui conquiert peu à peu sa propre liberté en apprenant à lire et à écrire.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
[Une] histoire de transmission à l’empathie contagieuse, qui jamais ne fait la leçon, mais invite à poser un regard fraternel sur ceux qui souffrent.
Télé Loisirs
par C.M.
Fidèle à lui-même, Vincent Lindon insuffle toute son humanité dans un film, certes, porteur d'espoir mais un peu trop idéaliste.
Télérama
par Samuel Douhaire
Un enseignant solitaire prend sous son aile un jeune Rom exploité par son oncle. Une rencontre émouvante filmée à la manière des frères Dardenne, et marquée par le jeu puissant de Vincent Lindon.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
L’intérêt (relatif) de la mise en scène est d’exposer constamment les négociations que Nicolas Boukhrief doit faire avec son sujet, ses efforts pour l’amener vers les fictions américaines progressistes de la fin des années 1950 afin de mettre à distance tout effet vériste.
Le Monde
par Ma. Mt.
Dans ses meilleurs moments, le film montre un échange réciproque entre l’adulte et l’adolescent. Cette relation en tête-à-tête conquise sur un champ social délabré est aussi la limite du film. Dans l’expression « comme un fils » se dessine en creux le motif d’un paternalisme en berne, qui serait ici le véritable objet à restaurer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Mais à quoi sert ce type de long métrage si l’on n’y trouve pas plus de cinéma, de forme, de travail stylistique, et qu’il se contente d’être une banque d’images et de sons à sujet sociétal ? Parce que le fond, c’est la forme, et que reproduire à l’infini les mêmes clichés cinématographiques ne sert qu’à répéter les mêmes clichés sur les Roms.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Pierre Lunn
Mise en scène à l’os, réalisme étouffant : on se croirait chez les Dardenne au début. Sauf qu’il y a Vincent Lindon, qui est à la fois le meilleur atout du film et son pire ennemi. Sa présence impressionne d’abord, brute, dense, avant de tout écraser, de ne plus laisser respirer la fiction et les autres personnages.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
par Jean-François Dickeli et Vincent Nicolet
Peut-être que Nicolas Boukhrief sera gagnant sur le plan des entrées, mais il est bien triste de le voir sombrer dans un téléfilm de luxe, antipathique et apathique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
Un nouveau rôle de héros social pour Vincent Lindon, et un hommage aux profs qui changent une vie.
Franceinfo Culture
Le film aborde avec sensibilité la question du deuil, de la filiation et de la transmission, avec en arrière-plan la question sociale de l'accueil des Roms, de leurs conditions de vie, de la violence qui s'exerce parfois sur les enfants, traitée ici avec justesse, sans caricature, et sans pathos.
Les Fiches du Cinéma
Comment aider un jeune homme qui échappe aux cases de la société française ? La question sous-tend le film de Nicolas Boukhrief, qui réussit, avec une grande simplicité, à décrire une situation de détresse révélant notre gigantesque besoin de solidarité.
Ouest France
Une mise en scène sobre, sans pathos.
Voici
L'énergie est désespérée, mais d'une belle justesse.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un récit intime serré, dépourvu de toute prétention morale, sans jugement sur l'intégration ou la désintégration, privilégiant avant tout les personnages, leur humanité, leurs émotions - la caméra captant chaque expression.
L'Obs
A la réalisation, Nicolas Boukhrief (« le Convoyeur ») se plie avec une modestie bienvenue aux contraintes du « Lindon movie », trouve dans le visage buté de Stefan Virgil Stoica une version moderne de « l’Enfant sauvage » et la clé de son film dans un beau geste : celui d’une main qui jauge et réconforte.
Le Dauphiné Libéré
Le jeune Stefan Virgil Stoica émeut en ado sauvageon, loin de l'éclat de l'enfance.
Le Figaro
Enseignant désabusé et démissionnaire, Vincent Lindon retrouve le feu sacré au contact d’un jeune garçon qu’il va prendre sous son aile. Malheureusement, le nouveau thriller social réalisé par Nicolas Boukhrief manque de surprises.
Le Journal du Dimanche
Un récit d'apprentissage [...] au scénario cousu de fil blanc mais transcendé par la performance de Vincent Lindon [...].
Le Parisien
Nicolas Boukrief signe un drame touchant, très humain, sans grande surprise mais sans aucune fausse note.
Le Point
Dans ce registre, Vincent Lindon trouve le ton adapté, intense et sobre, face au jeune Stefan Virgil Stoica, rebelle qui conquiert peu à peu sa propre liberté en apprenant à lire et à écrire.
Télé 7 Jours
[Une] histoire de transmission à l’empathie contagieuse, qui jamais ne fait la leçon, mais invite à poser un regard fraternel sur ceux qui souffrent.
Télé Loisirs
Fidèle à lui-même, Vincent Lindon insuffle toute son humanité dans un film, certes, porteur d'espoir mais un peu trop idéaliste.
Télérama
Un enseignant solitaire prend sous son aile un jeune Rom exploité par son oncle. Une rencontre émouvante filmée à la manière des frères Dardenne, et marquée par le jeu puissant de Vincent Lindon.
Cahiers du Cinéma
L’intérêt (relatif) de la mise en scène est d’exposer constamment les négociations que Nicolas Boukhrief doit faire avec son sujet, ses efforts pour l’amener vers les fictions américaines progressistes de la fin des années 1950 afin de mettre à distance tout effet vériste.
Le Monde
Dans ses meilleurs moments, le film montre un échange réciproque entre l’adulte et l’adolescent. Cette relation en tête-à-tête conquise sur un champ social délabré est aussi la limite du film. Dans l’expression « comme un fils » se dessine en creux le motif d’un paternalisme en berne, qui serait ici le véritable objet à restaurer.
Les Inrockuptibles
Mais à quoi sert ce type de long métrage si l’on n’y trouve pas plus de cinéma, de forme, de travail stylistique, et qu’il se contente d’être une banque d’images et de sons à sujet sociétal ? Parce que le fond, c’est la forme, et que reproduire à l’infini les mêmes clichés cinématographiques ne sert qu’à répéter les mêmes clichés sur les Roms.
Première
Mise en scène à l’os, réalisme étouffant : on se croirait chez les Dardenne au début. Sauf qu’il y a Vincent Lindon, qui est à la fois le meilleur atout du film et son pire ennemi. Sa présence impressionne d’abord, brute, dense, avant de tout écraser, de ne plus laisser respirer la fiction et les autres personnages.
Culturopoing.com
Peut-être que Nicolas Boukhrief sera gagnant sur le plan des entrées, mais il est bien triste de le voir sombrer dans un téléfilm de luxe, antipathique et apathique.